mercredi, 24 juin 2009
Confession intime : Jean-Luc m'émeut, les hommes perdus
Je suis très émue ce soir. Jean-Luc a invité des femmes aux mille conquêtes ainsi que John-David et Ilario. Je suis très émue ce soir, c'est la dernière de Ca se discute. Je perçois le trouble sur le plateau, Jean-Luc est sur le fil, malheureux comme la pierre d'alun, connue pour sa toxité vous savez ces séduisants sels d'aluminium dont parlent les mères au foyer à la sortie de l'école depuis quelques semaines. La vie est une course d'obstacles mais heureusement un pont cathodique soignera mon calvaire.
Hommes ou femmes : qui sont les meilleurs séducteurs ?
Un homme aux lèvres pincées vêtu d'un polo noir sous un costume beige acheté en 1993 au stock Daniel Hechter de Troyes affirme avoir fait l'amour avec 368 femmes.
Je suis très émue ce soir.
L'homme de Troyes confesse n'avoir offert son corps athlétique à aucune brebis l'année de ses trente-huit ans.
Je suis anéantie ce soir.
Vous entendre m'enrichit.
Jean-Luc, je t'aime.
(Sachez-le : les filles cancer se reconnaissent à leur chevelure et les capricorne à leur vêtements tandis que les filles taureau font souvent tapisserie. "Oh là là, je kiffe" dixit Jean-Luc. Jean-Luc sera mon premier mari.)
Ménagère de moins de trente ans
Si un jour vous cassez une petite bouteille en verre d'épices, et que vous décidez de jeter le pâté de sable qui orne ainsi le plancher de la cuisine avec un aspirateur, pensez à changer le sac ensuite. Dans la cas contraire, à chaque fois que vous passerez l'aspirateur, votre maison se transformera en curry madras géant.
Ca m'apprendra à être aussi fainéante.
J'ai besoin de vacances. J'engueule tout le monde et fais preuve d'une mauvaise foi rare.
10:01 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : fever ray triangle walks, fever ray, marre de paris, boutons symétriques
lundi, 22 juin 2009
J'aime les hommes chauds qui tuent les femmes de sang froid
Je me souviens d'un soir à Vegas, après une "party" dans sa suite avec quelques actrices en devenir qui nous suivaient dans notre tournée avec les Rat Pack en 63, Franky m'avait confié au bar du Caesar après un pari gagné dont nous tairons ici la finalité qu'il n'avait parmi toutes ces sirènes échouées qu'une seule reine : celle qui souffrait d'un déficit...
Franky ne baisait qu'avec des putes mais n'aimait qu'une seule femme...
samedi, 20 juin 2009
Indécise puis non
Temps de merde. The Holiday sur le câble. Je range puis je me pose, regarde mes mails. Je regarde les livres de la bibliothèque, une cigarette et je renonce à sortir flâner à la brocante. Je re-range et je me couche sur lit pour admirer le travail en stand-by. Je retourne sur le canapé, reprends The Holiday, clique sur Habitat pour faire un tour des trucs trop chers à acheter pendant les soldes. The Holiday. OK, là, je ne bouge plus et je me renseigne sur les échanges d'appartement : grosse envie d'aller en Californie chez un étranger. Mon appartement est assez grand pour un couple, pas trop mal placé, cosy, ouais, je pense que je peux trouver un nid douillet où squatter un temps. Allez hop, c'est parti, je veux manger des burritos avec le voisin branché fitness et macrobiotique de ma prochaine adresse sur la côte Ouest ! Et ensuite, NYC.
(Demain, évidemment, je parlerai des mes vacances en Sardaigne.)
Edit 16h26 : Bon bah voilà, c'est décidé, en septembre j'échange mon appart avec un new-yorkais, A. et moi on est prêts à s'empifrer de hot-dogs et de jouer les écrivains maudits sur les marches de l'escalier d'entrée, yeeeaaaah !!!
16:00 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : the holiday, échange d'appartement vacances, vivement l'été le vrai
jeudi, 18 juin 2009
Dans ma barre de recherche, tropical
mercredi, 17 juin 2009
M'en fous j'assume j'assume j'assume (même si bordel ça me coûte cher)
Il n'y a pas d'énième degré, j'ai perdu trop d'amis à cause d'eux mais voilà moi certaines nuits je ressors un CD 2 titres caché derrière BoysIImen lui même caché derrière Nick Drake et ben voilà ... JE CROIS À MON ÉTOILE LES RÊVES ONT CE GRAND POUVOIR... je kiffe !
Ah sans déconner, j'adore cette chanson ! Et ben ouais, toi là tu te dis meeerde, et oui, j'adore Mon Etoile des Link Up, The boysband de ma vie !
01:13 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : link up mon etoile, fan de
lundi, 15 juin 2009
Il pleut donc 1 2 3 soleil
15:25 | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : lunettes liberty, topshop, tom tom club genius of love, tom tom club
dimanche, 14 juin 2009
feignasse
Pleuré à la fin d'un film sur deux, correct. Pleuré au moins une fois à chaque film, pardonnable.
Ranger ses affaires par couleur.
Un verre de vin allongée sur le parquet les courants d'air chaud et la liste au prince des steppes.
Strictement rien foutu de la journée, grisant.
J'ai des problèmes d'amour mais pas de mycose; un ami qui m'inspire un beau rôle et les lèvres un peu rouges.
A vélo ce refrain la nuit vite très vite brûlant les feux comme un homme fataliste devant trois hommes armés sur une route inconnue, c'est extra et la triche amène la perte et la perte de soi c'est terrible (enfin c'est ce que j'aurais dit si j'avais pris le vélo) :
19:38 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cursive, cursive i couldn't love you
samedi, 13 juin 2009
L'Amour et la Violence
6 rue Antoine Dubois
nombreux accrochages à vos pieds chère statue, nombreuses lèvres accrochées courant à leur perte
de jolies secondes
nous n’écrirons jamais chic au pluriel
l’adolescence l’amour et la violence
6 rue Antoine Dubois
ne plus traverser la Seine treize fois par semaine
ça peut rendre un homme fou
Vulpian et l’orange pressée après le coït et la folie effritée
Ta main dans la mienne l’après-midi près des poneys, leurs crottes sujet de discorde et la boue en or sous un soleil de juillet
Au 6 rue Antoine Dubois Fatima et le loft des industriels, la brésilienne et ses poussées d’hormones, Micheline et sa fourberie au moment de choisir sa place dans la queue du Franprix, Au 6 rue Antoine Dubois mes amours et dernières nuits avec vous, Au 6 il y a le retour du saxophoniste, Du 6 j’ai gardé les clefs.
Rive gauche ; rive droite, mes amis ; mes amants
Vulpian et la nuit où mon cœur a cessé de battre.
Mon anniversaire approche, et comme pour chacun d’eux, je réalise qu’écrire vos prénoms sur des brosses à dents est bien moins important que souffrir sous vos aphtes.
Message sponsorisé par l’institut buco-dentaire de Monceau(-Fleurs).
(il faut que je vous fasse écouter ma chanson ado du moment)
jeudi, 11 juin 2009
Bordel organisé
23:25 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : mondrian, se dépêcher d'avoir du temps ou l'inverse