dimanche, 02 septembre 2007
Je t'ai eu !
Souviens-toi de Rain Man, quand Dustin comptabilise en deux secondes le nombre d'allumettes tombées sur le sol. Bon et ben moi, en me promenant (en attendant le chocapik du chien), j'ai regardé à terre et en une minute, j'ai vu un trèfle à quatre feuilles et un billet de 100 francs suisses.
La chance est avec moi pour cette nouvelle année scolaire. Prête à foutre le bordel dans ma classe, j'espère que vous en serez, envie de me marrer pendant les heures de colle. (Et je sais que les jolis garçons seront de la partie, j'en ai déjà repéré deux ou trois. Vous en saliverez en les découvrant mardi.)
Les enfants, cette année, on rejoue les sous-doués pour faire chier Monsieur Fauconnier et ça commence maintenant !
Jen says : Listen to the lyrics and say yes !...
PS : Certains mâles trentenaires lisent Marie Claire dans les chiottes de leur belle-soeur pour mon plus grand bonheur... ;)
PPS : Toi qui connais le secret pour redonner vie à jouvence (sic), ne me fais plus jamais goûter de terrine de sperme ! Sinon le reste était délicieux, c'était un dimanche très agréable. La prochaine fois, on se moquera des pouffes qui boivent une piscine pendant qu'on crânera sur le dancefloor. ;)
PPS : Cette année...
22:50 | Lien permanent | Commentaires (35)
dimanche, 05 août 2007
Jen au pays des bandits
Début de cystite ce matin. J'ai compris le truc maintenant : un petit Lexo et hop, effet placebobomatisation concluant.
Le minou peine à trouver son snoopy génie, pas grave on connaît la chanson maintenant, on continue la sélection.
A côté des mâles et de leur grand pouvoir sur ma condition de femme moderne en ce moment, le taff. Grande saturation.
Besoin de vivre sans ordi, ni msn ni RP encore moins compta. Je veux du vide, un mois d'anti-productivité, j'en rêve.
Loin de toutes ces pouffes aux ongles orange qui considèrent ELLE comme la meilleure des Bibles (du genre à aimer les boulettes au fromage ?) , loin de mon ex (avec) qui (je) me baise trop pour être mal-honnête, loin de mes targets chouchoutes (non, ça, ça va être très très dur, vous me manquez déjà), loin de toute tentation (un petit mois d'août à Paris sans taff, juste luxure&dépendances m'aurait satisfaite), bref je pars me reposer.
De vraies vacances sans ordinateur, juste glander, me réveiller et manger de la confiture d'abricot sur des tartines de pain paysan, partir me balader au Lac des Chavonnes avec mon chien, flipper comme une abrutie (genre Karin Viard dans Les Randonneurs) lorsqu'il me reste une heure de marche pour rentrer au chalet, que je suis en pleine montagne sous les sapins et qu'un putain d'orage éclate, lézarder comme une vieille au soleil sur l'herbe, chercher un trèfle à quatre feuilles en attendant que mon chien se décide enfin à couler son bronze qui sent le Chocapic périmé, regarder les étoiles le soir sur la terrasse avec mon champagne de pupute, boire mon thé vert au Grand Chalet et m'amuser du Woody Allen devant moi qui se baigne terrifié à l'idée que mon chien le rejoigne (il le rejoindra et comme tous les ans ça fera un scandale et comme tous les ans j'aurai finalement gagné une piscine rien que pour moi et mon clébard qui pète), acheter des conneries à Gstaad pendant que mon père s'enfilera en douce les beignets du vendeur installé devant la mini librairie face à l'église, chercher en vain un éventuel beau gosse de mon âge à Villars et ne trouver qu'un indien millionnaire qui mâche son chewing-gum comme un agriculteur d'Altus, atteindre le 21 août sans crise de libido et péter un câble le 22 en demandant le prochain train pour Paris puis finalement revoir l'ami soleil et se laisser gagner par la léthargie, une nouvelle fois. Redouter le dernier jour puis retrouver Paris, les potes, le taff, l'ex qui fait chier, le futur ex qui rend con, les targets, l'appart Bagdad style et sainte Rita.
En gros, rendez-vous en septembre pour m'entendre râler sur le temps de merde qui a niqué mon mois d'août, les connards de Suisses, les 2 kg pris et l'horrible renard qui a pissé sur mon sac American Apparel pendant que je faisais semblant de bien jouer au tennis. Mais surtout, rendez-vous en septembre pour une Jen revigorée, décidée et prête à enfiler les garçons sur un joli collier en toc. La collection a commencé, continuons ! (je m'efforcerai de perdre 3 kg plutôt que d'en prendre 2).
PS : une vidéo surprise ? pas eu le temps. Une prochaine fois, Dan...
PS2 : Pour me trouver en Suisse, c'est simple, demandez la famille Ben Laden aux bords du lac Léman.
PS3 : non, pas de console, juste des nota bene en fait. ah ah ah... je sors.
PS4 : avant de sortir, juste un baiser sur la joue de Fabien, une glaçe à mon retour au soleil comme des merdes. A très vite ! (Mais si ça te tente, famille Ben Laden hein... ;p)
PS5 : ah oui... PUTAIIIIIIN ENFIN ! FINI LE TAFF, JE PRENDS L'AIR, RIEN FOUTRE JUSTE TOUT OUBLIER ! JEN A 10 ANS.
Dernier truc (si, si, vraiment le dernier), j'aimerais que vous m'aidiez : j'aimerais connaître les références de la musique de ce trailer. Ca rappelle un peu Dead can dance parfois, bref je veux ce titre, help ! Merci. (Tant qu'à faire, si l'un d'entre vous l'a, envoyez-le moi, ce serait cool).
BONNES VACANCES OU BON COURAGE, À BIENTÔT !
08:55 | Lien permanent | Commentaires (21)
samedi, 04 août 2007
Si tu étais dans un duo glam et inimitable, tu serais...
Je suis comme Vic, je trouve des faux airs à tout le monde. En revanche, il est rare qu'on m'en trouve. Tant mieux, ça permet de croire qu'on est encore un peu unique.
Mais lorsqu'un mec en soirée me dit Elli Medeiros avant salut, là je suis très contente. (Le second qui voit une ressemblance; qui sera le prochain ? Mon Jacno ?)
C'est tout pour aujourd'hui. Donc rien.
J'écoute Elli & Jacno depuis deux heures, je danse raide et chante faux pour faire les valises (enfin... quelque chose qui y ressemble). Le Téléphone, Rectangle, T'oublier*, Main dans la main... et Oh Là Là, yes !...
Un plaisir, je vous conseille de rechercher ces deux-là dans votre discothèque.
(il a quelque chose, quand même, le poupon cynique qui me faisait face hier soir à table... un je ne sais quoi qui me donne envie de le revoir un jour. Adieu voleurs !)
* Ecoutez Tant de temps juste après, du dernier album de Jacno; jolie suite. Quelle classe, ce mec !
19:15 | Lien permanent | Commentaires (4)
Passage des Petites Ecuries
10:49 | Lien permanent | Commentaires (2)
vendredi, 03 août 2007
Tunnel ou Promise ?
The Dining Rooms, je les aime.
I love pastis in backstage too... (welcome !)
Mais je préfère Promise, you know why... "Le prix des promesses", tout court toujours... Je suis de ces filles qui aiment les hommes au coeur gelé (thanks dad), qui volent les petits garçons et qui laissent les souvenirs se consumer sous un joli tas d'expériences souriantes.
Rodolphe Burger ? Oui, confirmé par le groupe, c'est bien Rodolphe Burger qui chatouille ici cet organe vital qu'on préfère noyer sous des litres de mensonges. Avis aux fans, le groupe a également collaboré avec l'ancien chanteur de Kat Onoma pour donner naissance à une version italienne de La Chambre. Pas encore entendue, donc si vous l'avez, envoyez...
14:05 | Lien permanent | Commentaires (6)
mercredi, 01 août 2007
Sans déconner...
J'ai vraiment l'esprit tordu ?
cliquez ici, vous comprendrez.
Lire les commentaires qui suivent, c'est encore meilleur...
Sur ce, je vous laisse me traiter de tordue ou non et je pars à la chasse végétarienne.
19:33 | Lien permanent | Commentaires (38)
mardi, 31 juillet 2007
Défaire la mort
En laissant tourner Who i am de T.BO (version plus longue sur mon myspace), je pense calme.
Coup de coeur pour ce titre.
L'innocence du son bulle & aérien m'a amené à scotcher sur cet instant, celui où l'homme vous enlève votre culotte. Ce n'est jamais pareil mais il y a cette émotion. Intense, mine de rien. Il a ceux qu'on aide, ceux qui ne vous laissent pas le temps de comprendre, ceux qui prennent leur, notre temps, ceux qui ne font pas un avec nous ou encore ceux qui vous donnent le vertige, on se laisse alors mourir dans la perfection.
(Parfois aussi, on n'a pas de culotte et là, c'est encore autre chose. Mais quand on ne met pas de culotte, on n'attend pas le vertige. Dans mon cas tout du moins. En même temps, sur un malentendu...)
J'aime ce moment-là. Les mains de ce corps encore inconnu qui vous libèrent de votre dernière armure, démunie mais entière.
(Visiblement, tous les mecs ne m'ont pas marquée, me souviens pas des mains du mec qui minaudait ni celles de de celui qui disait oui tout le temps.)
Je retourne bosser sinon je sens que je vais rêvasser toute la sainte journée... (je me répète mais comment vais-je tenir en Suisse ??!)
11:50 | Lien permanent | Commentaires (11)
Et vous ? C'est votre truc ?...
00:41 | Lien permanent | Commentaires (8)
lundi, 30 juillet 2007
You are the sunshine of my...
Rien à vous dire, juste que ce soleil m'éclate les mirettes, je me sens extrêmement bien ce matin. Comme si un homme m'avait réveillée avec tout le bon sens qu'on lui trouve depuis notre rencontre... Lunettes pour réussir à travailler avec ces rayons qui réfléchissent un peu partout... un lundi parfait... pour buller avec un homme.
(La lumière me bouffe sur la photo : Jen serait donc un fantôme, tout s'explique.)
J'aime j'aime j'aime.
Bonne journée, je vous laisse avec Sad Disco, j'ignore pourquoi mais je le refrain me poursuit depuis quelques heures.
10:50 | Lien permanent | Commentaires (16)
dimanche, 29 juillet 2007
Sodome et Gourmande
17:36 | Lien permanent | Commentaires (12)