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mardi, 10 octobre 2006

Ses muses contemporaines (et nous, elles, moi, eux)

 

Goûtez au paradoxe fait femme, à la sensualité et au désir.

 

Rendez-vous le 25 octobre pour découvrir Virginie Talavera et la toile la plus (dé)culottée de mon salon.

 

(Attention, jouer avec un coussin peut vous jouer des tours.) 

lundi, 09 octobre 2006

On recommence quand ?

medium_leipzig.jpgLeipzig, c'était beau, bon, bien. J'ai aimé son charme viennois, ses maisons abndonnées, ses gens souriants  (sauf la méchante dame de l'aéroport de Dussëldorf). Je ne voulais pas rentrer.

Rester sept heures dans ce lounge, avec mes Cosmo et ses verres de Merlot, à parler d'anomalies amoureuses et de perfections qui foutent la frousse, juste regarder le soleil dans ses cheveux, la vie dans ses lèvres et la douce humanité dans ses yeux. Juste s'engueuler sur quelques kilomètres et partir s'embrasser sur la place devenue Rouge... Un week-end de flottement pour libérer les tensions diverses et variées venues de l'extérieur, traverser une ville inconnue et réchauffer mes mains dans son caban même pas trop grand. Si l'amour signifie vieillir, je laisse le botox aux autres.

Prochaine étape : Berlin, New York, Hydra, Madrid, Londres, Islande, Norvège, partout. Et ici. 

 

Côté souvenirs, hormis une restauration qui rappelle les méchants effets de la bouffe ethnique sur Ben Stiller dans Polly et moi, j'ai rapporté des culottes trop blanches, deux vernis Chanel (m'emmerdais à l'aéroport) et l'image d'un garçon qui me fait du bien.

En revanche, à l'aller, quelle galère... Surclassée, appellée trois fois au haut-parleur par la Lufthansa, eu le temps de compter un nombre impressionnant de vieux libidineux scotchés aux culs des chinoises et au bord de la crise de larmes/nerfs en entrant dans l'avion après avoir découvert un oubli essentiel : mon tube de Lexomil.

Mais là, pour le retour, j'avais de quoi assommer l'angoisse de mourir donc je pars me coucher, un crâne aussi aérien que le coeur... bonne nuit. 


podcast
 

vendredi, 06 octobre 2006

Leipzig, les nazis, des saucisses et moi

Faut que je trouve mes Lexo en cas de secousses.

Faut que je me lave.

Faut que je fasse mon sac.

Faut que je trouve un sac.

Faut surtout que je fasse caca avant d'être dans ces putains d'avions tout petits qui m'emmènent chez les nazis.

Oui, bon ok, on peut plaisanter, merde... ce la dit, il y avait les nazis dans la rue pour la fête nationale il y a quelques jours.

Enfin voilà, je pars ce week-end à Leipzig, trou du cul du monde mais où il y aura celui de mon mec, hé hé (attention, n'allez pas penser quoi que ce soit, juste je vais retrouver sa peau douce et son odeur de doudou dans le cou, en-fin !). Et histoire de faire tâche dans cette ville universitaire (pas envie de ressembler aux babos, moi), je mets ma robe fleurs bramboises A.P.C. achetée hier (Greg : elle est top ! Esprit vintage chic, prends-en de la graine pour le fashion killer !), mes bottes pourries cheap mais pas si mal au final, mon trench direction les bras de mon andalou en Allemagne.

Juste peur d'arriver en retard à l'aéroport, très molle ce matin (comme tous les matins)...

Bon week-end ! Perso, si je n'écris rien ici lundi soir, c'est qu'un capo m'a butée dans un coin de rue ou qu'après m'avoir violée, le commandant de bord m'aura dégagée de son avion, je veux pas mourir !

 

(PS : J'en fais quoi de la blonde qui a gentiment dragué mon andalou ? Je la recadre ou je la laisse croire qu'elle n'est pas si mal ?)

jeudi, 05 octobre 2006

La fête peut reprendre : les flics sont partis.

Le froid arrive bientôt, l'heure de se faire plaisir avec des jolies robes, des bottes, des accessoires qui font que nous ne sommes pas de simples manteaux sombres et austères dans la rue. J'ai hâte de me balader dans la ville avec mon nano, mes gants, mon béret Claudie Pierlot, mon nez rouge qui goutte et la peau radieuse (le froid, véritable peeling naturel pour mon épiderme). Bref, j'ai hâte de mettre le chauffage, faire de la fumée avec ma bouche, me réchauffer chez Ladurée pour des tea time entre copines autour d'un chocolat chaud, envie de vivre et de retrouver mon côté solitaire. Paradoxal. medium_ouimaisnon.jpgPourtant c'est ça, envie de me sentir libre, sans chaînes, l'amour ça me rend trop dépendante, je déteste. Pas l'amour, hein, le fait de m'enfermer toute seule dans des sentiments de paranoïa, de peur, d'égoïsme et tout ce joyeux bordel que les névrosées comme moi se créent toutes seules. 

Alors maintenant, j'écris mes trois papiers, je prends un bain, je ne pense qu'à mettre en valeur mon minois et mon cul, je passe chez A.P.C. acheter cette robe coup de coeur et je finis par m'enchampagner avec une copine célibataire ! 

Vous avez raison, l'amour ça me rend vieille et chiante : je garde l'amoureux mais je reprends ma vie d'avant, marre de me laisser bouffer par cette distance qui n'est pas prête de changer pour l'instant. Donc s'il faut en chier pour un jour avoir la chance de pouvoir prendre l'apéro "dans une heure" avec lui ou encore de dormir dans ses bras quand ça m'enchante, et bien tant qu'à être dans le caca, autant prendre ma bombe rose et créer une déco un peu plus optimiste.

Je reprends ma peau d'indépendante. Parce qu'il le faut avant de devenir comme les femmes que déteste ma mère.

(Monsieur "Déjeuner blog", inutile de me raccrocher au nez... Décidément, aujourd'hui, mon second degré passe difficilement. Passé 30 ans, vous devenez vraiment trop sérieux. Amis jeunes et cons, profitons !) 

mercredi, 04 octobre 2006

Infection urinaire, mon amour

Vous connaissez ma passion pour les éphèbes d'iTELE... Maintenant, j'ai une bonne raison de croire qu'ils ne resteront que de simples jolis berlingots interdits à mes cuisses.

Pourquoi ?

Parce qu'en me levant ce matin et en allumant la tv branchée sur la 12 soit iTELE la chaîne du clone de Julian Mac Mahon, qui vois-je ? Qu'entends-je ? Darkplanneur est là, dans mon écran, devant moi, à crier à la France bobo que j'ai des cystites à répétition !

Si ça, ce n'est pas la classe : devenir aussi connue que son pipi qui pique, grandiose ! (Ou comment s'interroger une nouvelle fois sur le pourquoi du blog-system.)

 

Message à mes futurs-ex (ouais, toi l'andalou, t'as qu'à t'occuper un peu plus de moi ! A peine chez les Allemandes et on m'oublie aussitôt, foutus mecs...) : LA CYSTITE NE SE TRANSMET PAS PAR VOIE SEXUELLE donc bon, heu, bah voilà, quoi. (Merci Dark !)

 

 

lundi, 02 octobre 2006

We all make choices. What's yours ?

J'ai trouvé ma comédie sentimentale de l'hiver : The Last kiss. Juste parce qu'il y a l'homme de mon autre vie dedans, Zach Braff. J'adore cet acteur, il me fait rire, me touche et même si son minois me rappelle celui de Beavis, je l'aime bien malgré tout. Une vraie midinette ! Je sais que beaucoup n'ont pas aimé Garden State mais ça, c'est parce vous n'êtes qu'une bande d'insensibles, c'est tout ! Enfin bref, je vous laisse découvrir la bande-annonce (sortie 25 octobre, je crois) et vous fais mon ego trip après...

 

THE LAST KISS, BANDE ANNONCE 

 

Pour vous dire à quel point j'aime ce mec, je passais mon temps sur son blog l'an passé juste pour visionner ses vidéos dans lesquelles il tape dans l'ego second degré. Si j'étais actrice, américaine et calculatrice, je crois bien que j'aurais tout fait pour me retrouver à l'affiche avec lui et profiter de cette bulle de quelques mois sur les plateaux pour le conquérir. Mais bon, là je divague. Je suis française, active précaire et amoureuse d'un andalou (entre nous, l'andalou est tellement beau et spirituel - ne rougissez pas, monsieur ! - que j'y gagne au change, malgré les pépettes qui ne rentrent pas et la maison à Santa Monica qui se fait attendre).

 

Enfin bref, ce film, c'est donc l'histoire d'un mec qui avait rêvé d'avoir une jolie nana, un bon job et des potes de toujours à ses côtés à 30 ans. Arrivé à 30 ans, la jolie nana est belle et enceinte, les potes toujours aussi bourrins et attachants et les tunes dans la poche. Mais voilà, il suffit qu'une grosse pétasse géniale débarque à ce moment-là pour foutre un énorme bordel.  

medium_thelastkiss.jpgThe last kiss est le remake de Juste un baiser, avec un beau rital aux faux airs de Chris Martin, vous voyez... Je sais pas pourquoi mais fallait que je tombe sur le trailer tout à l'heure, et maintenant, ben voilà, je me revois me faire larguée comme une merde par un connard parti pour une vulgaire pouffe du XVIIeme (vous comprenez maintenant pourquoi je hais cet arrondissement, surtout le coin Monceau...).

 

Aujourd'hui, j'ai 26 ans, et quand j'étais gamine, je m'imaginais à trente ans avec un attaché-case, un tailleur de working girl new yorkaise, je ne voyais ni homme ni gamins avec moi. Juste une vie de nana qui bosse d'arrache-pied pour avoir le luxe de vivre dans un grand loft sur la Veme avenue, enfin des trips du genre. Ca c'est l'effet Barbie tailleur de mes 7 ans, je pense. Vous savez, elle avait un studio qui se transformait en bureau bleu de l'autre côté... et bien moi, c'est ce putain d'accessoire Barbie qui m'a montée la tête !

 

Tout ça pour dire qu'à 26 ans, aujourd'hui, non seulement je suis - presque - l'opposé de ce je m'imaginais devenir mais je ne sais absolument pas ce que je veux. Le célibat, j'aime pas. Mais les one shot, j'aime pas non plus. Pas une bête de cul quand je ne suis pas amoureuse. Aujourd'hui, je partage de nouveau mes sentiments. Ca fait plus aussi peur qu'au début (ben oui, une telle rencontre, on n'en fait pas tous les jours, autant de sentiments exaltés, autant le mal de ventre rien qu'en pensant à lui, aussi peur de lui écrire pour lui demander de le revoir... faudra que je vous raconte, un jour, quand même, notre rencontre, une rencontre magnifique, une histoire plus grande que nous). Mais en fait, le fait d'avoir moins peur d'être aussi amoureuse, ben ça fait peur aussi. Oui je sais, je réfléchis n'importe comment.

Mais récemment, l'andalou m'a fait remarquée que je parlais beaucoup d'enfants. Moi : "D'enfants ? Pfff, je les déteste !..." 

Alors voilà, moi qui jusqu'ici trouvais les femmes enceintes difformes et les mômes horripilants, j'avoue avoir été prise, il n' a pas longtemps, d'un désir, un jour, d'avoir ce ventre aussi gros qu'une montgolfière et d'avoir, moi aussi, un jour, le droit de voir dans des petits yeux tout l'amour qu'il est possible de faire. Sans déconner, il y a même certains moments où je mettais un coussin sous mon tee pour voir l'allure que j'aurais avec un alien près de mes intestins.  Je sais, moi même, je ne me reconnais pas quand je vous écris cette anecdote (message aux vieilles copines qui me connaissent depuis des années : sortez-moi une seule fois de cette anecdote au prochain apéro et je vous ressors les vieux dossiers...).

 

Puis l'andalou qui me fait donc cette réflexion il y a peu. Bizarrement, ça m'a un peu vexée sur le coup (non, en vérité, j'ai joué l'ingénue, mais ça m'a quand même interpellée qu'il ait pu démasquer ma passion soudaine pour les vilains mioches de trois pommes de haut, je pensais avoir été discrète avec lui quant à cette lubie passagère, comme quoi les hommes ne sont pas si aveugles... parfois*). Et finalement, ça m'a permis de revenir sur terre et de réaliser que je ne suis ni prête à devenir responsable ni prête à imaginer un avenir bordé de nouilles. Sa réflexion à la con (ben ouais, merde, c'est pas parce qu'il est devenu père à 24 balais que toutes les nanas veulent de sa semence, merde !) m'a juste remis la tête sur les épaules fragiles.

 

Depuis, les gamins dans la rue ne me font ni chaud ni froid sauf exceptions. Et j'ai arrêté le coussin sous le tee-shirt. Rassurant, non ?!! Mais ce con* a remis le couvert un soir au téléphone en me disant "Putain, je crois que le jour où tu me demanderas de faire un enfant, je vais flipper !". Super, merci de m'informer au préalable, histoire que je ne me retrouve pas à 29/30 ans amoureuse d'un mec qui prendra la fuite sous prétexte que moi aussi, je veux un peu de lui, de nous, enfin un peu plus.

Du coup, après ces deux réflexions de merde mais dites au bon moment (avant que je perde les pédales et veuille devenir comme ces grosses connes du dimanche qui sortent leurs mômes comme on expose un caniche royal), je laisse notre barque flotter. Je suis la plus heureuse des idiotes à ses côtés, il semble aimer ma petite personne, on est bien ensemble, on verra. Je ne veux pas imaginer de futur parce que :

* ça porte la poisse

* ça fait peur

* on s'imagine vieille et... vieille

* parce que juste m'imaginer une vie différente de la mienne aujourd'hui m'amuse, peut me faire rêver quelques temps mais vite me donne des putains d'angoisses

* juste parce que je suis égoïste et que c'est sans doute mieux de le rester. Pour l'instant.

 

Enfin tout ça pour en revenir où ?... Ah oui, ben c'est qu'en voyant la bande annonce de The last kiss, je me suis dit que cette histoire m'arrivera certainement une nouvelle fois et que je vais encore une fois en chier, vraiment, DONC JE VEUX PROFITER DES JOURS HEUREUX PRÉSENTS AVANT QU'UNE CONNASSE POUFFIASSE ME LES VOLE !!! 

(Je vais me relire... mais je crois que j'ai beaucoup parlé de gamins là, non ? Bon je relis et je publie quand même, tant pis si l'andalou comprend tout de travers, merde, j'ai le droit d'avoir des passages "femme", merde ! Bon et s'il comprend ce texte de travers et qu'il tente une analyse psycho-caca, je le laisse prendre la fuite, c'est qu'il n'a rien compris - non, andalou chéri, je plaisante, là, c'est pour faire genre "suis pas romantique", mais enfin fais-moi encore une réflexion de merde sur mes séquences "j'ai des hormones, je m'en servirai un jour" et je rejoue la scène du cintre...) 

 

Bon et juste avant de partir me relire, j'insiste : OUI je veux rester libre et OUI, je flingue la première salope qui osera toucher à l'andalou !!! Hmmm, cette bande annonce, elle semble me raviver un peu trop de mauvais souvenirs... ;))

 

Je suis sûre qu'en voyant cette affiche, les mecs vont tous se sentir soudainement comme étouffés et les filles menacées... je me trompe ? 

 

Alors je viens de me relire et on constate effectivement que ses réflexions m'ont quand même bien recadrée ! Je crois que j'avais besoin de l'écrire, ça ne m'avait pas tant que ça rendue indifférente. Enfin tout est rentré dans l'ordre, j'ai peur de l'avenir et je fais tout pour qu'il n'arrive pas vite donc tout va bien. Je veux rester jeune et irresponsable ! Trop jeune pour tomber dans le piège... (Je me rassure comme je peux, c'est pas facile de ne voir aucune tâche d'ombre, je vous assure.)

 

Allez, PUBLIER. 

 

 

* là aussi, tu trouves que je le ridiculise ?

dimanche, 01 octobre 2006

I'm back !

22h et toujours cette foutue page blanche...

Je n'arrive pas à me concentrer plus de dix minutes. Trop mal au dos. Ah oui parce que j'ai le dos quasi bloqué depuis ce matin. L'impression de repartir quelques années plus tôt quand je me suis retrouvée à subir des séances de rééducation à gogo pendant des mois... "Vous avez le dos d'un vieillard de 80 ans !", qu'il me disait cet abruti de kiné.

Merde, je ne pensais pas pouvoir ressentir les mêmes douleurs... je ne suis pas tombée, ok j'ai soulevé des sacs un peu lourds hier mais franchement pas plus que d'habitude. Donc voilà, je me retrouve comme une débile à me tartiner de crème Saint Bernard qui pue la poussière toutes les heures et à faire des grimaces au moindre mouvement depuis le réveil, un super dimanche, quoi. Imaginez une nana enceinte de 8 mois incapable de se baisser doublée d'une vieille bossue, c'est moi !

Enfin voilà, je constate que je préfère vous raconter ma vie de vieille plutôt que de plancher sur ce putain de papier à rendre demain... Je suis vraiment une brelle. A force de répéter que je travaille mieux dans l'urgence pour me déculpabiliser de toute feignasserie honteuse, je prends l'urgence de moins en moins au sérieux. Non mais l'inspiration va venir, je sais qu'elle va venir... mais quand, merde ?!!

Bon sinon, histoire de squatter un peu votre attention avant de retenter une énième attaque sans suite, qu'est-ce que je pourrais vous dire... Alors, en vrac, j'ai finalement une infection urinaire donc ces cystites à répétition s'expliquent (pourtant il n'y avait pas eu de bactérie décelée les dernières fois, me paraissent bizarres leurs analyses... Jen la parano) mais je dois quand même faire une échographie, j'aime bien Gaspanik moi, je regrette finalement pas tant que ça d'avoir raté la Blog Party, j'ai des boutons d'ado sur la gueule, je me noie en pleine loose attitude ce week-end, je trouve le titre U-turn (lili) d'Aaron superbe, je trouve ça marrant que Dave compare Mry à Copé, je suis toujours amoureuse et je me pose plus (trop) de questions, j'm'en fous qui vivra jouira, je ne pleure plus (ben oui parce qu'il y environ dix jours, j'arrêtais pas sans raison mais c'est fini, et le Lexo aussi, pas besoin de m'habituer à cette merde pour me détendre, je préfère mon spliff et Lily Allen - écoutez Smile quand vous déprimez, ça fait autant de bien que les premières fois où on a découvert le single de Corinne Bailey Rae) et puis sinon, quoi de neuf... Pour l'instant, c'est à peu près tout.  

 

 

mardi, 26 septembre 2006

Deux jours chez ma mère...

... et aussi crevée qu'un marathonien en ligne d'arrivée. Ma mère ayant eu le bonheur d'être tirée au sort pour être jury pour un procès, je me suis vue dans l'obilgation de retourner chez elle pour jouer la dog sitter. Crevant. J'ai l'impression de passer ma vie à promener cette boule de poils. Franchement, travailler est nettement moins épuisant.

Mais surtout, j'ai encore gagné une cystite. RAS LE BOL. Donc réveil à 6h30 pliée en deux, Advils en attendant l'ordonnance... Et là, surprise, le médecin me donne une solution ô combien à chier : si je somatise et qu'une fois de plus on constate qu'aucun germe n'est à déclarer après résultat des analyses d'urines, alors je devrais envisager de prendre du Zanax ! Non mais je rêve...

 

Cela dit, ma petite boîte de Lexo cachée au fond du tiroir de la cuisine va peut-être me resservir... mais ça m'emmerde. Pas envie de m'habituer à cette merde. Mais quand je compte le nombre de cystites déclarées en six mois, j'hésite... A voir.

 

En attendant, je suis crevée, vannée, j'ai mal au crâne (et les connards d'ouvriers qui continuent leurs coups de marteaux et de je-ne-sais-pas-quoi à 19h52, grrr) et je réponds à personne au téléphone. Donc si les copines me lisent, désolée de faire la morte, la pouffe mais pas du tout envie de parler, vraiment fatiguée. Et encore désolée d'annuler tous nos rendez-vous. Je me rattrape bientôt, promis. 

 Et dire que je dois prendre le train demain et que tout le monde me demande de partout, tant au niveau pro qu'amical... ça craint si je prends que le pro ? Les potes peuvent patienter, merde. Trop de trucs à penser, trop de choix à faire, pas facile. Mais je ne me plains pas, je suis contente, il se passe plein de bonnes choses pour moi, c'est cool. Faut juste que j'arrive à tout gérer tout en gardant une bulle d'air quelque part.

lundi, 25 septembre 2006

Note éphémère finalement intitulée M6 mon partenaire minceur

Je reviens de la salle de bains. J'ai rincé. Rincé les trois putes qui se léchaient les seins et miaulaient comme moi. Copieuses ! J'ai rincé le connard qui ressemble à un acteur Un Dos Tres, j'ai rincé sa bite pénétrant le cul de cette rouquine de province. J'ai rincé ce que gode a fait. Première fois : j'ai jouis en même temps que des acteurs de série B Z X. Putain ce silicone solitaire qui vous baise, ce silicone guidé par la meilleure main qui soit, en temps de pauvreté sexuelle, God que c'est bon. Et voir son visage de sainte rougi par le péché, trouver son teint rajeuni par le plaisir à une, j'ai honte mais j'aime. 

Violent retour à la réalité. Se rincer de ses péchés et voir un vrai visage angélique et profond vous regarder et vous demander : "Dis, toi la dame enceinte, pourquoi tu fais ça toute seule ?" 

 

Penser à rentrer chez les parents le dimanche soir. Eviter ainsi les mauvais réveils post-rinçage de minou sexacerbé

dimanche, 24 septembre 2006

Le charme français

  medium_DSC00656.JPG

 

 Les_Lapins. Stereo Total (dédié au médiateur de mes deux... J'aime pas qu'on me case entre deux plages horaires pour un coup de fil caché, va te faire foutre !), sympa, cette chanson, non ? 

 
buzz