mercredi, 27 juin 2007
PimPom PimPon la maison qui brûle...
Evidemment, le jour où l'immeuble voisin crame, je décide de changer de téléphone et donc de mal bidouiller avec ma carte sim.
Ma mère, que j'avais appelée pour savoir que faire (ouais, suis blonde devant l'éventuel danger) attendait en vain mon coup de fil. Bah ouais mais j'avais plus de portable. Evidemment.
Bref. Sened chéri, tout va bien, merci pour ton message, mon ange-gardien ! ;)
BunnyJen : saine et sauve ! Ouf !
Les hommes en uniforme (...) ne m'autorisaient pas à rentrer, putain tu m'étonnes : l'immeuble a plus que morflé. J'ignore si l'échelle servait à sauver des gens au dernier étage où juste à vérifier qu'il n'y avait plus personne mais le quartier était noir, de la fumée lourde et étouffante partout. Putain. Chaud.
Et là, je rigole. Devinez les seuls trucs que j'ai pensés à prendre au cas où mon appart' était touché... mes bijoux de valeur et ma montre Cartier. Et ma carte Vitale et la CB. Sait-on jamais, si j'avais eu besoin d'être féminine et riche pour demander à un infirmier de m'apporter des Tagada de la machine dans la salle d'attente où seraient mes parents effrayés de retrouver leur fille brûlée et donc à jamais incasable.
Franchement, j'ai flippé. Un peu. Quand même.
T'imagine, moi brûlée : comment je fais pour trouver l'amour après ?!!
Ma vie est diablement excitante.
20:35 | Lien permanent | Commentaires (50)
Gilbert Melki...
... rien. Il est marié ?
(Coquillages et Crustacés)
Question aux garçons : vous vous branlez souvent sous la douche ?
(Réponses qui ont leur part d'importance dans mon cheminement vers la compréhension totale de mes relations passées et à venir. Je jure pas mais je pourrais.)
17:40 | Lien permanent | Commentaires (50)
Remède contre le spleen
Je me suis levée ce matin avec une petite voix qui me répétait Isabel Marant, Isabel Marant, Isabel Marant...
Toujours écouter la petite voix, non ?
Alors voilà, je déprimais un peu, je me suis donc réfugiée dans les boutiques. Pas de soutifs cette fois mais une mini, deux sweats style vintage et les fameuses bottes en toile. (Ok, les blanches, je les ai prises une taille trop grande faute de choix mais bon, avec une semelle, ça devrait aller.)
Maintenant, je me sens comme après l'amour, très très très bien.
(Je pensais en avoir pour 800 euros environ, même pas, très contente Jen.)
15:51 | Lien permanent | Commentaires (13)
mardi, 26 juin 2007
Salon grand rêveur
Une alliance parfaite. Je la visionne, la goûte et l'espère.
Erik Satie et Marguerite Duras, et cette fille.
Tombez avec moi...
19:11 | Lien permanent | Commentaires (9)
Goûte mes fruits
Laissez mes tétons en paix, regardez plutôt ces grappes de raisin emballées dans des barquettes Mickey, j'adore !
A glisser dans le lunch bag de son môme (parce que si je vous dis que je le fais pour moi, dans un lunch bag Pooh, hein...).
C'est mimi, non ? (Je vous vois baisser les yeux, consternés, hein oui toi, toi, toi et toi là-bas, et bah allez vous faire foutre, bande de sales vieux cons de mâles de merde et tout le bordel, gros nuls !!!)
Et pour la peine, je vais vous mettre une merde que j'aime bien dans la tête, bien fait !...
Pourquoi, je ne sais pas, mais maintenant j'ai envie d'aimer dans un kibboutz.
(Ennemis psy, ne cherchez pas le lien entre mes tétons, Enrico et mon désir de planter des choux dans un kibboutz, vous vous égareriez... ou pas.)
(Le médecin à mèche ne m'a pas trouvé de fièvre mais moi j'ai chaud.)
14:20 | Lien permanent | Commentaires (7)
Les plumes séniles bavardent ailleurs, la vie est plus près que tu ne le penses...
01:15 | Lien permanent | Commentaires (4)
lundi, 25 juin 2007
Toc toc. Qui est là ? Ton cauchemar, la flatterie...
Obispo demandait aux adolescentes et ménagères de Vesoul ce qu'elles feraient si elles devaient mourir demain.
Ian Curtis a préféré se tuer.
Et moi, bah j'affronte la mise en scène espièglement mortuaire qu'on a bien voulu m'organiser ICI...
Amusant.
Pour l'instant.
Qui est ce psychopathe ??!
12:30 | Lien permanent | Commentaires (46)
samedi, 23 juin 2007
5h38
Le chauffeur m'a fait remarqué au Pont Neuf que les journées racourcissaient à partir d'aujourd'hui.
La prefection n'existe pas, c'est donc un fait.
Aucun solide depuis hier et pourtant fraîche comme la fine pluie m'accueillant en bas de la porte de mon immeuble arrosée d'un liquide mêlée de pisse et de levure comme le veut la coutume nocturne des laids hooligans s'accaparant les pavés de ma rue le week-end.
Mon après-midi n'a été qu'une tournée improvisée des stations Cadet, Saint Maur, Strasbourg Saint-Denis et Saint Ambroise et des cafés environnants. Mon après-midi devait se résumer à une journée de pluie studieuse, il n'en fut rien. Et jusqu'à maintenant, la déprogrammation n'a été qu'enrichissante. Riche en excès, certes, mais riche.
Aimé ce Xavier pour les mots qu'ils tenaient à propos d'Elle, de Là-bas et des chemins. Pourquoi m'a-t-il trouvé "directe"? Je ne faisais que parler des questions existentielles de mes fesses.
Pesant, ce garçon en pull rayé avec ses phrases qui n'en finissaient pas. Emmerdant, lorsqu'il décide de changer ma playlist. Je hais les cons aux goûts de chiottes qui se permettent de penser qu'il pourrait trouver meilleurs titres que moi pour garder vivante une soirée sans défauts - hormis les phrases du pull rayé.
Fatigant, de savoir que Cendrine Dominguez sera encore là en tapant 33 sur la télécommande. Je voulais trouver un documentaire sur des paysages agrémentés de sons animaliers; je viens de trouver Dutronc dans 30 Millions d'Amis, ça m'ira.
Ce soir, oui... peut-être pas. Si c'est vrai pour le Loft, je comaterais bien devant. Selon le sommeil à venir.
Nuit intense, anti-stress radical, ressource optimale. YSL. Bonne journée au lit.
05:55 | Lien permanent | Commentaires (17)
jeudi, 21 juin 2007
Epatants...
... les propos tenus par Ségolène hier sur LCP.
12:50 | Lien permanent | Commentaires (4)
mercredi, 20 juin 2007
C'est un homme comme Moustaki qu'il me faudrait
En fond un film avec des scènes en Grèce.
Envie d'être là-bas.
Me lever dans cette chambre blanche, rester quinze minutes sur le rebord de cette fenêtre sur laquelle nous grimpions pour nous installer sur le toit le soir, avec des olives et de l'alcool fruitée.
Le port, les vieux jouent au backgammon, je les rejoins après m'être perdue dans les ruelles plus haut. Toujours ce port, ces chats, et cette douceur de vivre, cette salope qui nous hante encore après des années de fidélité au train-train plus ou moins ponctué de surprises du quotidien.
La douceur de vivre à Hydra, elle me deviendrait angoissante, peut-être, au quotidien.
Mais chaque année, à la même période, c'est une angoisse que je rêve de faire mienne quelques semaines.
Bratsera, garde-moi la chambre du premier, je reviendrai.
(J'ai dû être une grosse femme grecque qui cuisinait les meilleures frites et aubergines du monde dans une autre vie. Ou alors c'est moi qui ai commencé à crier au monde entier que nos escargots étaient les plus vitaminés.)
Fait chier, cette journée de merde avec ses mails de gros cons agressifs et ses copines stériles.
Bordel, même pas un mois que je suis rentrée et déjà envie de repartir.
J'envie Merdocu.
14:30 | Lien permanent | Commentaires (12)