mardi, 19 juin 2007
Pour aujourd'hui, ce sera ça.
11:35 | Lien permanent | Commentaires (5)
J'étais passée à côté...
"Oui, c'est une défaite... Quand on est amoureux, on n'est pas toujours payé en retour."
Arno K, 17 juin 2007.
Arno, Arno, Arno... Pourquoi n'arrives-tu plus à me faire croire au grand romantique qui souffre plus qu'il ne fait souffrir ?
Je plaisante, je ne le connais pas intimement.
Mais pourquoi la droite, pourquoi ???
Tu as de la chance d'avoir la mèche affriandante, tu sais ça ? Hein, le sais-tu, que Lida me trouverait parfaite dans le rôle de l'officielle ? Réalises-tu que, même avec une veste de chasseur sur tes épaules athlétiques et un abonnement à R&B Magazine, je mettrais mes convictions bidons de côté pour abandonner mon bas ventre sur ton corps entraîné et ma langue au creux de ton oreille gauche ?
Cette note est une imposture. Jen dort paisiblement. Je ne suis que la garce qui lui sert d'amie nocturne, je voulais juste faire passer votre blogueuse pour une nana superficielle, tout juste bonne à scander ci et là quelques avis politiquement corrects sur les nouveaux bellâtres de droite qui ne font que décevoir les écervelées idéalistes. Jen déteste Arno depuis qu'il porte des costard beige caca pour faire le tapin sur les marchés. Jen, si elle en avait l'occasion, ne flirterait jamais avec Arno, non ! Jen a des valeurs, qu'on se mente le dise !
01:05 | Lien permanent | Commentaires (7)
lundi, 18 juin 2007
Ce soir, je me sens comme en dehors de moi, sans raison.
J'ai un nabcast musical, "J'écoute du bon son, darling". Sans commentaire pour le titre, j'assume Pétasseland mais jusqu'à un certain point. Donc si t'as un lapin, viens écouter, j'y mets ce que je ne mets pas forcément ici faut de mémoire disponible.
J'avais oublié d'en parler ici... si vous voulez télécharger un an de sons pour pas un rond mis en ligne sur iTunes par Zadig&Voltaire, clique ICI. Z&V sans qui j'aurais laissé inactives mes lèvres ce jeudi-là... Une rencontre très sympathique. Avec un petit barbu chevelu doté d'un sens du baiser digne d'une Jen bouche bée... puis c, x... non, je plaisante. Juste b et c.
J'ai un compte en banque débiteur à me rendre malade d'angoisse mais j'essaie de ne pas me faire bouffer par ce détail qui me revient plus que cher en agios par dessus le marché. Merde, c'était pas prévu au programme d'avoir une vie en telles dents de scie côté pépettes (vulgaire, je sais papa Mry). D'un autre côté, c'est signe de jeunesse (on se rassure comme on peut). Quand je serai posée à un bureau, un vrai bureau dans une rédac', je trinquerai à ces années de piges aux mois jamais égaux au niveau des sous gagnés et je sais que je risque même de les regretter, parfois.
Mais pour l'instant, j'aime bosser en indépendant (d'ailleurs, je suis toujours étonnée d'entendre tant de gens me dire qu'ils ne supporteraient pas de bosser chez eux. Pourtant, tant qu'on n'a pas d'enfant et que cette vie reste agréable, c'est tout de même un luxe : on bosse quand on veut, on peut voir les copines à 16h, déjeuner sans regarder sa montre, merde c'est bon, surtout en été ! Cela dit, je sais que bientôt, je vais vouloir plus.)
Mais là, quand même, ça craint du côté de la banque. Zen.
Pas envie d'aller à ce dîner demain. Et revoir St Mandé, pfff... Penser à leur dire que je suis surchargée de boulot.
Pas envie de sortir, cette semaine, en fait. Je crois que pour une fois, je vais m'y tenir, au "sois raisonnable".
Je devrais traîner dans les bars de marlous à Pigalle et retomber sur cet arménien qui avait fui Paris le temps que se calme cette histoire de faux billets. J'aimerais bien que mon mac (l'ordi, pas l'autre; celui-là, il est en vacances en Moldavie), en plus de me prendre en photo, me donne des billets quand bon me semble, une tirette à domicile.
Je ne suis pas fiévreuse mais c'est tout comme. Je suis molle. Un peu comme si je me réveillais d'un coma de cinq ans et que tout autour de moi me semblait étranger, ou un peu loin. Aucune attaches, à rien. Bizarre, ce soir, moi.
Demain, je raccourcis mes cheveux. Une fille (genre LA fille vraiment fille) aime bien demander à son coiffeur de lui ajouter ce p'tit truc dont elle pense manquer mais sans savoir vraiment la nature de ce petit truc. (Karine, une amie t'avait répondue : mon coiffeur est à Cadet, Atelier13, demande à être coiffée par Karine : plus jamais tu ne voudras aller ailleurs, je te le garantis - et j'ai bien dû faire 30 salons parisiens)
Bref, demain, je vais chez le psy raconter ce qui risque d'accoucher entre le massage capillaire et la clope pré-tête de rat attendant les coups de ciseaux magiques.
J'ai reçu un nouveau mail, je n'ose pas le lire. C'est idiot. Je déteste ce sytème sur MySpace qui fait qu'on est immédiatement grillée puisqu'on doit se connecter pour lire ses mails et donc les "amis" calculent que nous sommes en ligne, c'est NUL ! Très "Levallois" comme sytème.
J'écris des tonnes en ce moment pour dire... rien.
(Le papier chiotte, ça irrite trop les narines. Je crois que je suis malade, je me mouche tout le temps, j'ai chaud et froid, je suis fatiguée et l'air est lourd.)
SMS
Aurel : N'écoute pas ce titre, enfin si, écoute-le il est beau... mais je t'imagine à la maison avec Pau vous foutant de ma gueule avec mes chansons "de merde relous" ;))
Ca passera, sister, ça passera... le vide... puis un vide sans pensées obsédantes... on n'efface pas tant d'années comme par magie... t'inquiète, ça passe, je te jure. ;)
Viens en juillet, essaie de te motiver, on se fera nos week-ends old school, deux jours de rires non stop, soleil au Luco, pastèque, cierges devant les voisins d'en face... viens, on t'attend et je veux que tu me vois tant que je n'ai pas encore regrossi ! ;)
23:10 | Lien permanent | Commentaires (2)
Moi je t'aime bien quand même, petit gros mou sans charisme
Ca y est, la vilaine aux dents de cheval l'a annoncé : le petit gros et elle se sont séparés.
Où d'ailleurs ai-je entendu à la tv des branleurs en cravate parler du phénomène mode qu'est devenu le ragot politique ?
Arno a visiblement reçu une petite claque hier soir. C'est bien, ça forge, les échecs mérités. ConséquenJen : je l'ai immédiatement retrouvé beau gosse en le voyant annoncer sa défaite aux journalistes. Tout du moins lorsque la caméra me montrait son profil gauche et ses cheveux moins ordonnés. Ridicule, je sais.
08:15 | Lien permanent | Commentaires (7)
dimanche, 17 juin 2007
Pour toi, princesse
Parce que je te rassure, la fête est la même pour tout le monde...
Le mauvais moment où on fuit vers la cuisine et où finalement peu à peu affluent tous les "cool" et alors la cuisine devient la pièce maîtresse de la fête, puis on est trop fonfon ou torché et alors on part se réfugier sur le balcon, on dégueule seule dans les chiottes puis ça va mieux et c'est reparti pour une danse de pétasse avec les autres vivants etc...
Tiens-moi au courant pour qu'on se fasse un truc avant ton départ...
Bon et maintenant, mate ces têtes de cul et ce chien pathétique : bah on est tout pareil, désolée, mais c'est ça qui est marrant ! ;)
Allez, la vie est belle, c'est bien de le dire et parfois de penser le contraire, c'est dans ces moments-là qu'on trouve qu'on a des copains parfois meilleurs menteurs que nous, c'est la classe ! Et puis comme ça, quand on retombe ensuite par une phase happy face bons karmas, on comprend à quel point on peut irriter les potes déprimés avec notre philosophie relou "je kiffe la life ! fais pareil, brodel !"...
(Heu, là, en fait, je dis juste pardon à toi et aux autres, parce que je sais que je suis gonflante avec ma phase bonheur du moment. Mais bon, en même temps, je vous ai tellement fait chier avec mes phases "soupirs" et "ça me saoule" depuis deux ans...
(J'espère que t'as pris le loft, je veux ma chambre !!!)
Allez, avec moi... "C'est le printemps..."
PS : tu te rappelles pas parce qu'on était encore pompette mais tu vois le mec en chien dans le clip, c'est de ce costume dont je vous parlais et que je vois partout en ce moment, de Gondry à ce type dans la rue qui faisait de la promo comme les losers aux USA en passant par ce rêve que j'ai fait plusieurs fois. Bref, j'ai un mec habillé en chien qui squatte mon destin, c'est bizarre. ;)
23:20 | Lien permanent | Commentaires (7)
vendredi, 15 juin 2007
Help
Je n'ai pas eu entendu le nom du livre de Philippe Djian et pourtant j'en ai lu quelques-uns (je me souviens d'un commentaire à ce sujet il y a déjà plus d'un an, me lis-tu encore ?), aidez-moi : dans quel roman dit-il "écris sans te soucier des critiques, bonnes ou mauvaises, ne fréquente pas les lieux où on parle de livres (...), écris chaque phrase comme si c'était la dernière". Ce n'est pas le texte exact, pardon, mais c'est l'esprit. Quel est ce livre ?!!
Rien à voir. Sur Canal +, à l'instant, Julien Doré chante Cet air-là d'April March, parfait parce qu'April March est ma mignardise du moment, bientôt je vous ferai écouter mon titre chouchou.
En attendant, voici Cet air-là : aimez ou détestez, je m'en fous.
Alors, ce livre ? Je le veux, aidez-moi, gentils lettrés du trottoir !
13:50 | Lien permanent | Commentaires (14)
Mais que faisait les hommes en blanc ? Ou noir, donc.
Comment puis-je penser autant de conneries à la minute ? Effrayant.
Fraîche, enfin assez pour faire ce qui était prévu aujourd'hui.
Pas trop fatiguée, pas trop de cernes, ça va.
Envie de passer mon week-end à travailler et glander, au soleil ou chez moi.
J'avais dit oui à tout le monde, ce sera non, je revois mes priorités.
Bon week-end à tous (trop pompeux, on se croirait sur un de ces blogs féminins archi consensuels mais tant pis, on passera l'éponge pour cette fois).
(Bravo aux deux curieux qui doivent être fonctionnaires ou un truc dans le genre pour pouvoir/vouloir prendre le temps de lire une note aussi longue où dès la troisième ligne on sait qu'on va s'emmerder. Masi bravo, bravo... just kidding)
PS : le bal des hélicos, c'est reparti ! (on s'entend plus !!!)
11:25 | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 11 juin 2007
Ahahaha
Sujet philo du bac : Que gagnons-nous à travailler ?
Deux secondes, je file boire un café avec Pauline, je fais un petit détour par le Printemps, je feuillette Voici avec mon goûter au Luco (ou Louuuuuco pour certains ;p), je passe prendre rendez-vous chez le coiffeur et je vous élabore une vague synthèse (on va pas non plus se faire chier avec les pour, les contre alors qu'au final, on adore glander).
Ma réponse : L'amour. Paraît que c'est statistique. Pas de bol, je bosse chez moi.
Ou alors un amant.
Ouais en fait non, on gagne juste l'impression d'avoir une vie confortable. Mais où est l'essentiel ? Sur mes lèvres, non ? Je sors, très bien, bande de sales capitalistes anti fleur-bleue de mes deux !!!
12:42 | Lien permanent | Commentaires (43)
Ma chanson du jour
C'est lundi, c'est soleil & nuages, c'est bonheur mais boulot, c'est pépite. Voici la version de Miss you Par The Concretes, voix qui brûle sur place de désir et de langueur n'importe quel être sensuel normalement constitué, j'aime. Pas mal pour se concentrer, enfin pour moi ça marche, bizarrement (oui enfin je l'écoute en boucle, encore 22 tours et je pense avoir mon compte pour la journée).
Sinon c'est bon, je me suis sevrée cette nuit.C'est sympa d'être ridicule mais faut savoir s'arrêter... jusqu'à la prochaine. On y croit.
10:15 | Lien permanent | Commentaires (6)
dimanche, 10 juin 2007
J'ignore pourquoi (ou je fais semblant de) mais je... non, rien. Trop court, je suis une conne.
Une rencontre de ce genre, ça s'oublie au réveil le lendemain, normalement, surtout quand on est un mec, enfin je suppose, les mecs oublient toujours. J'aimerais bien croire qu'on ne m'oublie pas mais je préfère me persuader que je suis comme les autres, on m'oublie vite (même si en vérité, je ne comprendrai pas comment on peut oublier la saveur de mes lèvres, de mes mains empoignant tes cheveux fouillis, mon odeur, mon goût, mes ongles courts sur le bas de ton dos bref je m'estime inoubliable, on a tous le droit d'y croire, surtout quand c'est vrai mais là vous me taxeriez de fille démesurée dans la vision qu'elle a d'elle-même). Ce n'est même pas une rencontre, juste une attraction qui ne s'explique pas, ou alors par des théories hormonales où l'odeur de la peau est au centre d'un joyeux bordel complexe pour les blondes.
C'est bien de retrouver son coeur d'adolescente (l'avais-je perdu ?) mais on se retrouve con lorsqu'en soirée on guette les chevelus à barbe. (Evidemment, il y en a un tas, de chevelus à barbe ultra douce (quoique) et à veste cuir, mais ils n'ont pas ce truc qui à 2h du mat' tel jour m'avait attirée. Comment m'étais-je retrouvée dans ses bras ? Je ne me souviens pas l'avoir pris dans mes bras pour danser, ou alors... je ne sais plus.)
Aurais-je retrouvé mon coeur de midinette ? C'est ridicule.
Je vais me reprendre, juste le temps de scotcher sur un autre inconnu.
Mais quand même... je pense à ce petit lover, moi qui pensais avoir enfin atteint l'âge de la maturité, je me marre.
Tant mieux pour la maturité, tant pis pour le vin blanc sous le réverbère, ta gueule à ma fierté, j'ai 15 ans et demi, encore.
Mais j'aimerais bien retrouver le coeur des 22 ans, j'aurais l'air un peu moins con.
Je me demande s'il a aimé ces baisers...
Allez; un petit coup de législatives, de gueules cassées, un Kiri et c'est bon, je n'y penserai plus.
Bordel... ridicule, Jen.
Bande-son de l'état charnel de ce dimanche soir : My room, Marathonians.
Edit 1h18 : Je me marre toute seule comme une andouille, je ne peux pas m'empêcher de regarder cette vidéo avec un sourire niais et débile mais bon enfant tout en imaginant être à la place de Vic dans un sketch des Nuls, j'adore. (J'attends toujours le coup du walkman, m'en fous, avant mes trente ans j'aurai trouvé un minet qui me l'aura fait, ce n'est pas possible autrement !!!)
21:45 | Lien permanent | Commentaires (17)