lundi, 29 janvier 2007
Envie d'un tajine rue Martel depuis le réveil
10:30 | Lien permanent | Commentaires (18)
dimanche, 28 janvier 2007
Nuit brouillon
Un de ces quatre soirs, je crois que je vais balancer tous mes brouillons en une note. Ils sont nombreux depuis la création de ce blog. Il y en a qui furent publiés quelques heures (certains eurent même le temps d'être commentés, au grand dam des curieux, victimes de leur sommeil : la nuit, les notes sont grises et le matin pouf, elles disparaissent) et le reste sont des posts où après relecture, j'ai pensé qu'il valait mieux ne pas encore une fois taper dans la mélancolie ou le too much. Donc soit je les publie tous en une note et je la laisse ou bien je publie tout une nuit et supprime à l'aube, je sais pas encore mais ça ne saurait tarder. Il faudrait faire la nuit des brouillons : on publie tous nos textes honteux. Bof, ça fait trop nuit du buzz. Dommage, l'idée est sympa.
18:05 | Lien permanent | Commentaires (35)
Le flou non artistique
Condensation du passé sous l'effet du soleil. De jolies couleurs, des gouttelettes, reste d'amours perdues qui glissent pour s'asseoir et mourir sur le chauffage. Puis l'amitié.
Les regards posés ne sont plus les mêmes et c'est parfois mieux ainsi. Des molécules à maturité.
Non, j'ai rien fumé.
J'ai juste vaincu mon coeur. Peut-être parce qu'il n'y était pas assez, finalement.
Bande-son : Lord, Devil, and Him, Joshua James. (Je vous conseille cette chanson, très belle.)
16:00 | Lien permanent | Commentaires (6)
Où êtes-vous ?
Et si c'était moi... que ce Seb recherche...
Après onsestcroises.com, je découvre Paribulle, le pendant des Messages Personnels de Libé online. Pas mal comme idée quand on sait qu'on scotche sur un mec tous les trois jours dans le métro...
01:37 | Lien permanent | Commentaires (9)
samedi, 27 janvier 2007
Qui peut dire à Pierre Guimard que je l'attends moi aussi ?
17:04 | Lien permanent | Commentaires (13)
La gerbe de doutes
14:55 | Lien permanent | Commentaires (9)
vendredi, 26 janvier 2007
I have a dream
A cause d'un allumé qui photographie la vie à Bucarest, cette nuit, je me rêve petite vedette du music hall. En vrai, grande star. Encore plus de "au jour le jour" à aimer pour adopter cette vie, si toutefois on nous offre la possiblité de l'embrasser.
Et si je ressortais ma passion première du grenier aux idées?... Et si je changeais de vie ? Et si je vivais plusieurs vies ? Pourquoi se limiter à une route ou deux, pourquoi ne pas s'amuser un peu plus avant d'être enchaînée ?
Cette nuit, la petite fille qui passait son temps à parler à une caméra imaginaire rêve et réveille la fille un peu moins petite de son coma : des envies de saveurs nouvelles, des rêves qui demain seront renouvelés et le monde à goûter. Vous me suivez ? Prenez place, je pars rejoindre ma loge ; je vous donne rendez-vous dans quelques minutes...
04:23 | Lien permanent | Commentaires (36)
jeudi, 25 janvier 2007
Quand l'un part, l'autre... bah il part aussi, pardi !
Alors celle-là, je suis contente de ne pas l'avoir eue dans iTunes après la rupture 2006 !...
(Ouais parce que je veux des ruptures 2007 encore plus remarquées, on s'y fait à ces petites phases pourries de la vie - ça file le bourdon mais ça te donne une putain de clairvoyance, tu choisis mieux tes mecs après !*)
Hmmm, en fait, je crois que je vous donne que deux possiblités: le suicide ou le meurtre. Faudrait une chanson happy face, je vous la donne demain. En attendant... MEURTRE !
Si tu es en larmes à cause de ma chanson "Plombe la soirée de Bibi", tu prends ta voix de poissonnière et tu chantes avec moi : C'est à l'amour comme à la guerre... Va faire soigner tes blessures AILLEURS...
Et je repense à Mélanie Doutey... Mélanie, ouvre les yeux, bordel !
Sinon, la chanson L'Un Part, l'autre reste, mis à part sa mélodie nian nian, elle est jolie, non ?
En relisant, je crois bien qu'en fait les deux chansons feront pleurer les amoureux malheureux.Désolée. Ecoute Public Enemy plus bas, ou casse-toi. Encore désolée.
Au fait : demain je deviens soit blonde soit rousse soit sais-pas-quoi. Ou je demande juste la coupe parfaite fashiongirlrockpétassejet'emmerdeetmoiaussijevousaime. Oui, je sais, vous vous en foutez mais comme la coiffeuse est sous c non-stop, on peut s'attendre à quelque chose de très, comment dirai-je, créatif. Bon allez, je bouge mon cul : à moi le bonheur hivernal de se retrouver cul serré, nez rouge, mains violettes et morve piquante et dégoulinante sur le boulevard, vent dans la gueule et yeux qui pleurent. Vivement la Guada... et la neige.
* En vérité, non, tu les choisis toujours pareils mais ça, c'est un détail qu'on va épargner à certains. Oups, trop tard. En même temps, toi, est-ce que tu changes ? Là est toute la question... Moi je dirai : Les gens ne changent pas mais moi oui. Quoique que pas tellement, en fait. Conclusion : VIS AU JOUR LE JOUR SANS PENSER À HIER NI DEMAIN. On aura bien assez le temps de penser à notre jeunesse à 50 piges ! Oh si quand même, je trouve que je change. Je deviens comme ces gens que j'enviais, qui ne prennent jamais le temps de se poser les mauvaises questions.
19:35 | Lien permanent | Commentaires (13)
Héros Pour Grandes
Oui ou non pour quelques minutes en compagnie de ce mec aux pouvoirs surprenants ?...
Bien envie de me laisser tenter mais que dira soeur Marguerite?
Jen répondra-t-elle aux questions normales d'un mec normal sans focaliser une seule seconde sur le fait qu'elle a un roi de la bite devant elle ? Le mystère reste entier...
Bande-son de non circonstance : Lips on fire, Agoria.
16:50 | Lien permanent | Commentaires (19)
Réveille-toi, feignasse !
Debout depuis un moment déjà et toujours les yeux qui pleurent de sommeil, toujours pas réchauffée, toujours les genoux contre ma poitrine, bonnet sur la tête et manches jusque sur les mains : je veux qu'un mec me fasse un chocolat chaud, je veux qu'un chauffeur passe me prendre pour aller à Cadet, je veux esquiver la connasse du recensement, je veux pas travailler aujourd'hui, en fait.
Et la nana du Figaro qui attend mes photos depuis lundi...
Fuck ! Allez, 1, 2, 3,4...
PS : Vous avez vu, j'ai retrouvé Kenny ! Et là encore, il est pas loin de crever... de froid !!!
PS bis : Bien Dim Dam Dom hier sur Paris Première, non ? J'ai adoré entendre ces femmes (très drôle le reportage sur les exilées...).
10:30 | Lien permanent | Commentaires (20)