mercredi, 19 décembre 2007
L'erreur croustillante et savoureuse
Après les Chamonix, les cookies Ikea et les sablés Poilâne, mes gâteaux préférés sont les Paille d'Or à la framboise. Et alors ? Alors vous me lisez parce que vous avez cette curiosité honteuse ou assumée qui vous pousse à revenir ici, de temps en temps, pour savoir ce qu'il ne se passe pas dans ma vie. Et aujourd'hui, le micro non-événement du monde merveilleux de Jen est la découverte d'une carte de gaufrettes habillée d'une excroissance galvanisante pour une fille aux plaisirs parfois simples comme moi.
C'est beau, non ?
Sinon, dans le monde un peu moins merveilleux de Jen, il y a un souci pesant : le harcèlement du banquier dû aux factures impayées par Biiip et au troisième "Je vous envoie votre chèque dans quelques jours" d'un autre Biiip. Je comprends que des pères de famille deviennent fous, suicidaires devant l'impossibilité de faire vivre leur famille. Un calvaire de bosser autant pour au final affronter un compte malade. J'essaie d'y penser le moins possible mais cela devient de plus en plus lourd et étouffant.
Edit 13h48 : Je suis maudite. Le 17 j'ai déposé un chèque à la banque ainsi qu'un versement en espèces et bien tenez-vous bien, je viens d'apprendre que le chèque n'a pas été enregistré. Et allez les agios... Je préfère en rire sinon je braque le Fouquet's.
Bon, une bonne nouvelle quand même, je risque de voir le bout du tunnel d'ici samedi ou lundi, pour Noël quoi. En 2008, j'épouse un milliardaire, je le tue et je pars vivre au soleil avec amant et cagnotte. Ou alors je reste à Paris et je deviens chanteuse à succès.
12:45 | Lien permanent | Commentaires (14)
L'ashkénaze chez les jaunes, c'est un ami qui me manquera
Rue Quincampoix, les terrasses et l'alcool, les histoires de, les flirts, trop de points communs ça commence toujours comme ça et ça fout toujours un peu la merde mais les évidences..., mes yeux, tes lunettes "so sexy", Romain Gary, l'écriture la passion le seul qui lira la pudeur l'extime et les mensonges le seul qui connaîtra toujours la première phrase encombrante, les rencontres qui ne mènent pas au lit mais là où nous nous étions promis le meilleur, les playlists boutonneuses, la hype avec ou sans Jen Bienvenue au cirque, les trouvailles "chut, ne le répète pas, c'est pour nous", les confidences l'émotion le premier merci de m'avoir tant donné et me laisser te toucher te laisser me toucher, les points sensibles partagés au creux d'un sentiment équivoque, toi moi et le reste imbécile, la connerie de jeunes cons encore et toujours, encore trop peu de ravages signés A&J, Pedro et la russe attendront mais moi je te rejoindrai là-bas, je veux te voir crâner parmi les cartes Gold les vraies (sourire et vision de toi sur le canapé en parlant de la moquette et du petit café) et promis, je porterai ce bonnet jaune même s'il fait une température aussi explosive que notre duo vivant et plus fort que je n'aurais pu l'imaginer.
En boucle Someone Great, triste ce soir, j'aurais aimé te voir plus souvent prendre la pose dans mon cocon, tu me manques déjà c'est dingue !
Mille baisers, je n'ai pas osé te renvoyer ce baiser soufflé au coin du carrefour Odéon. Le coeur lourd en réalisant après ton départ qu'on ne partagera plus tous ces petits riens aux quatres coins de Paris, tu ne seras plus mon compagnon de crevardise au PP ni dans les soirées "tapons l'incruste chez les riches", ouch merde dur à dire mais Facebook, mails, vidéos et Skype à mort ! Le Café de la Mairie t'attendra cet été et les petits restaurants préparent leur carte pour ton retour. Profite, vis, fais péter la frenchy attitude, je compte sur toi... Putain ce que tu mérites ce trip, be happy je suis Judy Garland ce soir et je sais nous savons que le temps du grand air est mérité, pas de passé pas de mélancolie pas d'absence remarquée VIS et deviens enfin celui qui court vers la bonne sortie de secours, ni famille ni racines sens le présent et jouis autant que tu peux (mais n'oublie pas trop de faire partager un peu de tout ça avec la cousine), happy pills pour toi ce soir !
Tendresse et amitié.
Miss you already sa race de jaunes de merde, me volent mon confident la vie est trop dure tout le monde se casse ! Avant l'avion hein...
00:05 | Lien permanent | Commentaires (6)
lundi, 17 décembre 2007
Suspicion
De mon bureau, je vois la nouvelle voisine devant son ordinateur. Elle a mon âge, je pense. Donc là, au moment où j'écris, je la vois, nez marqué, cheveux châtains longs, et je ne sais pas pourquoi mais je la soupçonne de lire ce blog. Elle et son mec me regardent toujours bizarrement quand on se croise.
Donc si tu me lis, tu me vois avec ma marinière assise genoux contre la poitrine devant mon ordi, ben sache que je te vois souvent à poil et que j'aime assez regarder discrètement ta jolie cambrure. (Je suis mal placée pour parler d'exhibitionnisme courtois... entre mes nénés en sortant de la douche et les fenêtres ouvertes pendant les soirées "fonfont les amis de Jen", je peux vite devenir la cible à abattre.)
PS : Suis parano ? Oui, on le sait tous. Mais dans le quartier, il m'arrive de tomber sur des inconnus bien bavards qui me lisent et m'interpellent, c'est toujours assez étrange, on ne sait pas quoi dire et surtout on a tendance à hésiter avant de sortir acheter la baguette en bottes moumoute et cheveux sales.
Bande son adéquate : A sneaking suspicion de Daedelus et Suspicious character, The Blood Arm. I like all the girls and all the girls like me... (trop lourds, sorry.)
PPS : Sérieusement, si tu me lis, dis-le moi la prochaine fois... c'est un peu la loose, merde.
(Hep, monsieur Mac de l'Est, faut que tu chopes le titre des Blood Arm et que tu l'envoies à tes one shots avortés le jour de ton départ pour Singapour, histoire de les frustrer un peu plus.)
17:30 | Lien permanent | Commentaires (8)
A Noël, boulot ou non, la bobo sèchera les cours pour fumer des clopes au troquet avec ses copains de colle aussi travailleurs qu'elle. Vive l'école buissonnière !
Etre une fille, c'est quoi ? C'est principalement se poser tout un tas de questions sans queue ni tête pour un garçon.
Sauf que parfois, il arrive qu'on soit deux à s'interroger sur cette drôle d'épine qui fait sourire l'extérieur. Mais quand on est une fille, apprendre qu'on n'est pas la seule à entretenir l'inflammation étrangement capiteuse qu'engendre cette épine sur ce drôle de pied un peu mal foutu comme le serait un aristocrate taxidermiste membre du SDH, ça change un chouïa la donne. Le pied devrait prendre la fuite en apprenant qu'un public consterné l'observe évoluer discrètement. Mais bizarrement, le pied atteint préfère prendre appui sur son collègue afin de laisser l'épine prendre un peu ses aises, comme ça, pour voir à quoi ressemble l'évolution d'une épine maquisarde dans un pied réceptif et un peu trop curieux du haut bas de ses vingt-sept berges.
Hein ? Quoi ? Tu t'es encore gauffrée en rentrant bourrée perchée sur tes escarpins, Jen ?
En langage jennéen, voici la traduction en chansons jouées cette nuit rive gauche :
One way or another, Blondie
Comis strip, Gainsbourg/Bardot
Le discours de la méthode, Diabologum
Long distance call, Phoenix
Vous connaissez mes habitudes bloguesques, je n'achèverai pas cette note légère sans un clin d'oeil à la rédac chef et au compas dans l'oeil...
PS : J'ai une coupe presque au carré depuis samedi et je le vis très bien. Sans me vanter, je crois que ça fait ressortir mes yeux revolver en plastique, plutôt pas mal je crois. Maintenant, il faudrait songer à me maquiller les yeux... sans rater trente fois le trait d'eye liner. (Et dire qu'à 20 ans je me maquillais toujours les yeux quand je sortais avec R., les temps ont bien changé... tant mieux.)
Bon courage pour ce nouveau lundi, le mien sera un calvaire. Je vous embrasse à ma manière... (Bah ouais, c'est pas parce que j'ai une épine qui nique l'assurance de mes pas que je perds pour autant mon sens de la convivialité.)
04:25 | Lien permanent | Commentaires (7)
samedi, 15 décembre 2007
Jen a les fesses plates, elle devrait faire du cardio mais Jen préfère serrer les fesses en attendant le métro
On ne sait jamais dire je t'aime ni pardon aux personnes qui nous sont le plus chères. C'est ainsi, pour la grande majorité de la joyeuse bande d'handicapés que nous formons au sein du Trocstore et plus loin, hélas. On ne sait jamais se faire la gueule très longtemps, elle et moi. Parce qu'à la manière d'un couple un peu déformé par les années, la routine et les bras cassés, nous nous complétons dans nos rires et nos douleurs, dans nos instincts excessivement masculins ou féminins, dans nos silences et nos regards fuyants, dans nos vérités d'où quelquefois s'isole un beau malaise teinté de désespoir ou d'espoir (ça dépend du souffle au coeur), en fait elle et moi on aime bien savoir que nos esprits estropiés forniquent mentalement dans le partage de la confession.
Il était beau ce garçon, seul au bar du Coffee.
Elles étaient sèches partout, les adeptes du cardio à la table de gauche. La quarantaine blasée, célibattue, frippée, plus de bulles dans leurs yeux ni dans leurs verres, dépendantes de la salle de gym en attendant le bande-mou en cycliste qui saura les consoler avec un milk-shake protéiné. Dur.
Il écoutait notre conversation sur la cagoule que je porterai le jour où la victime tombera sous ma vengeance, le type aux cigarillos des Editeurs.
Elles étaient bonnes ces glaces à la vanille qu'on éliminera au Luxembourg la semaine prochaine.
En te quittant, j'écoutais le Duke, je repensais à ta remarque sur mes mecs dont tu te foutais et ton intérêt pour celui qui m'a étrangement fait la même remarque que toi dans la même journée, j'ai songé au détournement de je mineur en ils majeurs (j'ai le droit de commencer par les mineurs, hein ? Personne n'en saura rien, je dirai qu'ils ont l'âge de mon mari) et j'ai pensé à la fin d'Annie Hall en souriant bêtement devant les étudiants qui mangeaient des sushis préparés par des chinois à l'hygiène douteuse en vitrine rue Monsieur le Prince. Tu as sans doute raison sur ce calcul un peu universel, la moitié du temps... J'ai comme envie de reprendre des cours de maths. Pas d'autocensure, right babe, pas de regrets ils n'avaient qu'à être à la hauteur, "fuck them ALL !". Et la caravane passa... et je continuai d'aboyer, derrière la fenêtre. ;)
11 541 photos exactement, c'est grave docteur ? Mais je te dis, c'est en vue d'un vrai projet artistique... Noyer le poisson, c'est comme ça qu'on dit ? ;)
Après le vélo, comme moi, tu as dû réaliser que le froid avait calmé le petit taux d'alcoolémie normalement élevé, moi je suis comme après une soirée grenadine, fresh as a daisy. Je pourrais donc travailler mais non, je vais mettre le vélo dans le couloir, ranger pour accueillir le tapis qui ne restera pas crème très longtemps et je me coucherai avec Annie Hall puis j'éteindrai et je repenserai à tout ce qu'on s'est dit ce soir. Avec le sourire d'un bébé en pleine forme.
PS : Ouais, Tender Forever. Parce que j'avais envie, ne commencez pas à me demander le lien avec la note ou je ne sais quoi, arrêtez de chercher des liens tout le temps, partout. (Bon ok, il y a lien : au choix, un certain Hervé sera mon témoin lors du Pacs prévu le 27 juillet 2008 avec Mademoiselle Coco de Sardaigne aka La Peintre du Trocstore, je suis accro aux Post-It en forme de coeur sur lesquels j'aime écrire des phrases de merde vers 17h comme "Ecris-moi du rien !" ou bien je suis sur le point de demander à une poule transexuelle de m'épouser sous la neige avant de partir planter des champs de carottes sur des terres polluées par la dictature.)
Edit 2h50 : Hmm, finalement le tapis restera dans le couloir demain matin. Annie Hall s'endormira avec moi ce soir et je rêverai certainement d'un mec à lunettes qui me parle de psy.
02:10 | Lien permanent | Commentaires (5)
vendredi, 14 décembre 2007
Je suis faible
Je pars rejoindre la coach pour un apéro... Coca ? Hmm, un petit verre de vin me réchaufferait le coeur et les artères, il fait tellemnt froid ici.
Fouettez-moi.
17:24 | Lien permanent | Commentaires (3)
jeudi, 13 décembre 2007
Un jour, je saurai dire non.
Ne pas garder son portable dans la main droite quand dans la gauche il y a le cinquième verre de vodka.
Ne pas demander à Marie si ça craint d'appeler Berlin.
Ne pas écouter Marie.
Ne pas rester yeux dans les yeux avec le chevelu et croire au coup de foudre sexuel.
Ne pas effleurer le chevelu quand sa copine est derrière moi.
Ne pas rester au Truskel avec Fred quand tout le monde s'est barré.
Ne pas me lancer dans un monologue vers 3h pour expliquer à Fred l'ampleur que prend le mot distance dans ta vie à 27 ans.
Reconsidérer ma définition du mot distance.
Ne pas danser avec l'anglais à la cravate rouge.
Ne pas flirter quand Fred est là, il fuit comme Cendrillon (Fred, lâcheur jaloux !).
Ne pas faire un détour par le Mabillon vers 5h pour prendre un club sandwich à emporter qui te restera sur les cuisses.
Ne pas confondre le patron avec une caillera et l'envoyer bouler quand il t'interpelle en disant "Hey, mademoiselle".
Ne pas regarder son sac acheté trop cher en rentrant et réaliser qu'il est cassé et toi avec.
Ne pas se souvenir au réveil.
J'ai merdé, encore.
14:10 | Lien permanent | Commentaires (18)
mercredi, 12 décembre 2007
Les moutons de la Comm
Plus j'en vois et plus je trouve que le lip dub d'agence, avec ses employés contents de faire du playback sur un single MTV avec leurs tees à slogan et leurs cernes "je travaille plus pour gagner plus", ça sonne trop droite décomplexée.
Mais je dois certainement voir le mal partout.
13:20 | Lien permanent | Commentaires (15)
lundi, 10 décembre 2007
ALB, le groupe qui me plaît avant toi
"I don't need you to be my friend but i just want to f..k your sister again I don't need you to be my friend but could you restore my computer..." Le reste est à découvrir à l'écoute mais je ne vous dis qu'un truc: offrez cette chanson à votre futur-ex one shot geek, il risque d'adorer le reste des paroles, et accessoirement rire jaune quand vous ne décrocherez pas à ces nombreux coups de téléphone samedi soir (10 en 5h, c'est beaucoup, chéri) prétextant une Mario Party avec un nerd sexy.
Evidemment, je choisis le passage du morceau - I*D*N*Y de ALB - qui me concerne le plus à l'instant T (ouais, j'ai envie de me taper Brenda, elle est trop bonne - à noter que Pamela n'est pas mal du tout, Harlequin aussi, bon bref. On est trop nombreux dans ma tête, je sens qu'un pote va encore me dire que personne comprend que dalle sur ce blog donc stop).
Raconté comme ça, immédiatement vous pensez que je scotche encore sur un groupe de parisiens hypeux de mes deux en slim et écharpe American Apparel (et même si c'était le cas, je t'emmerde, ce que j'aime est toujours bien, je suis comme Dieu moi) mais là je vous parle de mecs qui la jouent humbles comme moi - mouahahah - (je n'attends que ça, qu'ils deviennent assez connus pour crâner, j'aime bien voir les mecs péter les plombs un temps, c'est bon merde faut en profiter un peu). Ces mecs de Reims, je les aime ! Leur son pop-électro-rétro-"2009-1"-FisherPrice-NintendoController-
Raiders-Oasis.oh.c'est.bon.dis.donc.dis.donc me plaît, leur look me plaît, leur univers graphique me plaît, leurs paroles me plaisent, lui me plaît même carrément mais ça c'est hors-sujet, leur bonne humeur me plaît bref je les aime.
Alors tu me fais confiance et tu vas choper sur iTunes le titre qui mérite d'être LE single, le putain de morceau en boucle chez toi avant de retrouver l'espèce de naze avec qui t'as rencard parce que tu es faible et que tu aimes trop jouer au docteur avec les jolis garçons qui n'ont rien compris au génie qui se cache derrière ton alcoolisme et ton goût de la déraison nocturne bon mais bon bref ça on s'en fout en plus je parle même pas de moi parce que je vous jure que pour une fois j'ai trouvé aucune capote dans la vaisselle ni sous le lit promis juré je ne n'ai pas baisé avec le premier venu promis juré j'ai même pas répondu au Basquiat Wayfaré (bah ouais, il ne lâche pas l'affaire) c'est dire à quel point faut me croire bon mais bref DONC :
tu vas sur iTunes, tu tapes ALB, si t'es pas un rat t'achètes l'album qui s'appelle Mange-Disque (9,90 € ça va bordel, t'as encore assez pour te mettre un crâne avec tes potes après) et si t'es un gros rat alors tu me fais confiance et tu achètes le titre I*D*N*Y, OK ?!! Obéis maintenant. Comment ? Tu oses me contrarier et hésiter ? Tu oses contrarier Dieu ? Tu seras puni, mon fils !
MAIS LE MIEUX EST D'ACHETER LEUR ALBUM IRL, LOOK AT THIS :
Et maintenant un petit clip d'ALB, CV209 ...
Leur Myspace pour écouter d'autres titres puisque tu ne crois pas en Dieu... ;)
Sérieusement, un album eclectique électro-pop voire un peu rock je trouve sur certains morceaux vraiment chouette, on sent que l'esprit est bon, ça fait plaisir, allez-y, j'aime ces petits frenchies à l'accent très à mon goût sur Safeguard.
PS : SAURAS-TU RECONNAÎTRE CELUI QUI ME FAIT BIEN CRAQUER... si oui, bravo, tu as gagné une vie supplémentaire, rendez-vous au niveau 3 pour retrouver Charlie.
PS : Vous aussi, vous me sentez nerveuse là ? Putain, une pile électrique, fvvzzzz...
PPS : Ah et j'oubliais le meilleur... Faut les voir jouer leur petite choré et hop on frappe dans nos mains tous ensemble au même moment avec un air pince-sans-rire et on aime ça, moi je suis fan. JE L'AI DÉJÀ DIT ? fvvzzzzzzz
23:00 | Lien permanent | Commentaires (25)
L'acte masturbateur peut engendrer une mort lente et douloureuse du disgracieux épiderme qui protège les phalanges.
13:40 | Lien permanent | Commentaires (20)