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vendredi, 10 octobre 2008
(Quelque part, ça rassure. La sobriété, un jour, on la rencontrera !)
"Nous avions si peur l'un de l'autre que je m'enivrai pour la première fois de ma vie, sauf qu'il avait plus que moi l'habitude d'abuser des alcools forts. Lui qui s'exprime si peu me parla pendant des heures et tout se termina sur l'oreiller, mais mon degré d'ébriété était tel, qu'à mon grand regret, je ne me souviens de rien."
Françoise Hardy, sa première nuit avec Jacques Dutronc. Merde, sont beaux ces cons, même vieux.
17:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hardy dutronc
jeudi, 09 octobre 2008
Kippour et moi
15:54 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : austine pardonne
mercredi, 08 octobre 2008
Le principe d'évolution
sms reçu à 19:54:34 le 29/07/2008
Va te faire foutre...
la métamorphose, la taquine
12:41 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : remaniement ministériel, mon petit poney stella cadente, housse de racket, sms etc.
mardi, 07 octobre 2008
Se retrouver chez ses parents
Ca veut dire changer ses horaires, sortir le chien avec sa mère à chaque fois (et donc croiser un tas de relous avec qui il faut échanger quelques politesses qui dévorent mon temps), entendre du bruit tout le temps, ne rien manger et aujourd'hui, échapper à la mort. Fuite de gaz, Jen explosée avant d'avoir pu renaître rive droite. Le gaz, ça rend tout mou tout bizarre.
11:07 | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 06 octobre 2008
Those Dancing Days, Home Sweet Home
Je pourrais vous raconter comment et pourquoi j'ai été réduite à obliger une copine à voler un bol de micro-pénis Knaki lors d'une soirée déguisée où j'ai fait boire un chat au robinet pendant que j'organisais avec ma main droite la fuite d'un dealer à Helsinki; je pourrais également vous dire à quel point il faut toujours prendre soin de vérifier deux fois le nom du destinataire de votre sms sous peine de prendre le risque de proposer une jolie trace et une paire de fesses sur un parquet doux comme votre ventre à votre mère mais je vous dirai seulement pourquoi cette chanson de merde (si, c'est de la merde) : les couleurs, le rétro, le fifille et c'est tout.
(Ah oui ! j'ai trouvé un canapé à Belleville, je vais le peindre, attraper tout plein de bestioles et ensuite acquérir un truc chez Ligne Roset... en Touraine. Hum.)
17:03 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : those dancing days home sweet home
vendredi, 03 octobre 2008
Delirium rue de Rennes
Regard méfiant et souplesse morale diabolique, sale con et grand romantique, les filles auraient tort de tourner leurs talons. Les filles. Mais Jen.
C'est joli l'automne pour se rêver parmi la foule, les fantômes de Saint-Germain-des-Prés font si bien l'amour derrière les murs, entrez sans frapper, surprenez-moi sur les pavés ou perdez-vous dans Paris...
A force d'embrasser leurs lèvres, vous rencontrerez bien un jour les miennes...
Aimablement,
votre doux rêve.
13:43 | Lien permanent | Commentaires (4)
mercredi, 01 octobre 2008
Love like what ?
10:49 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : malheureuse en amour heureuse où bordel