vendredi, 21 octobre 2005
Vous aussi, targetez !
Grâce à ma note sur Potinblog, déclarez ENFIN votre flamme ! C'est un peu comme quand on écrivait le nom de nos chéris sur les tables d'école sauf que là, on l'écrit sur Potinblog. Allez, jouez le jeu... Blogueurs COMME blogueuses.
PS: Surveillez les commentaires sur Potinblog ou ici...
13:31 | Lien permanent | Commentaires (17)
Ah, les nanas...
Est-il utile de rappeler que j'affectionne tout particulièrement le second degré. Oui, je sais, je me cache beaucoup derrière cet art du crétinisme. Mais qui m'aime me pardonne.
Ce soir, j'ai dîné avec quelques pétasses de la blogosphère. IK, grâce à toi, je me sens moins (beaucoup moins ;-p) "Charlotte" ce soir ! Tatiana, you're THE queen, my queen. Isa, promis, je ne me frotterai plus à Eric...
Me trouvez-vous trop narcissique pour une blogueuse ? Suis-je une pétasse en acceptant le bouquet de fleurs d'un serial fucker ?
Je voulais des fleurs sur ma table. Très mimi, le fleuriste. Mry, c'est un complice ? Mry, je préfère les roses jaunes, pour commencer. Mais merci, j'aime.
Les folles nuits parisiennes endorment-elles la sensibilité, l'amour, l'authenticité ? Devrais-je faire réfléchir avant d'agir ? Ou bien devrais-je agir avant de réfléchir ?
Moi, j'aime bien mes 25 ans. Cool.
02:25 | Lien permanent | Commentaires (33)
jeudi, 20 octobre 2005
C'est quoi ces couilles dans le bouquet ?!!
Pardonné.
18:10 | Lien permanent | Commentaires (11)
mardi, 18 octobre 2005
Qui lui a filé mon numéro ?!!
11:57 | Lien permanent | Commentaires (29)
lundi, 17 octobre 2005
Fais de bons rêves !
Cette nuit, je vais peut-être rêver de Schuey. Ou d'Emery.
23:19 | Lien permanent | Commentaires (14)
Note que je regrette déjà
Je vais être très vulgaire mais... j'ai envie de me faire sauter ce soir.
Comme j'ai rien sous la main (j'ai pensé à l'ouvrier, à une proposition indécente mais non), je mange un Rhino. Trop dure la vie.
19:43 | Lien permanent | Commentaires (10)
J'aime les garçons énigmatiques BIS (Visiblement, ça vous inspire alors...)
(Et le petit sac à main "Noeud" YSL.)
18:12 | Lien permanent | Commentaires (41)
Ce qui devait arriver...
Et voilà, cet abrutis de polonais a éclaté (donc ouvert) la porte du voisin. Et toutes les heures perdues à pleurnicher, il les rattrape maintenant. Super, non contente de m'avoir terrorrisée, ce gros con va me faire chier avec ses coups de marteau pendant au moins 2 heures. Pour la peine, je regarde Made sur MTV. Hum, besoin d'un truc pour me remettre de toutes ces émotions.
18:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Micro-événement d'un immeuble bourgeois
Il vient de se dérouler une scène tragicomique à ma fenêtre : un très jeune ouvrier ne parlant pas notre langue a failli se suicider pour un boss ! Là, je suis devant ma fenêtre, assez à l'écart pour que ledit ouvrier ne m'aperçoit pas de la cour. La concierge et lui attendent le patron, appelé à l'aide.
L'ouvrier (qui travaille au-dessus de chez moi, chez ce connard de nouveau) travaillait seul dans l'appart. En partant chercher un outil dans sa camionnette, il ferme la porte blindée. Et se rend aussitôt compte qu'il a oublié les clefs à l'intérieur. A partir de ce moment, la vie de cet ouvrier est un drame. Il sonne comme un fou chez moi, me dit "siiiiil vouuuuus plaît, madaaaame" et entre chez moi. De force. Ce mec est comme un fou, coure aux fenêtres, choisit celle de gauche. Il passe par-dessus la rambarde (orthographe à désirer, non ?) et part vers les toits. Après 1/4h passées avec la concierge et la mère de famille du 1er à hurler "Reviens, c'est DAN-GE-REUX !!!", l'ouvrier revient. Il pleure. retourne vers la fenêtre, repleure...
Je ne veux pas être responsable de sa mort. Surtout celle d'un ouvrier, les Bretons pourraient mpe le reprocher !
J'ai omis de préciser quelque chose : j'étais raide défoncée quand ces individus sont entrés dans ma bulle, mon cocon, mon chez-moi. Les yeux éclatés, la gueule enfarinée (au sens propre), le teint malade. Je portais un pull sans soutif et un bas de pyjama sans culotte. Pieds nus. Devant la fenêtre, il y a une table. Avec posés dessus des feuilles, des clopes déchirés, un gros morceau de chichon trônant au milieu de ma boîté secrète, ouverte évidemment. Il y avait aussi Sainte Rita debout à mon chevet. Et pleins d'autres choses encore me gênent rien qu'en y repensant.
Le pire, c'est que l'ouvrier est toujours là, à verser des litres de larmes dans la cour, attendant son patron qui va le tuer. Ou au moins lui couper un orteil, histoire de rester roots.
16:23 | Lien permanent | Commentaires (5)
YSL (parce que ma collecte est plus importante - clin d'oeil de garce à miss P)
En fait oui, c'était bien un sac signé YSL. Je l'ai enfin trouvé. J'hésite entre le beige et le noir. Je préfère prendre les deux. Alors, ça y est ? Vous avez réuni la somme exacte ? Je les veux tous les deux, ils sont trop jolis ces petits sacs à main rétro chic : JE LES VEUX !!! Aidez-moi, s'il vous plaîiiiiiiiiiiiiit !
03:55 | Lien permanent | Commentaires (14)