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lundi, 19 mai 2008
Quand tu envoies "jpar now" à 18h par téléphone, il faut s'inquiéter pour la suite de la soirée
Celui qui dit non, tel était son prénom. Venga venga venga !
Un homme qui inspire des chansons, ce n'est pas si commun. Mes pieds aussi l'inspirent. C'est normal, ils sont beaux - même si je suis la seule à penser qu'avoir des doigts de pieds (grecs = signe d'intelligence, ça me fait plaisir de le croire) aussi grands que les doigts d'un enfant de 8 ans, c'est beau.
Au réveil, la cour de rabbi. Un miroir, ce n'est que de l'argent qui te cache des autres. Si tu enlèves l'argent, tu as une glace qui te permet de voir le monde. J'aime rentrer en titubant, laisser la deux allumée et me réveiller avec Présence protestante, le scout du mois et les histoires de rabbi.
Je suis la fille promise.
Quand vais-je prendre soin de ma santé ? Quand je ne prendrai pas la pilule du lendemain.
Tituber, le mot est bien faible : je me forçais à regarder droit devant pour ne pas dégueuler sur la porte intérieure du taxi. Il ne m'a pas flingué le vagin.
***
Je veux aimer le dernier Desplechin et ce film egotrip que personne n'ira voir.
Bientôt ce sera moi :
***
_ Tu sais ce qu'il te faudrait ?
_ Non, quoi ?
_ Un bon gros chagrin d'amour.
_ Pourquoi ?
_ Tes yeux brilleraient de nouveau.
***
Samedi soir j'aurais voulu parler pendant des heures des Ailes du désir, du fantastique Tropique du Capricorne et de tout l'amour que j'ai envie de te voler mais j'ai une fois de plus été emportée par les paradis artificiels, au final ça donne une fille qui fait pipi devant le garçon qu'elle trouve charmant, ça donne une phrase trop sincère au téléphone, ça donne des réveils le cul à l'air offert au voisin mais ça donne surtout du plaisir et du rire qui te font oublier pourquoi la veille tu avais promis de ne plus boire devant des inconnus. J'aime bien les inconnus, ils me troublent, je joue on s'amuse et le dimanche tout le monde est content : ça fait un bail que je n'avais plus employé ce mot mais c'est officiel, la targetisation a recommencé au sein du Trosctore en mouvement et j'en connais une qui acquiesce toute seule en souriant derrière son écran au boulot - ma poule, l'été sera grandiose et vierge non pratiquant soit cancer ascendant fais-moi rire !
Tous les dimanches, je cale mes fesses et mon esprit embrumé à la terrasse de La Chaise au Plafond. J'ai toujours une bonne surprise qui m'y attend. J'ai découvert que mon targui bossait au Trésor, j'ai voulu comme presque chaque dimanche être maman sur les coups de 20h puis j'ai finalement dit oui pour la soiré déguisée en princesse (j'ai dit oui pour la soirée, pas pour la princesse, merde pas envie de me retrouver au milieu d'une trentaine de têtes couronnées Claire's ! mais le pirate ou l'infirmière, mmm, je doute). J'ai aussi dit oui à beaucoup de choses ce week-end, ce qui m'a valu une panne sèche de cortex mais j'aurai bien le temps de culpabiliser après ma mort.
Chouette week-end, chouette(s) rencontre(s).
***
J'ai aussi été à - 19 000 euros pendant deux jours mais c'est fini, tout va bien, mon coeur rebat normalement, tout va pour le mieux dans le meilleur des mini-mondes.
***
Jen et 72h avec Electric feel de MGMT et Uptown top ranking des indétrônables Anthea et Donna; vidéo qui te donne simplement envie de te laisser tropicaliser tout l'été... et de dire encore oui à tout très longtemps.
00:30 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : anthea and donna, nos amis les hommes, j'avais dit j'arrête demain
jeudi, 15 mai 2008
Hier, rue de Seine, un homme prit le risque...
15:21 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : beaux et cons, je m'attache je te fuis je m'attache je te suis
mardi, 13 mai 2008
Avoir le cul bordé de nouilles
Quand on visualise la chose, c'est dégueulasse. Plein de vers solitaires sous tes fesses dodues, ça donne à la chance un nouveau visage.
J'ai trop grossi, je fais des associations d'idées qui laissent nos amis imaginaires sur le cul. Sole grillée et doigt dedans jusqu'à nouvel ordre.
La photo immonde pour vous souhaiter une bonne nuit pleine de beaux rêves...
00:00 | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : expression française, joie du steak tartare
lundi, 12 mai 2008
Le gag de merde
Mes potes sont tous des sales enfoirés : je viens de perdre toute estime de moi devant le miroir... le morceau de ciboulette coincé dans les dents du bas, merci beaucoup.
Je les hais.
02:01 | Lien permanent | Commentaires (6)
Vu trop de gens cette semaine, besoin de calme
C'est bon de prendre du temps pour rien. Sandales, panama et framboises sur le gazon. Tu poses ta tête sur le paréo, tu écoutes les vers de terre parler et observes les petites filles s'éclater le cou en tombant. Tu regardes les pompiers s'occuper d'elles et tu aimes bien ce divertissement. Ce soir, à table, elle rêvaient toutes du retour de leur mâle; je me contentai de commander un second verre de Chardonnay. Ce serait bien qu'un homme me renverse. Pas tellement envie de baiser comme une connasse cet été, plutôt envie de faire l'amour chienne avec un magicien raté. (Je change d'avis toutes les deux minutes, été cul brochettes variées/été cul plat unique, selon les derniers arrivages et le niveau de susceptiblité.)
01:30 | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 11 mai 2008
Ok, j'étais peu être un peu pompette en rentrant... tête haute.
14:19 | Lien permanent | Commentaires (5)
vendredi, 09 mai 2008
Référencer son blog
Titre de bandit, méfiance, barrez-vous.
Mon père m'appelle pour me dire de ne pas prendre de taxi au hasard mais à une station. Mon père est une mère juive. Je suis comme mon père. Il semble qu'un nouveau faux taxi driver ait fait des "siennes", une tentative de viol ou je-ne-sais-pas-trop-quoi, devant la Scala, encore. Ca fiche la trouille quand même. Une fois, il y a environ trois ans, je suis tombée sur un mec louche. En parano, maintenant, je les trouve tous louches. Mais comme je suis toujours alcoolisée la nuit, le mec pourrait facilement me mettre trois balles dans le vagin. Encore une bonne raison d'avoir un petit mari infidèle. Je ne sais plus où je voulais en venir. Mon père doit craindre pour l'avenir de ma poitrine à 5h du matin.
J'hésite entre ranger mon appart (rdv demain chez moi à 10h, dur), travailler, vomir ou me plonger dans l'achat printanier du jour. Tropique du Capricorne ou renvoi acide dans le sac de l'aspirateur ?Par curiosité malsaine je suis allée revoir les photos de R. L'ai-je vraiment détruit ? Son regard m'étourdit, lire ses grands yeux sombres c'est comme avoir un flingue sur la tempe. J'ai mal au coeur ce soir. Une ronde de prénoms encombrante depuis la tombée de la nuit. Vivement demain.
22:13 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : joe le taxi
En fait si, je suis amoureuse...
... de John Nollet. Je viens de tomber de ma chaise. Moi qui le trouvais surfait-pétasse, là je m'évanouis devant une telle barbe.
Copyright The Sartorialist
...
C'est affligeant d'être aussi prévisible. Que voulez-vous, je suis destinée à aimer la barbe, le cheveux long et le regard de salaud toute ma vie !
(Si un jour je suis séduite par un gros rasé, achetez-moi un billet pour Vesoul.)
J'espère que je ne suis pas la seule à ne sortir qu'avec des clones depuis mes 23 ans... Merde, je suis comme Nicolas.
13:58 | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : john nollet
jeudi, 08 mai 2008
Ma vie sentimentale est un bordel sans Lui.
Sans toi aussi.
A l'un je dis je ne t'ai jamais aimé; à l'autre je t'aime toujours.
Pourtant je ne suis pas amoureuse.
Ma vie sentimentale est un bordel. En chantier ? Plus d'argent. Sans papiers en grève.
Déménager est décidément la meilleure chose à faire.
Pris des coups de soleil, il était où ce connard de Cocciante pendant que mes cuisses prenaient la couleur de l'amour guimauve place des Vosges ?
22:44 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : la conne est étanche et le mensonge en aluminium
mardi, 06 mai 2008
Chiant et nombriliste, je vais adorer.
Très bien, maintenant je culpabilise, un peu. Je ferme ces onglets, j'appuie sur le carré noir, je garde dix minutes pour appeler Benjamin et je (re)travaille.
19:46 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : j'aimerais partager le printemps avec quelqu'un, joseph morder