mardi, 18 novembre 2008
Orange le crâne et 5,50 € la course
Je ne sais vraiment pas pourquoi mais ce petit rital aux accents britanniques, je l'aime ben. Il peut chanter ses consonnes en citant des noms d'actrices italiennes, m'en moque, il peut me faire goûter aux meilleures glaces de Naples, m'en contrefiche (presque, suis gourmande), il peut même continuer à frotter sa joue contre la mienne, c'est le dernier de mes soucis (même si j'aime bien c'est vrai), moi ce que je voudrais, c'est que cet idiot me colle l'oreille à son sol pour écouter la voisine en pleine séance de chamanisme.
Sont vraiment rien que des imbéciles, les garçons ! Tu dis à l'un que tu seras toujours là avec ton armure Tati Or pour le défendre et à l'autre que sa chemise irait comme un gant à tes pieds et au final tu rentres en dansant sur Sara perche ti amo. A vrai dire, ça me va, ça me ressemble et rien à dire, j'aime ces drôles de garçonnets en caban ou chemise à maman.
PS : le démaquillant pour les yeux, c'est de l'huile, et l'huile, quand tu grattes l'oeil, t'en as partout.
PPS : ce que je me kiffe !
PPPS : faut que je me trouve un nouveau crush, le dernier va penser que j'ai envie de lui tout nu dans un lit ou une reproduction de métro parisien à Vegas. *** j
lundi, 17 novembre 2008
Histoire de trouver des cadeaux de Noël gratos...
TheTrendyGirl.net a un an, du coup des cadeaux plutôt sympas sont à gagner.
Au total 7 partenaires se sont associés à cette opération d’anniversaire, en allouant chacun 3 cadeaux au top des tendances actuelles. Chaque jour de la semaine, un article sur l'une des boutiques partenaires sera publié et vous pourrez tenter de remporter l'un des trois lots proposés en laissant simplement un commentaire sous l'article. Un tirage au sort parmi les commentaires sera alors effectué chaque soir de la semaine à minuit, et la gagnante recevra son cadeau.
En attendant, vous pouvez d'ores et déjà découvrir les boutiques et tentez de deviner quelle sélection de cadeaux elles vous ont cocotées !
Lundi /Autreshop, la boutique de créateurs déco, mode, enfant pour enchanter le quotidien !
Mardi / Kulte, 10 ans de “French Brand”
Mercredi / Second Sexe, la jouissance des femmes est désormais sans limite…
Jeudi / Funk, royal optics
Vendredi / Amkashop, la boutique de l’art numérique
Samedi / Ilodeco, vitrine de la décoration contemporaine française et européenne
Dimanche / Fun Food Boutique, épicerie fine, art de la table & produits design
Pour jouer, c'est ici : www.thetrendygirl.net
13:09 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : thetrendygirl, concours
dimanche, 16 novembre 2008
Je me demande si je devrais pas arrêter de regarder Gossip Girl le dimanche soir au lieu de travailler...
C'est dommage pour certain(e)s mais je vais reprendre les commandes, les amis les coups de langues les salut chérie comme tu es drôle c'est sympa mais j'en ai marre. Mon côté Blair est en train de violemment refaire surface et la fille sympa, elle sera partout sur les photos et face à face mais c'est pour mieux régner derrière. Ca va faire mal, les infos sont là, les clans sont faits, les langues de pute rayonnent mon répertoire et mon cortex est plus que jamais en activité. C'est maintenant qu'on commence à jouer et la pitié sera un mot qu'on donnera à ceux qui sentent l'échec. Avec un sourire, pour l'image.
Always my pleasure
(Ca y est, mon personnage est installé dans la série, je suis J; à vous NYC !)
PS : Sylvain chéri, "la chatte nue comme le petit Jésus", tu évites la prochaine fois... Et arrête d'interdire les drogués de fumer dans ton salon, c'est une honte.
21:07 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : gossip girl, college minitel rose, the energy story
samedi, 15 novembre 2008
Les cartons du samedi après-midi
Marrant de se revoir avec sa tête de winner à l'âge où les garçons sont rien que des imbéciles.
17:17 | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : photo souvenir, récré a2, burgalat nous étions heureux
jeudi, 13 novembre 2008
Un petit peu de crème dans ta vie, un petit pot de crème aujourd'hui, pour toi
Revenons sur les événements mineurs de ces trois derniers jours.
Mardi :
Lui et moi promettons de ne pas boire plus de deux verres. Lui a mangé, moi non. Parfait, on arrive au Réservoir frais comme des blogueuses mode après un Perrier citron. Sauf que. J'ai à peine commencé mon troisième verre qu'un quatrième et un cinquième sont déjà devant moi. C'est moche de saouler la coach Sobriété. Mais ça m'a permis de faire passer en douceur ma dédicace quand Jérome Attal chante Je ne te défends même plus quand on te traite de conne. Je souris, il sourit, c'est parfait. Parce qu'on sait que. C'est faux.
Jérome Attal, un flingue à la main et cette chanson, tout est là.
Et puis il a fallu que je parle de mon petit secret, ma petite ambition que je ne partage avec personne parce que ma paresse rattrape toujours mes rêves. Lui et moi, ce beau projet, qui nous colle tellement aux oreilles. Cette idée, cette envie, partants, 1, 2, 3 soleil.
Lui : _ Ce sera notre bébé. Je veux le faire avec toi.
Moi, dans le train, le lendemain, qui pense que la vie est ni bien faite, ni mal faite, la vie est juste une sorcière qui transforme les paroles d'un homme en gimmick sucré-acide.
Il faut que je réflechisse, mon ami. ----> excuse à deux balles
En matière de réflexion, je n'ai pas été la reine ce soir-là. Après avoir commencé les préliminaires avec l'ancien homme de ma vie, j'ai eu l'intelligence de me soumettre à ses ordres et d'envoyer un sms à un garçon qui ignorait que j'avais son numéro, qui savait encore moins que j'avais mis un tee-shirt propre au cas où je le rencontrerais au concert et qui ne se doutait certainement pas que je trouvais charmant de le traiter d'idiot avec l'audace d'une Miley Cyrus. Et puis ce que je ne comprends toujours pas, c'est pourquoi je suis rentrée chez moi avec un savon de Marseille dans la poche de mon trench.
Mercredi :
Après avoir bavé pendant quatre heures dans mon lit, le réveil sonne. Il est tôt, très tôt, tellement tôt que j'ai cru me réveiller en Enfer. En Enfer, il fait froid et la faille de San Andreas est la matière première. A 7h, je prends un taxi et rejoins mon père et mon frère pour un voyage de deux jours où s'entrechoqueront rapprochements du troisième type avec un homme dont la plus grande fille a trois ans de moins que moi, l'enterrement d'un homme qui avait choisi la liberté, un choc d'amour et de silences. Et des regards complices, qui rendent les autres transparents.
Et Nantes.
Inconnue jusque là, un peu de Versailles, la place Saint Pierre, un bel endroit où arrêter le temps. Une drôle de bonne femme m'a tiré les cartes. Une drôle de bonne femme. Mais le temps s'était arrêté alors les cartes garderont leurs secrets à Nantes, j'ai refusé de ramener les chuchotements à Paris.
Jeudi :
Je déteste l'homme à la cravate rouge qui s'est touché la queue en me regardant écrire une lettre à un homme marié. Dans mon sac, des joujoux pour faire des bulles, tous volés sur les tables du Réservoir.
Tentant de demander au mec à la cravate rouge de tenir sa queue à la vue de tous pour réceptionner les super bulles. Mais mon père est sur le siège de devant, ça ferait tâche, je choisis de jeter la lettre et d'écouter mon iPod en regardant la nuit jeter son lot de promesses à risque.
J'ai toujours trois hommes en tête et en bouche quand je plonge mes doigts dans ma culotte. Sauf qu'un remplaçant a évincé Charlie. L'homme marié a réveillé mon côté femme, un ami au profil cousin s'invite dans mes rêves pour que je l'embrasse et lui serre fort la main entre deux rayons au Bon Marché (c'est de cette manière que j'avais rencontré le seul garçon avec qui j'ai eu une relation de trois ans), une moue dédaigneuse me transforme en héroïne de la révolution et moi, au milieu de tous ces fantasmes, je me demande lequel choisir.
En fait, ce que je me demande surtout, c'est pourquoi j'ai l'impression de devenir celle qui joue et ne veut plus s'engager dans quelque relation qui soit. Cette nouvelle attitude devrait m'angoisser, moi la casanière, pourtant j'ai la langue et l'imagination gourmandes, ça va, ça titille, ça donne l'impression qu'on n'est pas celle qu'on pense être.
La vraie vérité : j'ai envie d'embrasser un garçon qui ne m'empêchera pas de faire des bêtises. Correction après relecture : des garçons. Et en fait, après rerelecture, je sais pas trop. Je crois que je veux juste des garçons nouveaux, les miens me lassent. Toujours pareil, on connaît tellement l'autre, je veux des garçons !!!
19h43 : oui je suis en retard, j'arrive !
Mais c'était juste pour dire qu'après avoir relu cette note, après avoir enfilé une robe et caché avec du vert le rouge d'une peau trop fragile, cette chanson est plus appropriée...
Cette fois c'est la bonne, un énième brossage de dents et je me casse, promis.
edit : putain de bordel, vous êtes des menteuses, je suis archi rouge, on dirait Bozo le clown !
18:40 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : glisser dans ma peau et celle des autres, hot lips, boogaerts
mardi, 11 novembre 2008
La mer, les années collège qui rayonnent sur la façade de l'immeuble voisin et encore un gendarme derrière le rideau
Je sens que personne n'aimera cette chanson (si, c'est une chanson) mais ça me fait plaisir de vous pourrir les oreilles en ce jour... en ce jour.
Un peu de Pixies, je trouve.
Et un peu de ce temps de merde que je vais devoir affronter demain en Bretagne.
16:56 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : lovvers human hair
lundi, 10 novembre 2008
Une définition du blog
14:31 | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : risa sato, sophie calle, samba de monalisa
samedi, 08 novembre 2008
C'est quoi ?
15:31 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : ted barnes, j'ai des insectes flippants sur mon balcon
jeudi, 06 novembre 2008
Je t'aime aussi
12:42 | Lien permanent | Commentaires (12)
J'ai eu peur
Tout à l'heure je suis allée chez le pharmacien (très charmant, vieux mais gentil), parlant doucement pour qu'aucun chat de gouttière ne m'entende, j'ai dit : "Voilà, en fait je me suis réveillée avec ça, ça et ça et comme j'ai mes règles, je pense que ce doit être des boutons de fièvre".
Lui, avec une voix incroyablement rassurante, me demande : "Mais dedans, c'est blanc comment ?"
Moi : "Bah heu, c'est blanc, quoi."
Lui : "Oui mais blanc comment ? Blanc opaque ? Blanc transparent ?"
Moi, pensant répondre blanc sperme mais intériorisant le sourire : "Bah blanc blanc au début puis blanc eau avec un peu de sang à la fin."
Je sens que le mec est perplexe. En même temps, on n'a pas tous dix ans à la pharmacie ?
Je suis repartie avec une pommade à mettre matin et soir.
En fait, le drame de cette histoire, que je n'ai pas relaté, c'est qu'à un moment, il s'interrogeait sur la nature de ce bouton. Bouton de fièvre ou herpès ?
Et là, ben heureusement, il n'y avait pas de chat de gouttière dans et près de la pharmacie.
En rentrant, google, bouton de fièvre herpes.
Je tombe sur un texte sur Doctissimo, qui dit que le bouton de fièvre et l'herpès, ça gratte. Mois, ça gratte pas. Mais ça fait mal et ça donne une gueule botoxée (qui pourtant n'est pas sans me déplaire).
Mais à la fin du texte, une photo.
Non, ce n'est pas de l'herpès. Je n'ai jamais eu d'herpès il est impensable qu'un jour je me lève et voie ça dans le miroir de la salle de bains.
Conclusion : je ne sors pas jusqu'à temps que Meg Ryan sorte de ma bouche et si j'avais une quelconque chance de rencontrer un nouvel orgasme voire plus si affinités via ce blog, maintenant je sais que c'est mort. Mais je n'aurais pas raconté cette anti-anecdote si tel était mon espoir, n'est-ce pas...
(enfin ça va quand même, je suis toujours bonnasse, ben si quand même y a des trucs qui ne partent jamais ------> ma franchise et ma connerie)
12:40 | Lien permanent | Commentaires (6)