samedi, 26 avril 2008
Je crois que les Bubblizz ne sont pas étrangers à mon début de migraine
Les hommes avec qui j'ai fait l'amour sont nombreux à avoir un prénom commençant par la lettre R ou S D (je n'ai oublié personne cette fois, donc au final en force R, D et P). Des A aussi.
Avoir la hauteur adéquate pour avoir le siège d'une balançoire à son ventre, cela me manque. J'aimais bien poser mon petit torse dessus et me laisser aller, j'avais mal au coeur mais je continuais.
Mes cuisses me désolent, je me drogue aux poivrons, aux tomates Coeur de boeuf, aux salades en tout genre, au vinaigre balsamique et aux oignons rouges. Je n'ai pas encore minci mais mon haleine laisse à désirer en fin de repas et mon ventre gonfle à vue d'oeil au coucher. J'arrêterai le chocolat lundi et les crudités le soir. Il ne me reste plus que la soupe et les patches. Dur.
J'ai une idée très définie des six prochains mois, c'est tout nouveau pour moi. Je me demande comment les workaholics survivent sans junk sex et substances illicites.
Derrière moi, la télévision allumée. Toujours, avec ou sans son mais allumée, cela consternait le mec avec qui je sortais en début d'année. Le prochain le serait d'autant plus s'il savait que je laisse au volume 4 un téléfilm appelé Je m'appelle Régine. Je ne doute de rien.
Jérémie est réapparu, j'avais oublié de l'ajouter sur la liste des mecs avec qui j'ai. Comment avais-je pu l'oublier ? Souvent, je les compte. Parfois, nous faisons des comparaisons. Souvent nous en oublions un, le cherchant dix minutes et l'oubliant dans un bon vin. Jérémie m'a fait boire un sacré nombres de verres !
La dînette fraises-tomates en septembre sur le balcon. Et puis quelques mois plus tard, un petit être sera admis sans concours d'entrée au sein du Trocstore. Hâte de voir sa bouille, hâte de le voir grandir et de l'entendre l'appeler maman. Hâte de faire ma conne avec lui. Ce sera drôle quand même... (Et enfin, on cessera de dire que je suis le bébé de la bande.) (Penser à régresser en novembre pour garder ce statut.)
Régine en fond, je retourne wordiser mon samedi soir, ce putain de samedi quasi estival, ce putain de samedi où tout le monde s'amuse... Ma carotte : argent argent argent. Finalement je suis comme les caissières du Champion.
Coup de coeur pour cette chanson, ne cherchez pas pourquoi tout n'est qu'évidence, comme à chaque fois tout le monde connaît la fin sauf moi.
Elles me manqueront, les mouettes. Vous font-elles honneur de leur présence dans le XIeme ? Dites oui.
23:06 | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : en mode ma gueule ma carrière ma vie et le reste après, she&him