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jeudi, 04 juin 2009
OH MY GOD ! U'RE SERIOUS ?...!...?...!...
toujours quand tu veux rester avec la pastèque, les romans qu'ils t'offrent et que tu lis pas, la mélodie du bonheur sur le câble et la moustiquaire rose que t'as accrochée un jeudi à 8h37 parce que le soleil donnait à se damner dans le couloir de l'entrée que tu finis sur ton vélo direction les gens à carreaux et aussi les autres, les pas sapés les pas beaux les plus drôles (enfin ça dépend du dessin des lèvres et de la manière de demander un sac à la caissière sous xanax). on rentre quand ? on finit pas on commence et l'été prendra fin avec la repousse impossible des poils et la fin du budget esthéticienne. alors on fait quoi ? on fait rien on pense à ce que les autres ne feront pas pour nous on fait les poches de la voisine relou et on paye la tournée qui annonce un énième débat sur le bien-fondé de l'empire state building. alors on voit quoi ? on lit la réponse au message envoyé quelque part dans la soirée ou la journée quelque part là où l'espoir baisait à la vue de tous la belle putain nommée Désir. alors on continue ? ne t'arrête jamais.
-----------------------ça commence à devenir inconfortable, ces gaz qui s'échappent d'assises, par ci par là en terrasse : les meufs, arrêtez Alli bordel, vos pets sont silencieux mais merde, ça schliiingue sévère bande de bouffeuses !!!--------------------------
PS : qui est le plus à plaindre : le sociopathe ou le congènère fasciné par son voisin sociopathe ? bonne nuit bonjour
bonjour à bientôt, me rappelle un grand brun
(ALORS OUI PROMIS DERNIER POST PUBLIÉ CETTE NUIT, J'AI JUSTE BALANCÉ TOUS LES BROUILLONS, TOUTES LES NOTES PUBLIÉES ET RETIRÉES AU RÉVEIL ETC, tous ces trucs de 2008-2006 (tout dans le désordre , cherchez pas les liens messieurs les psychopathes) qui me rappellent qu'on est en 2009, VOILÀ MÉNAGE DE PRINTEMPS, ET CE POST POTSIE ATTITUDE IL EST DE LA NUIT POUR DE VRAI OUAIS HOP, ON REPART SUR DE NOUVELLES BASES)
5h59
This charming man, des Smiths, c'était sous ce son-là au Truskel que je me suis dit en jettant un regard sur les personnes devant moi que la vie était mal et bien faite.
J'ai pris trop de shots, j'ai pris trop de rien et finalement trop de tout, travailler trop m'a fait oublié que la vraie vie était un morceau de rock évident, moi j'ai aimé entendre la voix de ce garçon que je ne connais pas, moi j'ai aimé dansé avec ces types un peu aussi mal foutus que moi j'ai aimé les voir moi j'ai aimé ce départ inattendu et finalement si prémédité moi je suis complètement bourrée à la bourre et pas grave les douleurs magnifiques étaient toutes là ce soir moi je moi je moi je et pourtant non tu il ils
tu vois oui je me souviens de tout et je tape lentement sur monclavier en écoutant la reprise des smiths de the boy with the thorn in his side et je suis contente je vais me coucher il est 6h07 et je ne me souviens que d'une seule chose, du présent.je suis trop loin pour te dire que ce tête à tête fut ...
bref, l'alcool, les rencontres la tendresse guimauve, les garçons qui disent "je te voyais pas comme ça pas aussi tendre" les départs impromptus et moi morte trop d'alcool je suis bien,
bonne journée et shit vis-le
complètement ivre au ralenti ce que ça fait du bien ce genre de rencontres sous un nouveau jour
et j'ai appelé aussi, appelé et souri, souri et le reste à moi moi seule
02:40 | Lien permanent | Commentaires (1)
De l'arsenic elle ne prendra pas
ll ne fait pas froid pour un 10 décembre pourtant la peau sur mon poignet gauche s'est laissé tenter par une ouverture. Mon épiderme voudrait-il me faire passer un message avec cette brûlure ?
Hasard des ruptures juvéniles, mon bracelet gri-gri s'est brisé il y a sept jours environ, avant ou après Barcelone je l'ignore.
Des reportages tard la nuit sur des filles violées, mariées de force, battues, un peu partout sur cette planète mauvaise plastique, les hommes barbares, les hommes attention chien méchant, les hommes parfois et on se demande abattue au fond de son lit si tout homme ton homme pourrait lui aussi devenir l'un de ces parasites à achever.
Les clones, moi clone, toi clone, un peu partout, tous des clones, personne est unique l'homme libre n'existe pas ai-je lu là-bas, oui non oui. Fermons les yeux pour mieux se voir, non ?
"Newsletter de Parissi :
Le salaire du blogger Récemment, le Nouvel Obs Paris (oui, nous aussi on lit la presse bourgeoise) mettait en une « les bloggeuses qui font la mode ». Avec cette couverture montrant cinq clones à franges et bottes on aurait plutôt titré « les bloggeuses qui suivent la mode » mais bon ce n’est pas le sujet. Fermons la parenthèse. Dans l’article donc, la journaliste notait que désormais ces bloggeuses-créatrice de tendance étaient très influentes et gagnaient pas mal d’argent en étant lourdement courtisées par les vendeurs (refusons le terme annonceurs, édulcorant sémantique agaçant) pour dire du bien de leur marchandise. Une partie de leur revenu provenait, apprenait-on, de la refourgue sur eBay des échantillons de crèmes qu’elles recevaient par palettes. Bref, il apparaissait entre les lignes que les donzelles, représentantes de cette info 2.0 qu’on nous présente comme tellement plus libre et impertinente que la poussiéreuse presse en arbre mort, étaient tout simplement achetées et que leur jugement sur telle crème ou telle bottine n’était probablement rien d’autre que de la pub pure et simple. Seul maître à bord de son petit site, le bloggeur n’a pas l’image d’un journal, sorte de surmoi professionnel, ou un chef un peu honnête (ça existe) pour l’empêcher de succomber à la tentation de faire plaisir-au-gars-qui-vient-de-te-faire-cadeau-à-500 €. C’est humain mais c’est de la mauvaise presse quand même. A croire que si tout le monde veut être journaliste de nos jours, c’est surtout pour pouvoir en croquer comme tous les autres et faire partie de cette pauvre élite qui va au ciné à l’œil.
Fernand Naudin"
Je ne décroche plus aux hommes qui me laissent indifférente ou oppressée, je ne réponds plus aux hommes agressifs qui savent me faire passer pour une menteuse, je ne réponds plus aux doutes imbéciles d'il ou elle, je ne réponds plus à la baise, je ne réponds plus de (du ?) tout sauf de quelques grands mots, rien n'est important finalement. Personne non plus. Laissons les chiens aboyer, la caravane tracer sa route bohème, les notes adoucir les traits féroces des visages qui s'effacent, laissons-les ils reviendront meilleurs ou ne me reviendront pas.
Quelle prétention de croire que la raison est de mon côté ! Pourtant elle l'est.
Et je laisserai mon surnom d'arbre bleu prendre le pas sur la fleur. avec encore un peu plus d'infidélité, ou de vérité.
02:40 | Lien permanent | Commentaires (2)
Mot d'excuse à dérober à l'infirmerie
Après-midi filles. Ne pas craquer chez IRO. Ne pas craquer au BM.
Craquer.
Trop mangé en Suisse, boudinée dans tout. Presque tout. Pourtant on va goûter. Se déboudiner à partir de ce soir.
"Il pleut toujours les jours de chance..."
La tête endormie, comme anesthésiée par un cachet qui fait tomber les dents.
J'y vais, dépenser pour compenser je ne sais quoi, sors de ma vie toi que j'aime toujours.
02:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
C'est dégueu si...
... j'avoue qu'en éternuant je viens d'expulser un très vilain molard sur ma manche ?
02:36 | Lien permanent | Commentaires (1)
Automatic lover
Regardez bien cette vidéo, écoutez attentivement les paroles, boutonnez-vous à la voix de fille sans acné ni trace de sperme sur la raie des fesses. La Bionda a été le groupe le plus échangé dans les commentaires des profils Myspace des garçons et des filles les plus désirables en 2007; je serai le transmetteur le plus puissant entre Tokyo et Londres cet automne.
I am your automatic lover
Et c’est moi qui décide quand j’éteins la machine.
On the line. Ou pas.
Je m'accroche à rien, je ne pends pas. Pourtant je focalise sur certains objectifs, certains conforts plus ou moins essentiels. Rien n'est vraiment essentiel, tu me diras.
A l'esprit que idées claires : le besoin de me sentir étrangère et chez moi sur du parquet, dans un quartier populaire (je sais, ça sonne Charlotte de Turkheim),
02:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ca doit faire mal quand même...
Dans leur chambre, j'ai toujours aimé m'allonger sur le lit et regarder ce tableau.
Je ne pouvais que me sentir proche d'O à la première lecture il y a deux ans...
02:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tous les bus dans la nuit se ressemblent
Tu veux que je crache ton incompréhension ici. Tu veux du Jen prévisible. Tu veux de la gêne où il ne devrait que couler source et farce. La vie n'est pas une farce, tu es une farce, je suis une farce, le bouffon nous observe et il rit, rit de moi. je ris de moi. même pas en vrai. j'ai dans la tête des créoles, des rémy en hp, des petites filles imparfaites dans des chorales, j'ai dans le coeur des goûts nouveaux encore étrangers, dans l'esprit j'ai un taxi et quatre arrondissements qui nous séparent, tu as raison ce doit être l'ego qui parle ce doit être Jen l'enfant qui parle, oui les trentenaires oui les filles aux cheveux ondulés qui suçent avant l'heure oui je suis fragile mais oui tu as raison il n'y a qu'elle qui est fragile moi je peux tout entendre tout avaler tout digérer, tu as raison mes claques sont de la merde tu as raison je comprends rien. mais toi tu comprends pas, toi tu comprends pas que j'ai dit au revoir au glasgow toi tu comprends pas que ... tu comprends rien et c'est ce que tu voulais entendre. on ne peut pas être amis, on ne peut pas échanger les bonheurs d'une nuit tu comprends rien, comme si tout était si simple mais non, je le croyais mais non tu vois je peux pas, tu vois je peux vraiment pas te dire que cette fille qui te rend heureux plus que moi je l'aime, je peux pas quand tu me la décris comme une paumée de base, je peux pas te dire que c'est la bonne, je peux pas te dire que j'ai envie de coucher avec elle je peux pas te dire que je hais cette année avec toi je peux pas te dire que tu m'as rendue froide je peux pas te dire qu'à cause de ton désamour je suis aujourd'hui exsangue je peux pas te dire que j'ai dans la peau quelque chose qui ressemble à du roman de lit, je peux pas te dire que je vis des choses qui m'isolent je peux pas te dire que je fonce dans le mur avec désir je peux pas te dire qu'un oeil invisible me surveille je peux pas te dire que je suis folle de rêver je peux pas te dire que j'attends rien d'un garçon qui ne veut rien donner je peux pas te dire que ton histoire et la mienne sont égales je peux pas te dire je peux pas t'avouer que je tiens entre mes deux index un fil qui me fait vibrer je peux pas te dire que je veux pas briller je peux pas te dire que je veux juste quelque chose dont tout le monde se moque je peux pas te dire que j'attends la neige avec l'impatience d'une slave prisonnière je peux pas te dire que ton bouquin c'est de la merde je peux pas te dire que tu me fais pleurer parce que je ne sais même pas pourquoi je peux même pas te dire que dans ma tête survit une rencontre je peux encore moins te dire que tu as raison, que je vis à côté, que je suis un arbre bleu, que je suis nulle, tu sais pourquoi ? parce que tout ça, moi j'y crois, j'y crois sans doute seule mais j'y crois et tout ce bordel, ce soir, n'excuse en rien ma conduite, mais sache que mes larmes sont pour les giboulées de mars et la martinique cheap.
je t'emmerde, tu me trouves cassante, je ne le suis pas, je voudrais juste un instant d'éternité.
02:31 | Lien permanent | Commentaires (6)
8 janvier 2008, 17h11
Je n'arrive toujours pas à ouvrir les boîtes de médicaments du bon côté, là où la notice ne me barre pas le chemin.
Je n'arrive toujours pas à marquer le panier de linge sale avec les chaussettes trouvées sous le lit.
Je les aimes, ces photos de Simone nue.
02:30 | Lien permanent | Commentaires (0)