lundi, 12 octobre 2009
En vrac
On vous fait gagner des places pour le concert de Simian Mobile Disco ce jeudi, suffit de laisser un commentaire avec son coup de coeur musical du moment, hop ici : http://www.besnob.fr/2009/10/12/simian-mobile-disco-au-ba...
Du reste, je vous raconterai pas comment Julien me drague devant sa meuf, pourquoi je n'ai pas dormi chez Johnny Cash Jr et pourquoi d'ici demain soir il y aura un carnage entre le 2ème et le 6ème étage. Mal à la gorge, ça pique, ça sent les soirées sans manteau, je vais devoir ressortir la laine et les yeux charbonneux.
(Suis rien qu'une allumeuse.)
10:51 | Lien permanent | Commentaires (1)
jeudi, 08 octobre 2009
Noah And The Whale - Blue Skies
Prenez le temps de regarder cette vidéo, elle est vraiment belle. Tout comme la chanson...
The First Days of Spring Official Trailer from charlie fink on Vimeo.
This is a song for anyone
With a broken heart
This is a song for anyone
Who can't get out of bed
I'll do anything
To be happy
Oh cause blue skies are calling
But I know that it's hard
This is the last song
That I write
While still in love with you
This is the last song
That I write
While you're even on my mind
Cause it's time to leave
Those feelings behind
Oh cause blue skies are calling
But I know that it's hard
I don't think that it's the end
But I know we can't keep going
I don't think that it's the end
But I know we can't keep going
But blue skies are calling
Oh yeah blue skies are calling
Oh blue skies are calling
But I know that it's hard
PS : Alors Marianne, ce concert ? Nous on s'est bien marrés. Jeremy Jay et son guitariste, je les adore. Jeremy Jay, c'est un peu le Prince Charles qui aurait eu la bonne idée de larguer ses devoirs pour la route du rock.
13:25 | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : noah and the whale blue skies, noah and the whale
mercredi, 07 octobre 2009
Le dernier arrivé est fan de Phil Collins !
Lorsque Steak était sorti en salle à l'époque, la bande-annonce (pas révélatrice du bon goût de ce film) m'avait attirée puis comme toujours je n'ai jamais franchi la caisse. J'ai donc attendu qu'il passe sur l'une des chaînes cinéma. Hier. Hasard, je tombe dessus. Scotchée quasiment tout le temps, sauf à la fin, dommage, trop neuneu. On aurait aimé un drame. Enfin j'aurais aimé.
Ce film est très surprenant, surtout que le casting faisait un peu craindre au départ. Une esthétique superbe, des plans qui rompent avec l'esprit "comique", une musique de Tellier/Mr Oizo/Sebastian, un jeu juste, du rire jamais vulgaire, vraiment j'ai adoré ce film. Une ambiance pesante et addictive à la Twin Peaks, franchement Quentin Dupieux aka Mr Oizo le réal, a signé un bel ovni, je suis fan.
Pour les shots de lait, le mode de vie des Chivers, les boudins les filles naturelles, le baseball alternatif, le lifting du visage, les bicross démodés, les bouloches à éviter et "Le dernier arrivé est fan de Phil Collins !", je vous invite à voir Steak si ce n'est déjà fait - suis toujours en retard.
Et l'autre bonne nouvelle c'est que ce soir je vois Jeremy Jay, Chris Garneau et Richard Walters en concert et que j'ai hâte ! (Une prière pour avoir Castle time.)
Steak, hein, je vous jure vous allez vous marrer.
12:05 | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : bouyaca, steak quentin dupieux, quentin dupieux, film steak, concert ce soir, chivers
mardi, 06 octobre 2009
Olivier L.
Un lundi qui s'éternise et qui surprend, bah finalement tout bien réfléchi, au calme, c'est pas si fréquent. Cette nuit m'ont été offertes suffisamment d'herbes plus fraîches que les mauvaises cultivées sur le balcon, plus de rosé qui d'habitude me fait vomir rien qu'à la vue et des rires, tous ces petits dons du quotidien et alors on a ri comme des gens à qui on offrait une seconde vie c'est fou ça rend euphorique, et puis on eu droit de mort sur un énoooorme moustique qui demanda une quinzaine de minutes avec balai tabouret chaussures et cris d'épouvante avant le dernier souffle. Nous avons tué un moustique et je le regrette. Mais voir la voisine de l'immeuble d'en face, une Anémone cheveux gris et moue aigrie qui cuisine du boudin noir pour sa petite fille, ça vaut un shot au PI.
Des rires des dialogues et des dessins plus tard, je me retrouve la nuit au bar pas loin de chez moi (après 20 minutes à pied chargée comme un âne dans les montagnes d'Afghanistan), j'arrive au bar ils ferment mais
dites
...
:
"Des cigarettes, c'est encore possible ?"
Et alors me répond ce barman blond et svelte, sans relever la tête de sa caisse : "Oui, tu veux quoi ? Mais attention, tu as l'appoint sinon ce n'est pas possible..."
Je luis réponds : "Mince (si si, j'ai dit mince et non merde, la nuit je suis polie), je n'ai qu'un billet de 10 euros... Je vous donne 10 euros et j'ai droit à un café la prochaine fois, OK, tu me visualises pour la prochaine fois ?!"
Et alors ce garçon relève la nuque, avec son air débordé me regarde un dixième de seconde et me répond de nouveau la tête enfouie dans sa caisse : "Saint Michel de Saint Mandé, je sais qui tu es".
Olivier. Ca alors... Olivier. (Je ne vous raconte pas quand nous nous sommes recroisés vers 2h10 dans la rue, mais je sais une chose, ce garçon a rayé de sa carte celui qu'il était avec ses tics de langage... Il a rayé le garçon un peu bègue et il est devenu celui qu'il aurait aimé être, je m'attache à des faux signes mais le voir, ce soir, c'est comme une petite voix qui me dit : "T'as raison, l'avenir est au présent et reste celle que tu deviens, le passé ne compte plus vraiment.")
Quand j'ai tapé son prénom+nom sur Google, en première page, je suis tombée sur cette photo de garçons alors mal dans leur peau à l'âge ingrat (le dernier rang vaut 307 euros chez NAP)... Elle m'a plue.
(Je ne l'aurai jamais reconnu.)
02:57 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : olivier l, purple violets, les garçons du lycée
dimanche, 04 octobre 2009
Suis mélo et je vous emmerde
Un élément déclencheur : Diego (je me douchais samedi et l'autre Michel Berger qui vient me chanter la liberté de son Diego que je me sèche avec ma grande serviette rouge, j'avoue j'ai ri puis vite me la suis jouée héroïne d'un M6 clip 1987) qui me vire et me bloque sur cette merde de fcbk parce que dans tes moments de faiblesse, il convient de rester courtoise, toujours. J'en suis pas, surtout la nuit.
Alors là, ça me prend comme une envie de vous offrir une flaque de merde sur vos jolis souvenirs de trentenaire ou quarantenaire, je vous vire à mon tour. Et puis oui, c'est bien de partir sur de nouvelles bases quand l'heure du sacro-saint bilan de la presque trentenaire déboule. Ca arrive après une soirée ou **. et **. me racontent comment ils ont baisé cette nana de 36 ans, ça arrive quand *** me fait subtilement la cour et que j'ose à peine à y croire au moment d'éternuer dessus, ça arrive quand je regarde toutes ces histoires aussi belles que fatalement destructrices.
Je suis dans une phase naze, pas de doute ni de beau mot pour décrire ce que je ressens quand je regarde toutes ces complicités et ces "Tu es trop pour moi". En déplaise ou non, mon rejet pour l'instant est total. J'ai envie de tous les rayer, même ceux devenus amis, même ceux que je regrette déjà. Y a des périodes dans la vie où l'on a envie de tout bazarder et là, c'est vous que je bazarde, tous ces hommes que j'ai aimés, une nuit, un mois, un an ou plus. C'est comme ça et pas autrement, pardon (monculmououais).
(Là-dessus j'ai écouté comme une conne Judas et C'est faux de Constance Verluca ainsi que cette chanson entendu chez V., Les armes miraculeuses, de Mike Ibrahim et j'ai bien fait de picoler gentiment et de lécher son cou sur le capot de la bagnole et d'embrasser ce si gracieux et bel habitué de ce bar où jeperdsmonadresse quand moi je chante didadidadoumdoum.)
Ouais, je vous emmerde je sais et puis ils donnèrent beaucoup d'emmerdes à la république et d'enfants à des femmes qui ne sont pas moi.
Acte III.
...
(Totalement fragile, complètement irresponsable, on va donner un point aux hommes qui n'ont pas aimé assez longtemps et une vie champi à la warrior. Demain, on se laisse offrir deux vers et hop hop hop... je décide cette fois.)
vendredi, 02 octobre 2009
David Letterman et bon week-end
Je viens de lire ça (au lieu de travailler, oui) :
Je me suis demandé : quel animateur français pour nous faire la même ? Aucun, on est en France et les animateurs sont nazes ici.
Mais quand même, sa femme, quand elle a entendu le public rire (même si applause et tout le tralala): la vache !...
Enfin au moins, elle sait qu'elle pourra se faire un beau pactole au divorce, finalement c'est elle la gagnante là-dedans.
La vie est formidable. Les hommes aussi <------ ça faisait trop aigrie, faut que je reprenne espoir en vous nos amis
Tout peut arriver
Après un caca nerveux dans la rue en sortant de la banque (oui je vous dis, la banque les mecs et moi, en ce moment, c'est pas vraiment ça), je suis tombée sur ma voisine du dessous, la méchante. Et ben la méchante, elle m'a remonté le moral pendant 45 minutes, je connais toutes les fissures de son appartement, toutes les fois où elle a été inondée à cause de l'autre naze de mari plombier demesdeux qui habitait chez moi il y a longtemps, je sais où son fils dort, à quelles heures, je sais qui est propre et qui ne l'est pas dans l'immeuble mais surtout, je sais qu'il ne faut pas penser à faire sa vie avec le même homme, et puis aussi qu'après 35 ans, j'aurai vraiment de quoi m'inquiéter si je n'ai pas d'enfant. En théorie, elle aurait pu appuyer à ma place sur la gachette mais en fait non, ma voisine facho, elle est gentille au fond, malgré son côté fouineuse et maniaque (elle fait chier tout le monde pour qu'on paye le shampooinage du tapis de l'escalier, et allez encore un truc à payer pour Bibi !). Elle m'a réconfortée, cette emmerdeuse. Tout peut arriver. Donc.
Je lui ai promis de ne pas faire de sapin cette année.
(Elle m'a quand même placé à plusieurs reprises que mes pas + ceux de mes amis ça fait quand même un peu beaucoup de bruit, que lorsque j'arrose mes plantes j'emmerde la vieille du 2ème, que je fais trop de bruit pour la voisine du dessus et que mon paillasson n'est pas aux normes. Mais je lui pardonne, c'est la seule qui aujourd'hui m'a parlé avec douceur.)
Ca fait du bien d'être soudain pleine de bons sentiments quand on a envie de bouder le monde entier. Merci la vieille ! 75 ans et pas prête d'arrêter de faire chier la copropriété, finalement je la kiffe. J'aime bien les chieuses.
17:29 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : la voisine du dessus, mes chers voisins
jeudi, 01 octobre 2009
La seule solution
courir vite le plus longtemps possible avec alice practice en boucle au volume maximum
rentrer deux jours après et envoyer une caisse de bières aux crystal castles
s'achever avec un cri jensanstarzan niquer sa voix
ensuite ce sera bon, j'arrêterai peut-être je l'espère de mordre et d'avoir qu'une seule envie : tuer de mes mains tous les mecs avec qui j'ai baisé
ET QUAND JE DIS TOUS C'EST T.O.U.S.
(dans le lot une femme : ma banquière)
16:52 | Lien permanent | Commentaires (5)
mercredi, 30 septembre 2009
La nuit est nouvelle
Je devais aller là et puis finalement non, changement de programme, voir Untel. Et puis non, rien de ce qui était prévu, la soirée prit ses aises autour d'une table ronde de café, en fer forgé, un truc très fiable en fait. Et comme une bouffée d'air frais, bizarrement toutes ces heures partagées avec au centre un drame, furent joyeuses. Et c'est toujours quand on dit au revoir, qu'on embrasse et qu'on serre dans nos bras cette personne avec qui on a partagé nos plus secrets maux, qu'on sait qu'on a passé un bon moment, un très joli moment, une belle soirée... vraie.
Une fois chez moi, je me déshabille vite pour enfiler mon pyjama et je saute (la première fois, seule) sur le lit, j'allume la lampe de la chambre, referme les portes et me dirige vers le salon. Et toute l'énergie de la soirée se joint à mon sixième sens et te dit "Je n'aime pas qu'on me mente alors bye bye", (ça c'est en référence à un con qui n'a rien à faire dans mes pensées), "J'avais oublié comme j'aime glisser sur le parquet la nuit" et... "La vie est trop belle pour ne pas lui donner une chance" alors mes yeux brillent, pour toi, oui, pour toi.
Les menteurs dehors et la vie devant moi.
Je suis pompette et j'ai passé une bonne soirée, ça voulait juste dire.
Versatile, pas tant que ça; dans la vie, vraie, oui, et j'aime.
33, Dominique Dalcan (dédié à un seul homme : celui qui ne voit aucune tristesse dans mon sourire, ça brille monsieur ça brille et ce sera encore plus grand demain)
(cosi cosa, si si, un truquito like this, si si, mixamos mixamos ;p)
02:32 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : dominique dalcan, marceline, la vecchia giacca nuova
mardi, 29 septembre 2009
Le nerf de la guerre
Evidemment, c'est toujours quand tu dois donner trois bras à l'Etat, au Syndic, à GDF&Co qu'il te prend des envies de shopping de taré. Non seulement je me fabrique un cancer en attendant que les clients daignent payer ce qu'ils me doivent (et si je fais le calcul, ça grimpe tellement haut que j'en ai la nausée devant ma banquière sans pitié - pléonasme) mais en plus je bosse toute la journée avec fringues et accessoires plein l'écran, J'EN AI MARRE.
DONNEZ-MOI LE POGNON, LE FLOUZE, LES PEPETTES, LA THUNE, LES CHÈQUES SINON JE PRENDS TOUT LE MONDE EN OTAGE ET LES SUICIDÉS DE CHEZ FRANCE TELECOM À CÔTÉ CE SERA UNE BLAGUE CARAMBAR !
Dis-moi ce que tu veux porter chez Sonia Rykiel, je te dirai à quel point tu as besoin d'un gros câlin :
Dis-moi ce que tu porteras à la soupe populaire et je te dirai pourquoi aucun mec ne t'a fait de gros câlin lors de la prise d'otage : ET BEN JE PORTERAI DU SWILDENS, ET PEUT-ÊTRE MON ÉCHARPE TRICOTÉE QUE PERSONNE NE TROUVE BELLE - JE MAUDIS TOUT LE MONDE AUJOURD'HUI
JE VEUX TOUT CA, C'EST CLAIR ? ET VITE. DE LA COULEUR, DU POGNON BIEN CRADE, UN HOMME, ET UN COMPTE EN BANQUE PLUS GARNI QUE MON COEUR BORDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEL !
FAIT CHIER. Y EN A MARRE DE SE FAIRE BAISER LA GUEULE, SI CA CONTINUE JE VAIS DEVENIR ALTERMONDIALISTE ET MANGER MES CHÈVRES FRAIS AVEC DU PAIN MAISON QUELQUE PART OU LE MOT FREELANCE N'EXISTE PAS.
- Bel amour, taille 38 le bas, 40 le haut (mes seins, mes fabuleux et énoooormes seins), c'est mon anniversaire bis le 23 octobre. -
PS : Je prendrai peut-être Julia Frakes en otage, elle me gonfle elle aussi, faut lui retirer sa CB, punie au coin.
PPS : Ah et puis aussi, les mecs... Il est où l'homme que j'aime sans conditions ?
14:13 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : ça va chier, sonia rykiel, swildens, julia frakes, time is money