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jeudi, 06 novembre 2008
Je t'aime aussi
12:42 | Lien permanent | Commentaires (12)
J'ai eu peur
Tout à l'heure je suis allée chez le pharmacien (très charmant, vieux mais gentil), parlant doucement pour qu'aucun chat de gouttière ne m'entende, j'ai dit : "Voilà, en fait je me suis réveillée avec ça, ça et ça et comme j'ai mes règles, je pense que ce doit être des boutons de fièvre".
Lui, avec une voix incroyablement rassurante, me demande : "Mais dedans, c'est blanc comment ?"
Moi : "Bah heu, c'est blanc, quoi."
Lui : "Oui mais blanc comment ? Blanc opaque ? Blanc transparent ?"
Moi, pensant répondre blanc sperme mais intériorisant le sourire : "Bah blanc blanc au début puis blanc eau avec un peu de sang à la fin."
Je sens que le mec est perplexe. En même temps, on n'a pas tous dix ans à la pharmacie ?
Je suis repartie avec une pommade à mettre matin et soir.
En fait, le drame de cette histoire, que je n'ai pas relaté, c'est qu'à un moment, il s'interrogeait sur la nature de ce bouton. Bouton de fièvre ou herpès ?
Et là, ben heureusement, il n'y avait pas de chat de gouttière dans et près de la pharmacie.
En rentrant, google, bouton de fièvre herpes.
Je tombe sur un texte sur Doctissimo, qui dit que le bouton de fièvre et l'herpès, ça gratte. Mois, ça gratte pas. Mais ça fait mal et ça donne une gueule botoxée (qui pourtant n'est pas sans me déplaire).
Mais à la fin du texte, une photo.
Non, ce n'est pas de l'herpès. Je n'ai jamais eu d'herpès il est impensable qu'un jour je me lève et voie ça dans le miroir de la salle de bains.
Conclusion : je ne sors pas jusqu'à temps que Meg Ryan sorte de ma bouche et si j'avais une quelconque chance de rencontrer un nouvel orgasme voire plus si affinités via ce blog, maintenant je sais que c'est mort. Mais je n'aurais pas raconté cette anti-anecdote si tel était mon espoir, n'est-ce pas...
(enfin ça va quand même, je suis toujours bonnasse, ben si quand même y a des trucs qui ne partent jamais ------> ma franchise et ma connerie)
12:40 | Lien permanent | Commentaires (6)
mercredi, 05 novembre 2008
La sirène du mercredi
Pourquoi y a-t-il toujours des guêpes où que j'aille ? Parce que là, ça fait vingt minutes que toutes les fenêtres (6) sont ouvertes et que cette Sécotine ne quitte pas mon placard.
Aucun propos sur Obama, ni sur les gens qui ont porté un tee à son effigie. Patriotic idiot, ici, c'est préférable. J'aimerais quand même entendre Inès de la Fressange, vêtue de son Zadig & Voltaire Obama, chanter Suddenly everything has changed... Rien n'est plus changeant qu'un quartier, un monde c'est quand même une autre histoire.
Je vais peut-être finir comme Eudeline. Parce qu'entouré de jeunesse, on a peur de rien (et de tout mais quand c'est pas drôle).
Ca fait longtemps que je ne suis pas allée dans le VIeme dis donc.
(ben ouais, j'adore cette chanson !)
PS : mais si je suis contente... c'est bien c'est beau c'est fort ok ok ok. Attendons de voir la suite.
12:09 | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 03 novembre 2008
La tentation d'être deux devant le miroir
Ca fait 25 minutes que je prends mon téléphone, commence à taper les 4 premiers numéros et que j'appuie sur correction. J'appelle, j'appelle pas ? Je dis quoi ? Que voilà, j'ai envie de plein de nouvelles choses dans ma vie et que ces nouvelles choses, sans lui, ce sera peut-être plus difficile. Que j'arrête pas de penser à lui mais que je suis rien qu'une trouillarde qui court au premier coup de fusil ? Ou alors je n'appelle pas et je passe directement chez lui, avec un grand sourire et les jambes en coton; surpriiise. Ou bien je bouge pas, j'appelle pas mon coiffeur et je dis à personne que j'ai envie d'avoir la même couleur et la même coupe que la copine. Le choix cornélien d'une fille aux sens des priorités et de la gueule unique à définir.
15:34 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : a long lost