mercredi, 05 novembre 2008
La sirène du mercredi
Pourquoi y a-t-il toujours des guêpes où que j'aille ? Parce que là, ça fait vingt minutes que toutes les fenêtres (6) sont ouvertes et que cette Sécotine ne quitte pas mon placard.
Aucun propos sur Obama, ni sur les gens qui ont porté un tee à son effigie. Patriotic idiot, ici, c'est préférable. J'aimerais quand même entendre Inès de la Fressange, vêtue de son Zadig & Voltaire Obama, chanter Suddenly everything has changed... Rien n'est plus changeant qu'un quartier, un monde c'est quand même une autre histoire.
Je vais peut-être finir comme Eudeline. Parce qu'entouré de jeunesse, on a peur de rien (et de tout mais quand c'est pas drôle).
Ca fait longtemps que je ne suis pas allée dans le VIeme dis donc.
(ben ouais, j'adore cette chanson !)
PS : mais si je suis contente... c'est bien c'est beau c'est fort ok ok ok. Attendons de voir la suite.
12:09 | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 03 novembre 2008
La tentation d'être deux devant le miroir
Ca fait 25 minutes que je prends mon téléphone, commence à taper les 4 premiers numéros et que j'appuie sur correction. J'appelle, j'appelle pas ? Je dis quoi ? Que voilà, j'ai envie de plein de nouvelles choses dans ma vie et que ces nouvelles choses, sans lui, ce sera peut-être plus difficile. Que j'arrête pas de penser à lui mais que je suis rien qu'une trouillarde qui court au premier coup de fusil ? Ou alors je n'appelle pas et je passe directement chez lui, avec un grand sourire et les jambes en coton; surpriiise. Ou bien je bouge pas, j'appelle pas mon coiffeur et je dis à personne que j'ai envie d'avoir la même couleur et la même coupe que la copine. Le choix cornélien d'une fille aux sens des priorités et de la gueule unique à définir.
15:34 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : a long lost
vendredi, 31 octobre 2008
Nous nous aimerons tant dans la difficulté, laissez-moi y croire
Il y a cette scène, dans Fin août début septembre, où François Cluzet regrette de ne rien avoir construit, rien amassé dans sa vie. Pas proprio de son appart, pas d'argent sur son compte, pas de femme, pas de livre à succès. Et Mathieu Amalric qui semble entendre le discours de son ami comme s'il sortait de la bouche d'un étranger.
J'ai l'appartement. J'ai fait aujourd'hui le deuxième chèque d'une somme de 950 euros, ce chèque je vais devoir le faire pendant 15 ans.
C'était la matinée chèques aujourd'hui. 1 348, 34 euros en tout, pour divers services essentiels à ma vie, mon travail et aussi mon plaisir, celui des nuits d'insomnie où de mon lit, dans cet appartement dont une fenêtre ne se ferme pas complètement, parfois après avoir fumé un peu d'herbe populaire, j'ai peur qu'un cambrioleur se faufile et me fasse du mal. Alors ces nuits-là, la nuit dernière était la troisième, j'ai envie de serrer un homme tout contre moi fort, trop fort et lui dire d'aller voir, de me rassurer. Evidemment, je m'endors ensuite et dors comme un bébé - après être retourné dans le salon pour regarder un documentaire d'une heure sur une chaîne du câble où un cuistot anglais arrive à me fasciner dans sa quête de la construction du cheeseburger "gastronomique" parfait (taille du pain, choix des tomates et de leur forme, mixture du ketchup raffiné mais pas snob, découpe de la viande pour la déguster subtilement sans avoir de nerfs coincés entre les dents en croquant dans le burger...).
Mais parfois, comme ce matin, j'ai l'angoisse de savoir que demain sera pénible. Que demain sera difficile. Qu'il va falloir se battre, un peu, peut-être beaucoup. Et dans ces instants-là, où la sensibilité et l'enfance dorée prennent le dessus sur la raison et la niaque, j'ai les yeux qui mouillent et le corps qui devient sec et tremblant.
Je n'écoute plus la radio, le CACa me perturbe, les Français me plombent, le monde accuse le coup et ça file un peu la trouille. Je retourne vers ma vieille bonne collègue iTunes et j'écoute un petit immense Django et me remets à retrouver un corps léger, peu gourmand de solide, affamé de liquide, de tables amicales et de paroles no future optimistes. Just an old sweet song...
Samedi après-midi, après une promenade parmi les brocanteurs du boulevard Voltaire, je pense fumer un bon pétard devant C'eravamo tanto amati (Nous nous sommes tant aimés), le film qu'on devrait sans doute tous regarder ce week-end avec un ami ou un amoureux, en tout cas avec du bon vin, du fromage et des mains qui se frôlent voire plus.
13:48 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : c'eravamo tanto amati, la crise et moi
mercredi, 29 octobre 2008
Double cherry
C'est drôle comme le fait d'avoir posé mes affaires ailleurs m'a retourné le cerveau. Nettoyé plutôt. Epuration sentimentale interne. Et puis j'aime les notes sur lesquelles j'ai croqué la pomme le week-end dernier. Je suis tout plaisir et patins dans la rue, sur le balcon par 3°C, en niquant mon estomac avec des bonbons acides, en écoutant les malheurs des autres, je sais pourtant que je vais devoir travailler plus pour gagner autant, je sais aussi que je vais devoir tenir parole et ramener mes fesses à la salle de gym, et aussi apprendre à réfléchir à mon avenir (enfin ça c'est pour faire plaisir à A.) mais je n'ai qu'une idée en tête, me faire manger par le grand et beau méchant loup. Mais comme je parle beaucoup, je suis les cailloux sur le chemin, ça me mènera bien quelque part et peut-être même dans l'ouest parisien, dans plusieurs années.
Oh ! je rougis je crois. Il y a le vin et le chauffage. Et puis le béguin. Et aussi, surtout, mes 15 ans. 1/2.
D'ailleurs, à ce sujet...
23:08 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : viens dans ma bouche petit fruit spéciale kassdédi
mardi, 28 octobre 2008
Western frite
Top, l'avocat de la nana qui avait son procès contre Quick aujourd'hui.
"Je dis que cette frite est une frite dramatique."
Tragicomique. Surtout l'avocat.
18:23 | Lien permanent | Commentaires (4)
dimanche, 26 octobre 2008
Il est 2H16 ou 3h16 un truc comme ça les tropiques et l'argent et tout ça mais un truc qui ne change pas d'heure en octobre : Swallow de Kim Novak
Le XIeme, c’est comme si tu changeais l'étiquette des vêtements des gens du VIeme contre un petit morceau de textile sur lequel ta mère gravais ton prénom et ton nom, à l’identique des souvenirs de colo scout & co. Dans le XIeme, les commerçants disent au revoir tout le temps, dans le XIeme, les gens sont clairement plus pauvres que dans sur rive gauche (elle fuit vite à l’approche de l’exaltation des souvenirs à créer et à réinventer dans le triangle Oberkampf-Voltaire-Charonne) et contre toute attente (laquelle ?), je m’y plais entièrement, joyeusement, naïvement. Dans le XIeme, j’ai l’appartement que je mérite, j’ai mes amis à chaque coin de rue, j’ai l'exotisme qui séduit la bourgeoise en mal de filles adeptes de la macrobiotique et en chaussures Camper affreuses, en mal de gens simples et souriants.
La clé 3G, comment vous dire ? Depuis hier, je l’ai et je ne l’utilise pas. C’est bientôt la crise, je vais peut-être devenir fauchée plus tôt que prévu et je n’ai qu’une seule lueur pour éclairer mon chemin, celle de la touriste enivrée par la nouveauté et le sentiment de vivre des heures ni hindoues ni financières, des heures estivales. Il fait froid, j’ai ma boîte d’Humex sur la table et je ne pense qu’à monter ma table en verre trempée, dire à François comme j’ai aimé cette soirée dans mon salon en mode ni tabou ni érection éteinte, contempler la vie de mes nouveaux voisins et la nuit, tard, après m’être démaquillée et mouchée une dernière fois avec mes Kleenex Anti-Viral, penser à la réactivation de ma vie dite active.
Je suis heureuse, moi.
Mardi, j’ai enfin internet et le téléphone et promis, je me remets à bosser et, entre deux coups de pression via Gmail, vous raconter ce que je pense de la vendeuse de Naturalia, de la boutique norvégienne qui vient d’ouvrir rue de la Roquette et des moucherons qui envahissent mon verre de vin blanc à cause des arbres et du cinquième étage.
Le VIeme, la statue, cet arbre en face des Editeurs, les fromages et le vin de la rue des Quatre Vents, la chinoise mal aimable de la librairie, le kiosquier souriant, la vieille à lunettes de la boulangerie de la rue de l’Ancienne Comédie, le machin Servan de la Palette, la caissière sous Lexomil du Champion, rien ne me manque, pour l’instant. Quant à Isabelle Marant, elle est là, pas loin. Je trouve ça très chouette, d’habiter dans un quartier où les artisans sont présents partout, où même le pauvre qui fait la gueule est plus agréable à regarder dans le métro que la fille à papa en Vanessa Bruno à Sèvres-Babylone. Ouais, cliché à mort je te le concède, mais j'y vais de mon mot enthousiaste post-vino blanco, mon petit mot en mood happiness et boule de Perrier chichon. En fait, pour tout vous avouer, le pauvre me séduit dans son optimisme désabusé - mais tenace.
C était Jen, en direct live de PétassAppar’t, stay tuned !
(la vraie vérité from Jenny la real nana du block, je kiffe et c’est tout, ça fait du bien de plus voir des grands cons blancs et guindés en sortant de chez moi, ça fait du bien de glisser sur mon parquet en chantant L’Amoureux d’Arthur H tout en regardant du coin de l’œil ce que fait le gros pas beau torse nu du quatrième d’en face, c’est bon de bouger, c’est bon d’être à deux stations de sa meilleure amie, c’est bon de voir ses potes jouer aux fripons dans l’ascenseur (un A pour la lumière qui s'éteint dans ce dernier) ou sur le balcon, c’est heureux, ce petit déménagement)
PS : Vos baisers étaient à mon goût, cher inconnu
Là, je vous aurais bien mis Quelque chose en moi de Holden mais avec cette pute de clé 3G de mes deux seins opulents, et ben ça bug alors vive vite mardi et ma connexion web et la fin de ma semaine de vacances improvisée (hey, oui toi petit chauve, merde, la bourge vient chez les pauvres, merde, hein, ça demande un temps d’adaptation et dommage t’as raté des trucs improbables vendredi… kiss)
(cette nuit, on change d’heure et j’ai toujours pas compris comment fonctionnait le lave-linge mais ça ne m’empêche pas d’écouter Art Mengo en fumant et en souriant comme une belle idiote qui a volé plein de berlingots à la confiserie)
02:27 | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : je m'aime
vendredi, 17 octobre 2008
Les draps sont encore chauds, retournons-y
Le réveil a sonné, une fois. On fait semblant de ne pas l'entendre. Il sonne une seconde fois, je n'arrive pas à prétendre au calme complet, même le matin, je pousse un petit grrr en giflant la machine. Lui fait toujours semblant. Se rendort aussi sec. Après avoir cherché deux trois idées qui pourraient m'aider à repartir dans les bras de Morphée, en vain, je finis par me lever. Disons plutôt glisser sur le parquet jusqu'au pipi room. Je prends ensuite mon grand gilet en laine, je fais chauffer de l'eau et pousse la porte de la chambre sans la fermer complètement, il se réveillera à son tour dans vingt minutes. L'ordinateur est déjà allumé, je vais sur iTunes, choisis une petite merde toute douce pour essayer d'ouvrir les yeux sur le monde sans trop de violence.
Domingo, The ground.
Ca chuchote presque, un homme que j'aime va apparaître devant moi, la monde, rond ou carré, là tu vois il est à ma taille. (Sûrement même un peu trop petit mais je ne m'en rendrai compte que plus tard, quand l'enfant aura autour de dix ans et que le DA de la boîte m'aura embrassée sans que je ne comprenne rien, dans l'ascenseur, un soir avant de quitter le travail./bande de nuls, alors c'est comme ça que vous me voyez ? aussi pessimiste ? pfff, amour toujours, merde ! je suis comme lara fabian moi, j'y crois encore et toujours, mais que devient-elle d'ailleurs ? dévorée par la maternité ? aïe)
Le thé est prêt, je regarde les voisins d'en face se presser avec leur petit et son cartable à moitié vide, la grand-mère et sa chicorée, la mère au foyer et le lit qu'elle refait. Et aussi cet homme, un freelance certainement, toujours tiré à quatre épingles dès l'aube pour travailler à son bureau jusqu'en début d'après-midi. Après, il s'occupe de ses plantes et joue du piano. Parfois, une femme vient le visiter, une infirmière ? Une femme de plaisir ? sa soeur, sans doute.
J'entends le bois craquer, les pas, les siens. Les traits froissés, il a dormi comme un bébé. Bonjour. Sourire. Je t'aime tu le vois dans mon pyjama tout chaud que je t'aime ? On dort toujours bien tous les deux, même quand on s'est dit les pires horreurs au coucher.
Il me demande si j'en ai pas marre d'écouter toujours la même chanson chaque matin depuis deux semaines tout en souriant et en s'accordant à dire qu'il l'aime bien aussi.
Du thé, de la douceur, un peu de guitare, de la tendresse dans les cheveux fatigués et la manière de tenir sa tasse de thé, l'amour au réveil, c'est à ça que j'aspire aux premiers jours de froid en automne. Ce matin, je fais de la fumée avec ma bouche, dans le bois les couleurs sont magnifiques... Tu m'attends sur quel banc ?
PS : En retard au boulot, oui, la maquette, les news, les sujets et les mails, j'y vais ! Je rêvais pardon.
10:23 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : domingo the ground
mercredi, 15 octobre 2008
Winners song
Monsieur Courgette Aubergine, rien que pour vous ! ;)
Si vous aimez la série Little Britain, vous adorerez ce clip...
16:38 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : geraldine mcqueen, winners song, peter kay
mardi, 14 octobre 2008
Ca bosse dur et ça régresse fièrement (kikoulol crew)
Envoyé le : Mardi, 14 Octobre 2008, 16h28mn 10s
Objet :
Suis perplexe à propos de ta nouvelle trouvaille musicale... Me fait penser à gothener le mec
2008/10/14 Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
c naze, entre teki et the shoppings
mais c'est pétasse amusant, ça se mange comme un kinder, ça plaît tu montes le jouet ça te divertit au tea time puis tu jettes
.................
(...) <----- censuré par moi maîtressedumondefemmedej6mMisterMoiMemeoubliettesETC
(et pourtant, je crois que si je le rencontrais dans quelques années, je serais capable de tromper un mec aimant et fidèle pour lui; tu vois une meuf, c'est vraiment rien qu'une sale connasse de clone de mec)
À : Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
Envoyé le : Mardi, 14 Octobre 2008, 16h41mn 54s
Objet : Re: Re :
oui, tu tromperais ton mec pour faire revivre un souvenir... Et ce sera très certainement décevant
2008/10/14 Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
t'es rabat-joie !
bon faut que je finisse de bosser mais j'ai pas du tout envie
tu fais quoi
À : Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
Envoyé le : Mardi, 14 Octobre 2008, 16h48mn 33s
Objet : Re: Re : Re :
je dois bosser mais j'y arrive pas, (...)...Du coup je regarde des merdes sur youtube... je vais peut être me branler, vu que j'ai rien d'autre à faire... faut prendre soin de popol
2008/10/14 Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
lol
2 ados sont dans un bateau
bon bon bon
moi je peux pas me toucher et dieu sait que ça me perturbe j'en rêve la nuit
allez zou je m'y remets (parce que moi avant je matais gossip girl sur youtube donc bon)
À : Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
Envoyé le : Mardi, 14 Octobre 2008, 16h54mn 27s
Objet : Re: Re : Re : Re :
t'as raison.. allé, je mate un peu youporn, j'éjacule puis je bosse...bon courage
Edit : la suite sans effort et bonne soirée m'ssieurs dames !
2008/10/14 Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
2008/10/14
tu es jalouse parce que tu peux pas sortir sainte rita
À : Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
Envoyé le : Mardi, 14 Octobre 2008, 17h04mn 23s
Objet : Re: Re : Re : Re : Re :
en fait, pas de youporn, je vais penser à toi ;-)
2008/10/14 Jen La bobo <phenojen@yahoo.fr>
et le dernier mail reçu :
habillée au début, car ca commence dans ta cage d'escalier...
Tu termineras pas entièrement nue néanmoins...
Là, lecteur, sache que dans ma tête, il y a le démon et l'ange, comme dans les dessins animés pour enfant un peu trop chrétien.
Je crois que vraiment, j'aime avoir des amis bouffés par le vice.
(travaille ! et oui bon d'accord pardon... mais je sais que tu aimes quand tu te sens violé, paix et empathie)
PS : MERDE CA Y EST, JE PEUX L'APPELER MAITRE EN LETTRES CAPITALES
PPS : je suis joueuse, petite mais je grandis, et ça s'adresse à tous les grands et petits cons qui me connaissent (/... oui, toi aussi connard)
PPPS : mais que nous arrive-t-il, Jean-François ?
17:28 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : glande au travail, potentiel de ***
Mister Gachette
son de pétasse et de connard (zic de pétasse ou son of a bitch, même combat, tout est dit, à vous la Butte !), peut-être, sais pas, m'en fous en fait, c'est pas révolutionnaire mais ça fait bouger mes jambes et ma chevelure parfumée, on s'amuse je m'appelle jenny, viens chéri : à droite les bruns minces, à gauche ceux qui ont plus de deux paires de baskets éthiques, au milieu ceux qui savent qu'ils entreront sans avoir à baiser la mez
(c'est marrant parce que Bordeaux, c'est quand même pas la joie mais côté musique, ça devient vraiment le nid créatif; qu'il y a-t-il de spécial dans l'air bordelais ? ou lait, hum)
schizophrénie de la dévertébrée, première
Carabine : www.myspace.com/carabine
Demain, je me remets à l'indie-rock qui fait pleurer un maigrichon à une heure où personne ne peut le voir.
Ou plus tard; je reste naïve tendance l'hiver sera chaud bouillant.
14:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : carabine, mister gachette carabine