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dimanche, 17 décembre 2006

J'ai tenu promesse !

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samedi, 16 décembre 2006

Rilke a tout dit

Les enfants (ça y est, ce n'est plus tata Jen mais mamie Jen !), il va neiger, c'est certain : voilà des heures que je travaille sans faire de pauses plus longues qu'un pipi ou un thé, contente de moi. Alors je me prends quelques minutes pour raconter le vide de cette soirée et faire un clin d'oeil à celui qui m'appelle la petite fille de Gréco : Un jour, je serai la page d'accueil de quelqu'un ! Romantisme désuet et vulgaire d'une génération net.

Ce soir, en travaillant, je n'écoute plus la liste de lecture "Ajouté récemment", non, ce soir, je laisse la bibliothèque entière défiler. Avant, j'évitais. Certains titres rappelaient trop celui que j'appelais l'andalou, celui dont j'étais follement amoureuse. Et puis finalement, j'ai laissé tourner machinchose et bidulle sur iTunes et ça m'a juste rien fait. Juste des jolies images. Je suis enfin capable de penser à lui sans douleur réelle, en fait je le vois désormais comme un chapitre plutôt réussi de mon livre. Je trouve assez beau d'admettre et de garder en mémoire les souvenirs, heureux et intemporels, je trouve beau de me voir évoluer d'une manière dont je ne  me pensais pas capable, tout du moins pas encore. Je deviens adulte dans ma façon d'appréhender la vie, on dirait.

 

C'est bête et inattendu mais je me sens bien. Sans doute la confiance n'est-elle pas étrangère à cet état de paix...

Sur ces bonnes paroles de mère sagesse, je retourne dans mes papiers et ne poserai pas mes lunettes avant 4h, je pense.


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(Et si j'avais chopé le mystère de la vie ?!!) 

vendredi, 15 décembre 2006

Samba Saravah

Il me reste cinq jours pour rendre un mois de travail. Il me reste cinq jours et ce soir, au lieu de m'atteler à la tâche, je flâne. Je chante, je prends des photos, je m'observe dans le miroir, je jette des coups d'oeil furtifs sur le contenu d'une vieille boîte à chaussures, je butine entre les fleurs fânées de mon appartement et j'ai l'impression d'avoir le coeur d'une jeune adolescente sortie de l'esprit de Sagan.

J'aimerais bien que mon prochain mec soit musicien, ça manque un garçon qui vous joue des airs sur sa guitare ou son piano. Avec le grand amour de ma vie (enfin, le premier, donc oui, le plus grand, forcément), il composait des chansons et je m'occupais des textes, c'était souvent drôle, parfois pénible, mais ces moments de complicité dans la musique resteront à jamais gravés dans ma mémoire de grande amoureuse sur l'éternel. Quels bons moments... Alors moi aussi, je vais chanter Barouh et envelopper les poils de jambe de mon futur avec mes orteils trop grands, bientôt il y en aura un, ici, près de moi, qui me fatiguera à jouer et rejouer alors que j'aimerais qu'il lâche cinq minutes sa gratte pour me câliner, bientôt je serai de nouveau jalouse de six cordes, bientôt je me mettrai au diapason, à l'unisson, bientôt un coq rôdera sur mes tomettes, dans ma cour, dans ma rue, dans mon quartier, dans ma vie. En l'attendant, je chante et je fais comme si le chauffage qui est en train de m'assassiner (vous savez, je crois qu'il va me tuer, je crois qu'il dégage le gaz mortel là, inodore, oui, je crois bien qu'il est malade mon chauffage, ça craint) oui ce chauffage, je le remplace par le soleil brésilien et on chante, et on aime. Pas envie de bosser, pas envie d'être grande ce soir, je suis bien à rêvasser !

 

Sinon... il faut vrai-ment que je me mette à bosser sinon adieu vacances... J'AIME PAS TRAVAILLER QUAND JE SAIS QUE JE SERAIS MIEUX AU BRÉSIL AVEC UN MUSICIEN !!! 

 

PS égo-encore-toujours-plus : On m'a dit que je ressemblais à Anaïs et à cette fille photographiée par Doisneau (Gréco en fait). Evidemment, je préfère Doisneau. Merci Greg (on m'a confirmée que tu avais l'oeil !...).

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Nestlé, c'est fort en chocolat

D'accord. J'avais dit que je bosserais jour et nuit... mais à partir de demain seulement. Enfin, à partir de mon réveil à venir.

Opéra. Mojito, champagne, whisky et sauvignon. N'importe quoi. Et en prime un dîner hypra calorique à 2h au Grand Café avec un pote de la pire race, la mienne, les merdes incapables d'admettre qu'un jour ils puissent avoir tort. Non, nous, on a toujours raison, ce sont les autres qui n'ont rien compris, forcément. Chèvre et chocolat, vin et vidéos cachées très rigolotes que je sortirai dans deux trois ans, quand le mariage aura lieu.

Quand je pense qu'Il est célibataire, dingue... très très intéressant... ok, un queutard. Mais certainement un queutard intéressant.  Oh puis non, je m'en moque, suis encore en deuil, faut pas oublier (même si j'étais en rouge passion et Tellier style Canada boots forever).

Ca fait plaisir quand des connaissances vous disent qu'ils vous "retrouvent".

Tony Bennet qui chante Christmas au Grand Café à 3h devant un dernier Sauvignon et quelques confidences sur la chantilly fondante du chocolat liégois, c'est drôle et on se souvient qu'en mars dernier, avec la même personne, on était là, à se raconter les mêmes conneries ! C'est bon !

 

Et ces chants de Noël, Sinatra, Bennet&Co et le Ier illuminé devant nous, c'est sympa. Manquait plus que la neige ; je l'attendais pourtant. Grosses bottes moumoutes aux pieds (et oui !) et écharpe en laine rose avec poches pour réchauffer les mains (Claudie Pierlot, je vous emmerde), j'étais sortie de chez moi vers 21h persuadée qu'il allait neiger tellement l'air était hivernal, lourd et froid. Mais non. Ce sera pour la semaine prochaine, "à l'est, c'est prévu", paraît-il... 

Comme m'a dit une amie ce soir : "    Jen is back", je crois bien qu'en effet, elle est revient sans faire de bruit mais elle revient, IRL comme disent les boutonneux à lunettes futurs pro du web.16.


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Et à votre avis, qu'avais-je commandé ? Entre nous, je ne m'attendais pas à une soupe de calories délicieusement empoisonnéee...

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Zou, au dodo. Et demain, boulot non-stop pour de vrai, vraiment. Je promets sur la tête de l'ex ! 

jeudi, 14 décembre 2006

Paris la nuit, ça redevient chouette

Burger au Cab. Mon ventre ne gargouillait plus, ah ça non, il était même (trop) excessivement contenté.

Puis soirée sur place, ouais bof, pas ce soir. En revanche, toi, Thibault, pull rouge, copain de Thomas, oui toi... intéressant.

Alors je quitte le lieu avec un pote pour une balade parisienne des plus peinardes. Un pet' galerie Montpensier, un tee-shirt remarqué chez Marc Jacobs, une rangée de sapin et un tapis rouge pour accueillir nos bêtises et notre sagesse d'ivrognes amusés par la vie et ses emmerdes.

Et Mojito&Sauvignon au café Etienne Marcel. Si quelqu'un connaît le mec au bonnet rouge et noir qui chanta deux morceaux pendant l'émission pour France Cullture ou sais-plus-qui, je veux.

Oui, le mélange, ça étourdit mais c'est toujours aussi bon. 

Charmante journée. Les choses évoluent. C'est chouette.

(Avant cette note, il y en avait 666 sur ce blog. Remarque gothicokid sans intérêt.)

 

PS : Pierric : j'ignore pourquoi mais de rien ! Le plaisir est partagé.

PS bis : Julien, Londres, ce n'est pas pour tout de suite mais je te ferai signe dans le cas contraire. J'y penserai.

 

Finalement, je suis heureuse de retrouver les miens sur cette plage, mes yeux perdus dans le vent (si, si, le vent), mon chien de 40 kg sur mes jambes et perdre quelques années le temps des vacances, envie d'être l'Enfant à qui il faut dire Je t'aime avec des regards, des phrases absurdes et des rires. Beauté de la vie, des gens que j'aime, des êtres irremplaçables de mon monde, jolie vie finalement. Ville grandiose, des personnes qui me touchent par leur chaleur et leurs regards tellement justes de sincérité, du boulot et l'envie, bien là, de ne plus garder le mauvais, juste le bon. De tout.

Seul caca :  une tonne de taff pour partir en vacances et m'isoler sans net, sans téléphone (et oui, je le ferme, désolée, des journées rien que pour moi et mes proches), mon chien, les balades, le vent qui fait mal aux oreilles, le thé devant la mer agitée, les feux de cheminée, mes parents, la vie, l'amour, quoi. Donc, dès demain, c'est boulot jour et nuit, attention ça ne rigole plus ! (Enfin la nuit... je m'autosuggère un apéro de temps en temps voire plus, mais si, si, super sérieuse sinon. Sans rire.)

 


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mercredi, 13 décembre 2006

Jazz Rive Gauche

Rendez-vous au Flore.

Trois heures de rires, de relation tellement humaine, lui je l'aime vraiment bien.

Garder ce rythme, le reste ne vaut rien, juste le swing, le Duke a raison !

Trois heures de vin, de rires, d'échanges putain tellemnt normaux et bons...

Le premier qui encule la plus belle mouche du lot... a gagné !

Allez, maintenant, je me prépare, dîner au Cab et le swing dans mon petit cul tout plat !

Lui, il m'a fait du bien, alors on continue sur la lancée : à bientôt compagnon de ma route. (Chut.)

(Et la prochaine fois, tu m'emmènes faire le tour de la Seine sur ton scoot avec Fionn Regan aux oreilles et de la vodka dans le sang, à la nôtre, dear !)

 

Toi, je t'aime bien : à la rue en bas des escaliers, à ce baiser inoubliable qui sera dans ce décor parfait, à ton histoire qui m'a fait du bien, à la mienne qui se jette aux oubliettes, à la terrasse en face du Luco, au slim noir et aux poils qui n'existent qu'au microscope, à ma bague même pas Donatella style, aux coups d'oeil en sortant en bas pendant six mois, au profs qui surprennent, au Baron et à ses pétasses, à notre "je t'emmerde", à M&S, à La Hune mais aussi au cosy style de L'Ecume, aux frippées et aux petites bites éjac' précoces, au Colissimo dix fois trop lourd pour être grâcieux, à toi dear,  à moi, à la rive gauche qui sera toujours, à la cachette aux cendriers, à la connasse qui étouffe à cause de notre fumée, aux trop gentils serveurs, à l'expresso, au vin et à nous, dansons à nos amours et oui, huit mariages et la vie devant nous ! La vie, sa mère, bordel je suis bien, c'et la nuit et elle ne fait que commencer : merci à toi, dear, petite modasse putasse, à ton roman et à mon futur, à nous leur race de merde, on vous encule ! 

Bande son : Partons vite, Kaolin. 

 

mardi, 12 décembre 2006

Jour Vs Nuit

Le constat est clair : la nuit, soit il faut sortir et rentrer ivre morte soit il faut dormir après le JT.

Là, il fait jour, je suis bien, tranquille. Mais dès que cette putain de lune ramène sa fraise, hop, Jen devient totalement déprimée.

On (oui, il y a deux personnes minimum à l'intérieur de Jen) va continuer à sortir, enfiler les verres, danser avec des inconnus qui rêvent de vous ramener dans leur lit encore empreint de la mouille d'une autre, continuer à sourire décalé, continuer à se laisser entraîner par la foule et si tout va bien, à Noël, je gerbe mon foie sur la table. Et si tout se passe encore mieux, en janvier, j'aurais envie de dîner avec un mec et peut-être même l'embrasser sans avoir bu.

Soleil, tea time au Flore, Snow Patrol qui me donne l'impression d'être dans un épisode pour pétasses WASP de la côté Ouest où Jenny, la putasse du block, vient de se faire larguer et va cracher toute sa tristesse à Venice avec P'tit Cul, son chien qui montre les dents aux gens intelligents.

 

Allez, let's go girl, wake up, c'est la journée, la vie est bête ; ce soir, on essaiera de combler le vide par une connerie. Mais là, c'est le soleil, le ciel bleu alors on respire et on pétille. Un peu.


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A trois, on ouvre le gaz : 1, 2 ... 4 Perdu !

Arte. Reportage. "Le Courage de vivre". Deux vieilles amies. Seules. Elles ont dit une chose qui a résonné ici : "Quand on n'apporte plus rien", il n'y a plus de raison d'avancer.  Elles étaient angoissées non pas par le fait de savoir qu'elles avaient "fait leur temps" et que la mort était l'étape à atte(i)ndre ; non, ce qui leur était le plus pesant, angoissant (ce sont leurs mots), c'est de ne plus rien apporter à personne. 

C'est atroce mais j'ai l'impression d'avoir leur âge. La même angoisse de vivre pour personne.

Putain.

Je dis que je vais mieux mais je me raconte des salades, je ne vais pas super bien en ce moment. Ca passera, je le dis sans cesse mais c'est vrai, ça passera. Mais là, ce sont les fêtes et je me sens super seule. Et je l'imagine, lui avec sa famille, happy end pour lui et "démerde-toi" pour moi. Putain je ne supporte pas cette rupture. Je ne supporte pas. 

"Il ne faut jamais baisser les bras, c'est ça le courage de vivre."

 

Vous vous rendez compte, j'ai 26 ans et l'abandon de l'autre me pèse comme une veuve aux cheveux blancs étouffée par la solitude. C'est pathétique. J'ai pourtant des amis, une vie sociale, du boulot mais tu as beau combler le vide, lorsqu'une seule personne te manque, c'est le monde qui t'écrase de son poids, aussi absurde et faux soit-il.

J'écris cette phrase et je reçois un sms, retour à la vie, qui me dit : "si ça va pas, appelle-moi". Ca se lit tant que ça je sombre dans le faux-semblant ?!!

 

Et là une vieille new-yorkaise qui fait du théâtre quand elle déprime. C'est génial. Triste mais génial.

Quand même, faut vraiment des forces pour se lever chaque jour quand tout fout le cafard parce qu'une personne, une seule, n'est plus. Limite de la survie parfois. J'ai vraiment vraiment hâte de retrouver mon appétit de la vie. Vraiment hâte qu'on m'aime de nouveau, vraiment hâte d'y croire encore. Vraiment envie de l'oublier mais j'y arrive pas. L'absence me hante, dix mille visions me pourissent la vie, dix mille situations me reviennent à l'esprit et tout me paraît faux et c'est l'horreur. J'aimerais tellement rencontrer un homme qui me fasse palpiter le coeur, me faire oublier toute cette merde.

Sans amour, on est vraiment rien. 

Ce reportage était vraiment touchant, beau, humain. Humain, je crois que c'est savoir souffrir avec le sourire, sinon c'est la survie. Bien sûr c'est indécent de dire que je suis entre les deux quand certains crèvent dans des hostos ou sur des terrains arides ou bombardés mais pourtant, c'est ça : sans amour, quelque que soit ton état de vie, tu n'es rien. Et parfois, tu es aimée de beaucoup de monde mais ça ne suffit pas. 

 

Bonjour l'ambiance ce soir ! 

 

Je pensais tellement qu'on n'allait pas s'arrêter ici. Je ne comprends pas comment il a pu autant changer, influencé ou non, je comprends pas comment j'ai pu autant me tromper. C'était lui et pas un autre, l'homme de mon moment. Et je ne veux personne d'autre et pourtant j"ai besoin de quelqu'un d'autre. Trop dur, besoin de plus de temps que prévu. La chute se fait sur la distance, c'est pire. Dès qu'on a l'impression d'aller mieux, il suffit d'un détail du quotidien pour replonger dans le désarroi. (Beaucoup de "et", de "mais".)

 

Bon allez, j'arrête. J'ai hésité à publier cette note mais tant pis pour la réputation de faible trop émotive, c'est comme ça, je suis comme ça actuellement, pourquoi mentir pour rester digne. La fêlure, ça n'a rien à voir avec la dignité. Enfin... tant pis !

Voici deux extraits de ce film-reportage sur Arte.   J'ai vraiment aimé, l'émotion provoquée m'a rappelée un documentaire sur les personnes fragiles, un peu folles comme on dit...

(désolée pour la qualité)

 

 


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Vidéo envoyée par Katia1980
 
Je ne m'aime pas aussi sensible. Ca m'a toujours étouffé et j'ai perdu beaucoup de gens à cause de cette foutue passion, tout ou rien, c'est une merde de vivre à ce rythme.
 
Le pire, c'est qu'en avancant dans la vie, je réalise, je comprends, je sais que les gens passionnés ne sont jamais heureux, jamais satisfaits. Je serai jamais capable de rester avec un homme que j'aime très longtemps. Heureusement qu'il y a des périodes dans la passion qui sont planantes sinon on abandonnerait tous à mi-chemin. Ca me tue de constater que je perds toujours ce(ux) que j'aime. Une si mauvaise estime de moi qu'il me faut trouver dans les yeux d'un autre ce que je suis incapable de me procurer par mes propres moyens. Je ne sais pas. Je pensais tellement que les choses seraient évidentes encore un moment. Mais non. Bordel, ça se gère comment tout ça ?
 
 

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Vidéo envoyée par Katia1980
 
Et pour se quitter, une chansonnette qui me plaît bien, j'imagine Poelvoorde la chanter, ne me demandez pas pourquoi, je souris, c'est déjà pas mal pour une chute de note aussi noire. ;)
(Cela dit, "Il faut savoir" allait très bien aussi...)
 

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lundi, 11 décembre 2006

Lundi 11 décembre 2006

En vrac.

J'aimerais bien arrêter de me réveiller avec à l'esprit la tronche des deux enculés qui se sont bien foutus de ma gueule.

J'aimerais bien cesser de mettre une heure avant de m'endormir la nuit tellement ces deux deux enculés hantent ma mémoire fictive.

Je ne prends plus de Lexomil.  (Cela dit, je vais quand même prendre le tube en Bretagne, on ne sait jamais.)

Faudrait que je fasse un test.

Je suis plutôt jolie sur mon nouveau passeport, on me donne trois ans de moins, ça fait plaisir ça, si si, je vous jure, même à 26 ans.

Si le mot Economie ne vous rappelle pas forcément votre période de stagiaire dans une cage à poule et que vous regardez iEco alors vous pouvez voter pour le Prix des Lecteurs du livre d'Economie 2006 sur le site du Sénat (ben quoi, vous ignoriez mon bac+7 ECO option Séchage de cours ?).

J'ai passé mon dimanche à réorganiser mon appart' : tout a changé de place, les souvenirs indigestes ont pris la direction méritée (grosse poubelle du milieu en bas dans la cours), j'ai trouvé une place pour mon piano et j'ai enfin fait le tri dans les photos de l'ordinateur (ça commençait à devenir vraiment lourd tout ça).

Comment peut-on retourner avec une personne lorsqu'on a dit les pires choses à son sujet ? Est-ce une connerie de rebaiser avec un ex ? Est-il possible de faire d'un vieil ex un fucking friend lorsque ce type a été le grand amour de votre vie ? Ou bien dois-je suivre les conseils des copines et abandonner l'idée de faire de biiiiiip mon nouveau copain panpan-cucul ? 


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Ben ouais, trois chansons aujourd'hui, trois chansons, trois esprits, trois états entre lesquels je sautille.


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Sinclair, oui, celle-là est bof bof mais les paroles, c'est assez bien vu dans mon cas.


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Au final, je crois que je vais garder les bonnes vibes pour la journée, j'ai assez de mélancolie au coucher et au réveil pour me pourrir le reste du temps avec ! Mais j'insiste : j'aimerais vraiment que cette douleur au coeur cesse rapidement, marre de souffrir pour un gros con qui me taxe de brute, marre d'avoir le sentiment de m'être faite baiser sur toute la ligne. 

samedi, 09 décembre 2006

Si la vie m'était contée...

Une petite fille, un dessin pour moi et un scoubidou mais sans le noeud "parce que le noeud c'est maman qui sait le faire".

Et mon esprit mal tourné qui, une fois quelques verres passés comme lettres à la poste, commença à se demander si c'était normal et prémédité de croquer, au même âge qu'elle, des papillons aux ailes multicolorées qui se métamorphoseraient en petite bite au sourire malicieux...

Mais mon esprit judéo-chrétien reprit le pas et alors je souris. Je souris parce que cette petite princesse avait tout compris. "Je vais te faire un dessin pour que tu souries." La vérité (des émotions) sort de la bouche des enfants...

C'était la même petite fille qui il y a un an environ m'avait dit alors que je la bordai : "C'est vrai que tu es une enfant !" (On remercie encore maman au passage qui n'oublie jamais de crier à tout-va que sa fille de 26 ans aime encore rester des heures dans les magasins de jouets et raffole des cadeaux contenus dans les Happy Meal.)

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(... et elle me sera contée, merveilleusement.) 

 
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