mardi, 21 novembre 2006
Spéciale dédicace à mon voisin
13:06 | Lien permanent | Commentaires (14)
Si Yahoo le dit, alors là évidemment...
Cancer | Mardi 21 novembre 2006![]() |
Né entre le 22 juin et le 23 juillet | ![]() |
VIE PRIVÉE : VIE QUOTIDIENNE : |
• Votre chiffre porte-bonheur : 8
• Votre couleur du jour : rose
• Le meilleur moment dans la journée : 17 h
• Atomes crochus : violet
Donc aujourd'hui, enfin vers midi, au réveil, je garde mon énergie (heu, laquelle ?) pour moi, rien que moi moi moi. Et je regarde les bruns ténébreux autour de moi, vers 17h, affichant un badget violet agnes b. Bon, ça ne semble pas trop difficile...
01:19 | Lien permanent | Commentaires (9)
Avant la haine, la nuit.
Moi, si, on se débarrasse de moi comme ça. J'encaisse, j'encaisse, ma tête ressemble à une cuvette où l'on jette toutes les idées pourries, celles qui ne feront jamais exploser l'audimat. Et j'attends que quelqu'un tire la chasse d'eau pour moi. Toujours, toujours les mêmes tourments à la fin. Toujours cette envie de tout plaquer. Toujours cette question : pourquoi ? Toujours cette merde. Toujours la même passion dévorante qui vous détruit, toujours ces vieux démons qui vous rattrapent, toujours cette attirance pour la déraison. Toujours cette merde. Et ça passe. Longtemps après. Ou ça passe plus vite que prévu, parce qu'on fait tout pour le dégager de son esprit. Mais quand la nuit tombe, qu'on rentre de soirée, qu'on se retrouve devant un ordinateur qui regorge de souvenirs, alors là, on sait. On doit faire face à la solitude qui jusqu'ici nous était devenue étrangère. On doit affronter le manque. Cruel, douloureux, persistant. Alors on s'entête à le dégager. Mais il revient. Et là, chacun a ses petits trucs pour s'en sortir : la tv, l'écriture, la came, l'alcool, les nuits blanches à droite à gauche ou la baise avec des crevards. Mais au final, rien ne change, le manque est là, la boule au ventre monte à la tête et c'est pire. On s'habitue. On s'accoutume au manque. J'y arrive (je crois y arriver). Et ça ne me plaît pas. Je ne veux pas l'oublier. Pourtant, l'oublier, c'est la seule manière pour moi de retrouver l'envie de sourire aux autres. Je souris, je rigole même, de plus en plus. Mais pas la nuit. La nuit me hante. Lui me hante. Son souvenir opaque me hante.
Conclusion : je devrais prendre deux Lexo à 20h et dormir tôt.
00:36 | Lien permanent | Commentaires (7)
lundi, 20 novembre 2006
Doux manque

21:05 | Lien permanent | Commentaires (1)
What Jen did
15:23 | Lien permanent | Commentaires (34)
vendredi, 17 novembre 2006
Exsangue
Un foetus
Sur mon lit
Baigne dans son sang.
Traverser la Seine pour célébrer un événement. Oui. Mais quand on porte le deuil d'un amour perdu, célébrer une naissance, ça demande des forces qui m'ont quittées voilà dix jours. Un foetus qui aimerait sentir un semblant de cicatrisation. Un foetus qui crève. Demain est un autre jour... de peine. Ca passera. Mais pas aujourd'hui.
16:56 | Lien permanent | Commentaires (38)
jeudi, 16 novembre 2006
J'veux un mec
Mon coup de coeur du moment : Adrienne Pauly. Cette nana a tout dit. TOUT. Chaque mot de cette chanson (à part la moto et la gym), c'est ça. Putain ça me démange...
Désolée si la vidéo déconne... C'est comme les gonzesses, ça peut déconner sévère. Ca me démange, ça me démange... ;)
12:58 | Lien permanent | Commentaires (27)
Le timing
Hier, pendant des heures, avec un pote, j'ai enculé la théorie du timing une bonne trentaine de fois. Tout d'abord au Flore où la grosse voisine aigrie a dû ravaler ses idées sur la femme d'aujourd'hui sous peine que je lui fasse bouffer son amour pour ses fils Julien et David exilés au Canada. Tu m'étonnes, avec une mère comme elle, moi aussi je me casserais ! Et quand son mari qu'elle critiqua comme une salope arriva, elle devint sage comme une image d'Epinal. Donc Sylvine : essaie de virer l'aigreur, ça te fait grossir, t'es moche quand tu craches.
Ensuite, enculage de timing rue des canettes. Entre une crêpe (la bonne, hein, la bleue) et un verre de blanc (le énième de la soirée) chez nos amis con-cons de la Sorbonne, l'idée d'arriver au mauvais moment dans la vie de quelqu'un a dû avoir super mal au cul.
Sauf que... quand je reçois certains mails, je me dis que le mauvais timing des uns sauve celui des autres et vice-versa . Enfin voilà.
Et j'ai rêvé de mon premier flirt. Je lui demandais si ça le brancherait de me faire un gamin dans quelques années si j'étais seule. Et du coup, lui, il disait oui mais surtout il semblait retomber amoureux. Et moi non. Mais je me laissais draguer parce que l'andalou était à l'extrémité de la piscine.
Ici, ni ex, ni premier flirt encore moins de piscine et de soleil. Ici, aujourd'hui, gris partout mais rose dans ma bulle. Les larmes du Flore ont dû se perdre dans le troisième verre, la soirée a fini en rires, la soirée a fini avec des gens qui te ramènent à ce que tu es : une nana de 26 ans drôle, pas trop con quand elle veut et pas trop boudin quand elle évite les cernes de l'insomnie.
Sinon, à part ça ? Je crois que j'ai un cancer du foie. Langue d'une couleur qui ne me plaît guère... Je vais la glisser à cause de l'andalou : si je meurs, son adresse est quelque part dans mon organizer, prenez-là et allez lui couper la bite, attachez-le à un arbre et faites-venir un groupe de pittbulls affamés. Merci. Et si je ne meurs pas, faites-le quand même mais en remplaçant les chiens par des vieilles de 80 balais à poil qui dansent en bougeant leur corps mous et fripés.
Ah, et encore une anecdote marrante : une histoire de mec déjà vu et qui me contacte alors qu'il ignore qui je suis. Enfin c'est pas très clair mais juste pour dire que j'accumule les rencontres hasardeuses et peut-être bien-heureuses en ce moment. Rigolo de voir un mec dans le métro, de savoir qui il est, de le fixer tout en sachant qu'il ne vous connaît pas et recevoir un mail quelques mois plus tard de ce mec aux yeux saisissants. Ouais, juste rigolo.
Clin d'oeil pour chaque seconde qui me sépare de l'amour : le décompte a commencé !...
11:25 | Lien permanent | Commentaires (8)
mercredi, 15 novembre 2006
Séparables
Vous n'allez pas me croire mais j'ai pris le RER ! Oui, je sais, je suis grave. Mais j'ai donc pris le RER hier soir direction La Maison de Poupée. Une soirée dans un lieu chaud et accueillant avec une personne qui fait du bien. Et aussi un mec qui m'a étonnée par son sens de l'observation. Bref, une soirée qui permet de retrouver raison et bonne humeur. Et puis, se réveiller le matin dans la chambre d'une petite fille, dans ce petit lit, ça donne envie de repenser à soi gamine et de se dire que tout n'est qu'un éternel recommencement. Très bonne soirée, champagne, chichon et cadre bobo, j'ai adoré, j'étais bien.
Je tourne la page.
Be still my heart, The Postal Service : "And on the bus i could have sworn it was all a dream And it didn't happen to me..."
------> Petit soldat deviendra grand. Petit chauve embrassé sur le crâne ;)
(Par contre, il y a une chose qui ne passe pas : la boule au ventre qui me fait vomir. Le pire, c'est que, le ventre étant vide, je gerbe ce qui ressemble à la bave de mon chien. C'est pas super cool, faudrait que ça cesse. Primperan !)
12:20 | Lien permanent | Commentaires (13)
mardi, 14 novembre 2006
Cash is king and i am a sullen bitch
Ce qui serait bien, ce serait une jolie boutique où on peut acheter des hommes. Un monde où on achète ses amoureux, comme ça on saurait qu'on peut vraiment tout acheter. Mais le truc, c'est qu'il faudrait que quand on les achète, ils deviennent aussitôt éblouis par la nana. Et alors comme ça, quand on en a marre, on les ramène au magasin. Mais sauf que là, on ne leur brise pas le coeur parce qu'ils auraient une puce dans le cerveau qui nous permettrait de régler leurs émotions. Si toutefois on arrive à discerner leurs émotions de leur connerie. Je pense que c'est ça, le plus dur à trouver, des pantins pas trop cons. Non parce que le reste, acheter des bites qui disent "je t'aime", c'est pas difficile à dénicher, faut juste trouver des boys dociles.
Tu crois que ça existe des mecs qui comprennent leur coeur ?
Tu crois que ça existe des mecs qui pigent quelque chose ?
Tu crois que ça se trouve, un mec fait pour moi ?
Oui, je crois. Sur Mars.
Vas-y, suce connard, suce le sang de la vie, suce la merde, suce le venin, suce la connerie, étouffe-toi avec. Cette bite, je vais te la rentrer dans la bouche, dans le coeur qui existe sous des gravats, je vais t'enculer avec la queue de Satan, suce, suce la merde, suce les restes, suce la connerie, suce le brouillard, suce jusqu'à ouvrir les yeux et pleurer. Là, tu seras peut-être capable de voir la vérité.
16:35 | Lien permanent | Commentaires (0)