dimanche, 14 juin 2009
feignasse
Pleuré à la fin d'un film sur deux, correct. Pleuré au moins une fois à chaque film, pardonnable.
Ranger ses affaires par couleur.
Un verre de vin allongée sur le parquet les courants d'air chaud et la liste au prince des steppes.
Strictement rien foutu de la journée, grisant.
J'ai des problèmes d'amour mais pas de mycose; un ami qui m'inspire un beau rôle et les lèvres un peu rouges.
A vélo ce refrain la nuit vite très vite brûlant les feux comme un homme fataliste devant trois hommes armés sur une route inconnue, c'est extra et la triche amène la perte et la perte de soi c'est terrible (enfin c'est ce que j'aurais dit si j'avais pris le vélo) :
19:38 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cursive, cursive i couldn't love you