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lundi, 07 juin 2010

Hé, toi, la faucheuse, sache-le : j'aurai ta peau !

(En retard sur tout et je m'en fous, je pense qu'à ma gueule et à ceux qui l'aiment. Aujourd'hui et jusqu'à ce que. La nuance, je ferai plus tard, tout bien pensé.)

dimanche, 06 juin 2010

A qui je dirai je t'aime après ?

Week-end de merde. Pleine de chagrin. Et puis quelques grands éclats de rire.

jeudi, 03 juin 2010

L'amour la nuit, le matin, les joues roses quoi.

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© Céleste Boursier-Mougenot


Grand soleil, belle nuit, on ouvre les yeux, on aime, on aime la vie. Et puis je souris d'être encore en lévitation depuis le week-end grâce à un garçon qui est mon exact contraire. Je vais même commencer par faire des abdos quotidiens, régime sérieux, etc. Je pète le feu, ça fait du bien. (J'avais oublié tout ça, c'est fou.)

Rock'n'roll !



Express yourself, Charles Wright & The Watts

podcast


mardi, 01 juin 2010

Un texte très chiant avec des photographies tout ce qu'il y a de plus bobo

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AR Paris/Vienne, sans toi.
Les trémolos de la chanson, je ne leur appartiens plus.
Je sais que je peux désormais ouvrir les yeux au petit matin gris et les refermer à la nuit tombée sans avoir pensé à toi, exsangue, avec cette plaie qui me suicide et n'appelle qu'à ma perte ("Enfin !" diras-tu, toi qui me lis silencieusement dans tes charentaises).
lesamants à la campagne _ gustave courbet.jpgDepuis deux journées entières je chantonne des refrains qui me faisaient la gueule depuis longtemps, voilà deux journées entières où la cendre a recouvert tes roses fânées tristes et abandonnées, elles-mêmes enterrées avec mon amour pour toi, voilà deux journées à travers lesquelles un homme un peu fou, un peu idéaliste, a rempli mes absences d'un rose vif et insouciant, d'un temps entier et vierge prêt à se faire conquérir par le rire, le sourire complice (ou non, et peu importe je précise avec joie), je peux enfin saluer l'autre qui saura prendre ta place.
Des semaines que je pense à toi avec obsession, un court échange de mots et de bécots m'aura suffi à rompre cette fidélité misérable dans laquelle je me suicidais silencieusement, douloureusement. Des semaines que je t'idéalise encore et toujours (et mal-gré) pendant que tu en aimes une autre; un simple post-scritum aura suffi à y mettre un terme : "Je pense souvent à toi".
Tu penses à moi également, me réponds-tu. Tu me dis également que ta nouvelle vie rangée t'étouffe, il est amusant de réaliser qu'il m'aura fallu lire cette phrase pour entendre ton ennui et ton oubli de moi, comme le chante cette vieille et redondante Barbara qui me poursuit à travers les âges.

Cinq cent mètres nous séparaient depuis presque neuf mois, le temps d'une gestation ou presque, le temps de me faire petite,  le temps de mourir et de renaître. Et voilà qu'un garçon qui me ressemble autant que je suis douée pour la mécanique quantique bouscule cet amour, ce souvenir sardoniquement parfait que je te portais, voilà qu'il me vient aujourd'hui ce besoin de te dire Adieu. Lettre à une passante de Baudelaire n'a jamais été aussi foudroyant, remercie-nous, remercie ce petit italien qui eut l'adresse de nous donner vie et mort sur cette corde à linge de Web sauvage, jamais jusqu'à présent je n'avais autant eu cette vivifiante et terrible impression de faire face à l'homme de ma vie fait Darth Vador, celui avec qui on a envie de subir la turista aux quatre coins du monde, celui à cause de qui on s'autorise à devenir une femme au ventre rond, celui pour qui on aurait dit oui à tout et surtout n'importe quoi, Lui je ne l'aime plus. Je me suis trompée, tant de temps pour le comprendre.


Ce petit texte pour te dire adieu, à l'image de notre courte passion (il y a bien trop longtemps à tes yeux, je n'en doute point).

Et donc, initialement, je partais sur l'idée d'un court paragraphe en hommage à celui qui refusa de dire mercimaman à cause de Pétain dimanche dernier, je voulais parler de ce garçon qui ces deux derniers jours m'a tout redonné, sans peut-être en avoir conscience. Alors toi, quand bien même ici nos routes se séparent, j'ai cette envie, celle de te dire Merci, pour tout.

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Pour ton côté jour qui affronte mon côté nuit, pour ton hyperactivité qui éclaire mon oisiveté, pour ta mère qui détesterait la mienne, toi qui veux donner mes six tonnes de vêtements à Emmaüs et moi qui se refuse à ne jeter ne serait-ce qu'un bob Ricard car tout est souvenir, toi qui cette nuit-là a souri quand j'ai par timidité excessive renversé cette bouteille d'eau pétillante sur ton corps dans cette chambre qui ce soir-là m'apparut sous un nouveau jour, toi qui m'as dit des choses qui m'ont fait du bien, toi que j'ai aimé accueillir, toi qui as su me réceptionner tel un gentleman cambrioleur, toi qui m'as donné le déclic, toi qui sans le savoir m'offre cette force, de devenir à nouveau une fille, une fille aimable, une fille libre, une femme.

 

Putain de bordel de merde ! ça fait du bien de mettre noir sur blanc ce qu'on a sur le coeur ! On veut pas de moi ? On ne m'aime pas ? Je m'en fous, j'ai regagné cette confiance qui s'était raisonnablement fait la malle, maintenant je suis bien là, et l'homme qui m'aime saura, aura le bon sens de me brûler les yeux et comme Didier Morville, à quarante ans passés je vous le dirai : L'Amour crétinise certes, mais l'Amour vous rend beau con et vivant, et cette bitch d'Amour vous fait oublier l'antimatière, l'homme de Flores et les pigeons. Maintenant, je n'attends plus. C'est maintenant que cela se passe !

 

PS : CAP FERRET !!! Vivement août, l'eau chaude les amis le bon vin le rire bref le trip à la Sautet ;-) (Oui, je viens tout juste d'apprendre où et avec qui je passerai mes vacances, c'est de la bombe bébé, tout simplement)

 

 

Vienne, BARBARA
podcast

L.O.V.E. (version française), NAT KING COLE
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(pour le péteux) Audrey Anderson, JEROME ATTAL
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Ohe  ! Paris, CHARLES TRENET (la plus importante parce que Trénet, l'artiste qui reste dans mes oreilles depuis ma tendre enfance)
podcast

 

Et puis :

Juste le temps de vivre (poème), BORIS VIAN

Vivre à même l'amour, BEN RICOUR

At Last, ETTA JAMES

J'en avais envie aussi, WILLIAM SHELLER

Je prendrai sur moi, ART MENGO

Heureux avec des riens, CHARLES AZNAVOUR

33, DOMINIQUE DALCAN

Beginner's luck, EELS

(et tellement d'autres/je n'aurai pas le toupet de mettre ici des chansons que j'ai auparavant envoyées à des hommes d'une nuit nuit ou d'une vie)

 

PPS : Et puis mon vernis pupute corail tourné vers le cerise, à en croire la tête d'un ami hier soir, il me rend "femme fatale". Y a plus qu'à faire l'effort de retrouver mon poids forme (entendez par là mon poids "je déprime pas", et dites bonjour à Jen, la vraie, celle que je suis)

jeudi, 27 mai 2010

J'ai ri.

La fête sur l'île.

Ton serial killer préféré, AUTOMATIQ

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Et Baby Jane* en boucle - pour de vrai - de Rod Stewart, imaginez-moi allongée sur la Ferrari rouge de Ricardo le gagnant de l'Euromillion du mois de février 2009, un clip en 3D tourné à Palavas, so sex.

 

Tout plein de bonnes vibrations, tu vas aimer ça bébé, je vais te faire valser au Social, marcher sur l'eau, je t'appellerai Moïse devant mes copines et je te ferai rôtir place Vendôme à la fin de l'automne.

 

Miaou.

* la vieille intro MTV, I love french fries, tiptoptip

PS : Cul musclé le Rod, n'empêche. On veut toutes son futal jaune !

lundi, 24 mai 2010

Si t'as trouvé un taxi qui ne t'a pas demandé ton avis sur les Champs fleuris, je te félicite

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Rentrer avec o,9 g x trop, aller dans iPhoto, glisser les clichés qui me plaisent sur l'instant T jusqu'ici, le tout en écoutant l'album Pic à glace des Bijou. Ne pas réfléchir.


Je ne t'oublierai jamais, BIJOU

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Aaaah, Florian Mona

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Après la matière noire, l'origine de la croyance et l'homme de Flores, c'est désormais la vie des volatiles qui me fascine. Autant que les singes. Je cherche les deux éperviers aux Buttes, reste bouche bée devant la pie qui vient frapper à mes fenêtres, m'amuse du manège des corneilles dominatrices et reste totalement médusée par ma facilité à apprivoiser les pigeons.

A part mes oiseaux, ma musique et mes photos de merde ? Un numéro. Que je ne taperai jamais sur mon clavier tactile. Il était beau quand même, ce temps des pneumatiques et des télégrammes. Et des mails où le vouvoiement était de mise.

Je les laisse venir, j'appellerai quand j'aurai un vrai coup de pupilles dilatées-tempes battantes-jambes tremblantes.

C'est ennuyeux je trouve ce genre de garçons qui te courtise en fonction du T-shirt que tu portes. Moi, cette nuit, je trouve ça plus sympa de travailler à une version néo-connasse bobo loser de All we ever wanted was everything de Bahaus. Pas un truc qui ressemblerait à la version de Xiu Xiu (que j'aime bien), non moi là je chante ça avec une touche Ray Ventura et je trouve ça super cool.

Regardez les oiseaux, prenez le temps de lever la tête de gagner un torticoli, ils vont si vite, puis ils planent, puis rebattent de l'aile et accélèrent d'une manière qui moi me le file le vertige dsans quitter terre, non mais bon, si vous êtes comme tous mes potes à qui j'en ai parlé et qui me regardent d'un air bizarre, bon bah laissez tomber, sinon regardez bien, c'est fou. Magnifique. Un vrai monde parallèle au nôtre. Ils sont beaux, et puis si vous pouvez, apprivoisez-les, et caressez leurs ailes, c'est tellement doux...


Rien à foutre du parisien aux bonnes solaires aux bons goûts musicaux au bon look aux bons amis aux bonnes sorties, rien à foutre également du mec écolo qui aime les pigeons les chattes pas épilées et la baise dans des draps en lin.

jeudi, 20 mai 2010

Pause sociologique

Manuel_de_la_vie_pauvre.jpgCindy*, regarde la caméra, essaie de te concentrer pour bien comprendre ce qu'on te répète, regarde les bites rouges sur pattes autour de toi, entre dans le cube et garde le moral pendant deux mois.

Putain... (je dis ça mais ça va être ma pause récré chaque jour et je dirai rien à personne, sauf à Axel parce que c'est le seul qui me comprend.)

Onglet Rire (onglets Travail à côté, je jure) : http://twitter.com/#search?q=dilemme

PS : Pour les gens qui ont une vie, je cause Dilemme, la nouvelle real tv de W9, de la TNT ouais cheap je sais. Si en plus je vous dis que je mate ça sur l'iPhone, vous vous dites que je touche le fond ? Mais pas du tout vous répondrai-je, j'assume juste de me faire bouffer le cerveau parce que merde, j'ai pas arrêté de la journée et que de voir un tas d'abrutis à la télé, moi ça me détend grave.

PPS : Je m'inscris à Pékin Express. Un grand moment de télévision si notre duo est sélectionné. Et je sublimerai l'abrutie de la télé... wouah.

Pssstt : 1 point pour Florian la grande folle bidon qui chante comme Eve Angeli.

* Cindy me fait penser à un travelo mal opéré

 

mardi, 18 mai 2010

THIEVES LIKE US - Forget me not

(Ce que j'aime ce groupe, je les voudrais chez moi à chaque fois que je m'envole dans un film reconstitué, autant dire vingt heures par jour quelque chose comme ça. Ecoutez leur dernier album !)

J'en profite pour repassez les autres clips, hop quelques-uns ici.

Never known love, totalement addictif. Entre les Mille et une nuit et une descente cool. Shyness pour faire des bulles roses au bout d'un bâtonnet en laissant son regard tomber sur le garçon du banc d'en face, One night with you en musique de fond à la soirée où l'on s'est rencontrés, et patati et patata Jen et ses histoires à la mords-moi le coeur.

PS : salade pousses d'épinard filet huile d'olive feta, mmmm / bâtonnet de glace fraise guimauve Hello Kitty, mmmm = mes gourmandises du moment

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EDIT : Oh putain ! un lecteur psychopathe vient de me souhaiter un joyeux bloganniv'. Je me demande bien à quoi ça sert que je supprime l'onglet Archives... Enfin bref, j'ai honte de le dire mais je le dis quand même : 5 ans de trop que je suis ici. Pour résumer : 1 667 notes, 20 711 commentaires, et à peu près dix millions de chansons en tout genre partagées dans la joie ou la tristesse. Faut vraiment que je ferme ce blog avant mes 30 ans... Je peux le faire, je peux le faire... mouais, on verra hein. Bon ben tant qu'à être misérable blogueuse, autant vous dire merci pour la fidélité et le reste (parce que des dossiers, j'en ai !). Il y a les fidèles de la première heure, les badauds, ceux qui viennent une fois l'an, ceux qui arrivent ici en googlisant "refouler ses sentiments", "albert souffre" ou encore "micropenis", ceux qui me lisent discrètement, ceux qui me détestent, ceux qui m'adorent pour de mauvaises raisons, ceux que je lis également, ceux que je ne lis pas et à qui je fais croire que je les lis en leur laissant un commentaire de temps en temps, ceux que je ne peux pas blairer, ceux que j'aimerais voir réapparaître dans les commentaires, ceux qui sont devenus des amis ou des amoureux et tant d'autres encore. Voilou, adios. A demain, quoi.

dimanche, 16 mai 2010

Quoi ? Je t'ai même pas manqué ? Gros naze !

Je te raconterai pas comment j'ai flippé dans cette maison la nuit toute seule, c'était pas glorieux. Mais la vache, j'ai bien dû penser à la fille Giraud une bonne centaine de fois ! L'isolement complet a été bénéfique, c'est l'essentiel. Pour te dire, premier apéro hier : aucun excès. Et zéro envie d'en faire (sauf un instant mais coloc m'a dit que c'était mal d'appeler le dealer à peine rentrée). J'ai même maigri. J'étais pourtant persuadée qu'une semaine à glander sur le canapé à regarder les vaches en bouffant du bon camembert normand et des fraises au sucre à gogo aurait suffi à prendre une taille, et ben non. Comme quoi, quand la tête va mieux, le corps aussi. J'étais bien.

Premier vrai kiffe du retour : checker les abonnements Youtube et découvrir deux, trois chansons qui me plaisent. Ca, c'est du vrai plaisir.

Puis en ce moment même, Glenn Gould sur Arte, tout est parfait. On reste sur cette lancée.

Deux coups de coeur un dimanche soir, plutôt pas mal pour un nouveau départ... Je te laisse avec Vinnie Who et The Mary Onettes, tu me diras si t'aimes. Si c'est pas le cas, je m'en moque pas mal mais bon, penses-y si tu décides de m'envoyer une mixtape la veille de ton mariage (imbécile !).

* VINNIE WHO - What you got is mine (J'adooooore, viens, danse avec moi !)

* THE MARY ONETTES - The night before the funeral

PS : Evidemment, le chien n'a pas pas daigné faire ses besoins ni dans le jardin, ni dans les champs voisins, ma mère l'a donc ramené avec elle. Un chieur de première. Chieur deluxe. Donc tu vois, même pas un dog senior pour me défendre contre les paysans violeurs cambrioleurs, non vraiment je reviens de loin. ;-)

 
buzz