dimanche, 23 novembre 2008
Les menteuses ont toujours raison
L'autre fois, en rentrant d'une soirée pet' & langues de pute (où j'ai encore flanché et re-accepté d'organiser ce dîner de Noël, penser à appeler un clown pour l'animation), je suis tombée sur mon émission préférée : les publicités. Plus précisément, la réclame labellisée. Soudain, choc : Les Nuls reviennent et Chantal Lauby est brune. Tout est réuni : les effets de style, images en N&B, costume de saison, frange, regard de rocker (a)battu, main balayant les mèches ingrates dans un geste tendre, doux, grotesque. Et la voix. Quelle voix ! Liza doit picoler tout le Gin de sa cave depuis qu'une ennemie lui a parlé de cet album qui tourne entre toutes les mains des Grands. Un sketch. Terrible. Je crois que j'ai autant ri en regardant ce clip qu'en surfant sur les blogs de certaines filles qui prennent la pose dans leur dernier gilet en lapin Maje et leurs platform shoes Yurkevitch.
Quelques jours plus tard, je suis tombée sur une reprise tragi-comique, celle de trop.
Enfin, je me décide à composer les morceaux de mon album éponyme. Sortie prévue pour les fêtes 2009. EP sur iTunes probable, plus d'info sur www.myspace.com/jcdc_biolay_whosnext
14:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mareva galanter, coralie clément, idiote mais gentille
Un jour, je paierai le prix fort d'être aussi curieuse*
Tu rencontres un garçon, tu te doutes qu'il a quelqu'un dans sa vie mais il y a un truc, t'es incapable de mettre un mot dessus mais ça t'attire au point de te retrouver dans le remake d'un film avec Louis Garrel et Zoé Deschanel, subtil, un brin teen, un orage attendrissant, tu dis non mais tu fais oui, valse de personnalités, de pudeur et d'exubérance contrôlée
le garçon se sent égoïste en quittant la fille boulevard Voltaire; elle, ne sait pas, n'a plus d'idée, n'essaie même pas d'en inventer pour se rassurer
c'est comme ça, j'ai aimé ce goût de romance en mode pause c'est à nous les autres sont des figurants
déroutant, un peu
marrant de craquer pour un garçon qui devrait me faire fuir
et pourquoi pas, allez Jacquot !
c'est comme ça, je l'aime bien, je ne veux pas savoir pourquoi, une paire de sabots pas loin, pouf pouf et éclipse de rien du tout, je ne sais pas
la nuit, la nuit, ...
* Mes yeux aussi.
03:13 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jacno, titanic attack
samedi, 22 novembre 2008
Sanss déc' !
13:25 | Lien permanent | Commentaires (6)
Tu es rafraîchissante = Jen, tu es déconcertante
Tout mon monde s'est foutu de moi ce soir mais comme mon monde dit que ma façon de voir les choses est mignonne et me ressemble alors je ne me vexe pas
enfin j'ignorais que dire pouf pouf et hop hop hop révélait une inaptitude à séduire le psy
maintenant je sais; pas grave si les prochaines générations ne lisent pas mes entretiens avec le psy suite à mon assassinat par le dircom du président américain
tant que Prince me chante Controversy et me répète que la life c'est un game moi je veux bien me passer de la bite du président américain
demain j'ai un rencard (ouais, grave, avec le président de San Francisco, même qu'il m'a promis un week-end sur l'île de 90 000 habitants dont le roi s'appelle Elvis, le king himself ouais)
je vous laisse, le téléphone rouge sonne
01:30 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : vote for jen
vendredi, 21 novembre 2008
Douceur nocturne
00:56 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : slow club let's fall back in love, j'ai mal au foie
jeudi, 20 novembre 2008
Rose aux joues et commedia dell'arte
Il aura fallu que G me dise "Il n'a pas envie de toi" suite à l'introspection téléportative telecommunicative (edit, j'ai pas les yeux en face des trous, désolée) pour que j'appelle R à minuit. Une soirée de confidences et d'amitié, une nuit d'amitié et d'amour.
Cette nuit, j'ai baptisé l'appartement.
C'était bien de le (re)faire avec lui, c'était drôle, on est des gamins. Rien de profond mais une infinie tendresse.
Pleuré aujourd'hui pour l'absence, ri cette nuit pour les deux capotes congelées (je conserve les hommes que j'aime).
Il est 4h32, comment expliquer qu'après avoir fait l'amour avec R, j'ai une pensée ou deux pour M ?
Petite salope.
Et R, lui, voit le gamin traumatisé à ma fenêtre. Bande de nazes.
04:39 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : sex shop gainsbourg
mercredi, 19 novembre 2008
Ladyhawke, My delirium
Rien foutu de ma journée, passé mon temps à dire non à *** et oui à iTunes.
Promis G, ce soir je ramène mon minois et mes seins et que coule le Chardonnay dans mes veines !
16:40 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : ladyhawke my delirium
bof
Rien à foutre de ce dîner à la con. Ca ne me ressemble pas de faire la cuisine pour dix personnes. Déjà pour une c'est limite.
Je n'aurais jamais dû écouter les messages archivés sur mon répondeur. Les souvenirs, y a pas à chier, ça me rend malheureuse. On devrait toujours avoir le courage de tout brûler lorsqu'une histoire prend fin.
et ta musique du jour, chictype, c'est vraiment pas fait pour m'aider.
bon ok je crois que j'aime bien avoir des journées jefaislagueule
14:21 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : shocking pinks emily
La bouffe chinoise, je suis quand même pas fan
C'est étrange comme l'herbe du Trocstore n'a pas le même effet selon le lieu et les personnes avec qui elle est partagée. J'ai bu, j'ai fumé, j'ai mangé des raviolis aux crevettes sans goût et une soupe pleine d'eau épicée, tout le monde est parti, je finis mon verre de vin en écoutant Peter Lyons, et je vois un gamin élevé par des parents glauques sur mon balcon. Je vois beaucoup de choses sur mon balcon. Vous aussi, vous voyez ce gamin ? Glauque, je vous avait dit. Mais attachant.
Faut que je pense à prévenir tout le monde pour la Xmas Party. Je promets toujours des choses magnifiques et je fuis derrière le temps. Céline fera la gueule si je ne vais pas jusqu'au bout. Faut donc que j'aille à Rungis et que j'achète un sapin, ça c'est pour le plaisir. Faut j'apprenne une recette simple mais élégante pour dix personnes. Faut que je fasse en sorte que certains invités qui se font la gueule viennent malgré l'ennemi juré placé à leur droite. Faut que je rappelle R. Une heure que j'imagine des pluies de géométries variables. Faut aussi que j'arrête de provoquer les sorties, je ne travaille plus la nuit, or c'est précisément là que ma concentration est à son meilleur niveau.
Réhabiliter la nuit de Jen.
01:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : peter lyons, un enfant bizarre à ma fenêtre, raviolis anti-epicuristes, hermann bizx
mardi, 18 novembre 2008
J'adore
Love express de Cobra Cut, désolée le morceau n'est pas en entier mais assez long pour donner envie de créatures divines et autres stupéfiants sur fond de disco glam...
(Depuis hier, je suis un peu rousse... le blond, paraît que ça ferait fade sur moi, j'ai fini par le croire. Jusqu'à la prochaine envie... Enfin en rousse, je me trouve pas si mal. Pas mal du tout même. Bref, on s'en fout. Love express, babe !)
Eric, tu l'as voulue, tu l'as eue... tin tiiiiin !
17:41 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : cobra cut