mardi, 03 avril 2007
On se calme !
Non mais voilà, je dis que je suis à moitié en train de mouiller dans ma culotte devant des photos, je repars bosser (enfin j'essaie) et quand je reviens, je ne lis que des assoiffés !
Oui, normal.
Maintenant, je suis sur Kirsten Dunst alors bon...
Enfin ça n'empêche que les hormones hurlent. Seront-elles entendues en Gudeloupe ? Vous le saurez au prochain épisode...
16:54 | Lien permanent | Commentaires (11)
...
Pour les besoins d'un papier sur l'érotisme dans la déco, je vois défiler devant moi des photos Getty qui me donnent une envie irrésistible de corps à corps, de sueur, de mains tirant la crinière, de draps souillés bref... c'est dur.
Merci Getty, merci le libertinage, merci les hormones.
(Essaie de te reconcentrer après !...)
14:40 | Lien permanent | Commentaires (9)
lundi, 02 avril 2007
What will be will be
Le soleil donne tellement qu'il m'était impossible, dans la rue, de lire la lettre de cette sculptrice qui vient d'acheter l'atelier dans la cour. Les étudiants marchant d'un pas lent vers la fac de Médecine sont sortis ce matin sans parka. Le badaud est souriant. Je suis bien, ce temps accroche le bien-être : un lundi qui appelle aux suivants, peu importe la vie tant que le soleil est là, moi je souris.
Bonne journée !
11:39 | Lien permanent | Commentaires (11)
dimanche, 01 avril 2007
1er avril
11:30 | Lien permanent | Commentaires (19)
samedi, 31 mars 2007
Entre deux
Je me réveille avec une pêche de cocaïnée à achever un dépressif et maintenant, je me demande quelles seront les réactions de mes proches quand ils apprendront que mon avion s'est abîmé en mer et que les requins ont vite bouffé la bobo en pleine menstruation.
Putain...
(Personne n'aurait une photo de Jane Birkin dans les 70's avec son jean patte d'eph' et son panier ?)
14:32 | Lien permanent | Commentaires (11)
vendredi, 30 mars 2007
Le premier qui bouge...



19:20 | Lien permanent | Commentaires (45)
jeudi, 29 mars 2007
Got milk ?
Je n'aime pas le lait.
Encore moins l'odeur du lait chaud.
Et pourtant là, cette odeur de lait brûlé sur ma plaque, je la trouve délicieuse.
C'était l'instant "Prenons le temps de rien avec Jen".
Je vous remercie. Bonsoir.
Par hasard, je viens de tomber sur ça et je n'ai vu aucun rapport avec cette note alors il m'ait apparu logique de la mettre ici. (Enfin bon le lait, ça inspire...)
19:50 | Lien permanent | Commentaires (14)
Mouais...
Je ris jaune en voyant cette bannière affichée chez certains blogueurs... (très drôle de voir des personnes de droite afficher le petit drapeau pro-Ségo). Pourquoi ont-ils autant besoin d'afficher leur couleur politique, se pensent-ils si influents ? Enfin bref... je retourne bosser. Je pensais aérer mes neurones le temps d'un tour sur les blogs mais là, me suis plantée.
Sinon, remercions l'inconnu qui m'a mailé ses perceptions du couple. Marrant de recevoir ce texte aujourd'hui.
Edit de 13h27 : rassurée de savoir que je ne suis pas la seule à regarder la Nouvelle Star. Première fois que je suis cette merde et je me disais que l'idée du drapeau en bannière revenait à afficher son candidat préféré de la Nouvelle Star, ouais, je trouve ça aussi naze. Cela dit, j'affiche ma couleur musitique (!), je veux voir gagner Julien et son yukulélé : il touche mon coeur de minette, j'aime ses goûts, ses adaptations, ses choix, ses sapes, tout ! Voilà, c'était la pause régression lose attitude. (Contradiction, quand tu nous tiens !)
Et maintenant, je file chercher mon cd de Tété en "écoutant" le post-it de Folie (oui, ma meilleure ennemie, vous avez bien lu).
Edit de 13h46 : Allez, pour le plaisir... (J'ai évité Flou et A la Faveur de l'automne, ce serait dommage de se filer le cafard un jour de pluie.)
12:40 | Lien permanent | Commentaires (30)
mardi, 27 mars 2007
Jen à Deauville...
... ça donne beaucoup trop d'alcool (donc beaucoup de conversations en famille très instructives pour mini bobo qui grandit) et un cadavre.
Toujours sympa de voir les (bons) amis des parents et apprendre que le mec va aux Chandelles. Encore plus sympa de constater que mes parents apprécient son côté épicurien... Moins sympa de voir ses yeux loucher sur mon décolleté au Ciro's (faudra quand même qu'on m'explique pourquoi ils vont tous au Ciro's, je trouve la carte tellement mauvaise à chaque fois...). Mais bon, moi je louchais sur son fils, hélas trop jeune pour moi. C'était bien, c'était chouette, rien de tel qu'un week-end avec les personnes sur qui on pourra toujours compter pour se remettre d'aplomb. Merci à la coach parfaite.
Bande-son : It's not the worst I've looked, Lali Puna.
10:35 | Lien permanent | Commentaires (17)
mercredi, 21 mars 2007
Pause pipi
Et oui, encore !
Vous arrivez à uriner juste ce qu'il faut dans le gobelet ? Moi, jamais. Je suis généreuse... au niveau urinaire. Mes leucocytes aussi d'ailleurs, ils aiment bien donner, beaucoup, trop.
Evidemment, vous trouvez cela crade. Scato comme vous dites toujours. Et bien, demain, vous en aurez deux pour le prix d'un ! Atroce, le labo veut la peau de Morphée et la mienne avec : demain, je dois mettre mon réveil trois heures plus tôt pour pisser dans le petit gobelet, ensuite grand verre d'eau et dodo pendant trois heures, interdiction de rester debout et repipi dans le grand gobelet. Passionnant, n'est-ce pas ?
Rien d'autre à raconter. Juste que j'envoie valser la petite enfance, la psycho-somatisation, les séparations et Basile.

Incroyable, cette grêle !
Tout à l'heure, j'obervais leurs ricochets sur les tuiles du toit d'en face. Ces grosses billes blanches, presque des calots (si, c'est vrai) jouaient à la marelle, c'était drôle. On avait presque envie de les rejoindre. Je voulais les filmer mais plus de batterie. Dommage, c'était vraiment joli. Le toit ressemble à un de ces tableaux roses de Toulouse. Pour la prochaine fois. J'aimerais bien vivre rue Mabillon, vers le numéro 5, juste pour observer les cours de piano de l'autre côté de la rue. Il était sympa ce salon, j'imaginais comment j'aurais aménagé l'appartement à ma sauce. Le matelas à terre, la fenêtre à sa droite, les placards intégrés, j'en rêve... Mais on entendait trop la femme du dessus, ses talons, une secrétaire, je pense. Elle se levait tout le temps pour trouver le dossier Trucmuche dans le meuble plus loin. Habiter au dernier étage. Important. Mais avec ascenseur et sans les studettes. L'étage juste pour deux appartements. Mais s'il y a le feu, ça craint. On s'en fout, vous avez raison. Envie de parler de plein de trucs importants pour personne.
Et maintenant, ça gronde. Un temps à... ne plus penser. Attendre que cela (ne se) passe. J'aime bien ce temps derrière les carreaux. Se tenir à carreau, derrière les carreaux et finir sur le carreau d'en face. Hmmm, 17h dans pas longtemps...
Thé, miel, plaid, songeuse.
Travaillons, c'est mieux.
17:00 | Lien permanent | Commentaires (45)