mercredi, 30 septembre 2009
La nuit est nouvelle
Je devais aller là et puis finalement non, changement de programme, voir Untel. Et puis non, rien de ce qui était prévu, la soirée prit ses aises autour d'une table ronde de café, en fer forgé, un truc très fiable en fait. Et comme une bouffée d'air frais, bizarrement toutes ces heures partagées avec au centre un drame, furent joyeuses. Et c'est toujours quand on dit au revoir, qu'on embrasse et qu'on serre dans nos bras cette personne avec qui on a partagé nos plus secrets maux, qu'on sait qu'on a passé un bon moment, un très joli moment, une belle soirée... vraie.
Une fois chez moi, je me déshabille vite pour enfiler mon pyjama et je saute (la première fois, seule) sur le lit, j'allume la lampe de la chambre, referme les portes et me dirige vers le salon. Et toute l'énergie de la soirée se joint à mon sixième sens et te dit "Je n'aime pas qu'on me mente alors bye bye", (ça c'est en référence à un con qui n'a rien à faire dans mes pensées), "J'avais oublié comme j'aime glisser sur le parquet la nuit" et... "La vie est trop belle pour ne pas lui donner une chance" alors mes yeux brillent, pour toi, oui, pour toi.
Les menteurs dehors et la vie devant moi.
Je suis pompette et j'ai passé une bonne soirée, ça voulait juste dire.
Versatile, pas tant que ça; dans la vie, vraie, oui, et j'aime.
33, Dominique Dalcan (dédié à un seul homme : celui qui ne voit aucune tristesse dans mon sourire, ça brille monsieur ça brille et ce sera encore plus grand demain)
(cosi cosa, si si, un truquito like this, si si, mixamos mixamos ;p)
02:32 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : dominique dalcan, marceline, la vecchia giacca nuova