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mercredi, 05 mars 2008
Les petites filles sages et polies (clin d'oeil aux preum's)
16:31 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : catherine ferroyer-blanchard, chanson d'amour
mardi, 04 mars 2008
Jen les deux mains gauches
Pour le boulot, j'ai testé un truc qui plaira aux filles incapables de se peindre les ongles en rouge sans déborder : le nail patch. Ce sont des adhésifs colorés selon vos préférences, il suffit de les poser délicatement sur les ongles et ça tient pendant 11 jours (chez Sephora). Franchement, je pensais que ce serait de la merde mais non, le résultat est plutôt cool. Sauf que... Je suis en train de les enlever et alors là, je t'explique pas la galère ! Je pensais qu'ils s'enlèveraient hyper facilement mais non, genre pour en enlever un seul je mets dix ans, impossible de l'enlever d'un coup ça me fait plein de petits morceaux, fait chier !!!
Donc voilà, le nail patch c'est cool mais faut être patiente et moi je ne le suis pas pour un sou ! Plein de mini bandes rouges sur le tapis et le bureau maintenant, great...
Conclusion : Non seulement je veux un secrétaire mais désormais j'exige également une manucure à domicile.
Edit : Pas possible d'être aussi conne... En fait, ça s'enlève au dissolvant. Trop tard, j'avais déjà niqué mes ongles quand Cé me l'a dit.
17:06 | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : sephora, vernis, nail patch, beauté, filles, manucure
I wish i was a boy
Je mange en moyenne cinq oranges maltaises par jour depuis samedi.
J'ai l'abnégation de Vahina Giocante dans Riviera.
J'ai l'impression d'avoir un coeur de pierre depuis ce matin.
Les hommes sont des pions, je ne suis pas sincère, je mens je joue je perds et gagne un peu plus de liberté à chaque fois.
Personne ne compte. Ni eux, ni elles ni moi.
J'avance je trace je coupe je triche.
Le bonheur ricane-t-il des cendres de nos belles illusions ?
Le bonheur se ferait-il sournois au point de se déguster froid et distant ?
Et si, et si... si peu, si fort.
Tout est possible désormais, mais rien ne sera plus gratuit.
Jusqu'à dimanche tout du moins. Jusqu'à ce que le sac bleu Champion ne compte plus une seule orange maltaise.
La vitamine C, j'aime.
Tu reconnais la voix de Muriel Moreno ? Non ? Bah si. Si tu n'aimes pas ce titre, viens que je te coupe... un quartier.
00:39 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : muriel moreno, marc collin, i wish i was a boy, riviera, vahina giocante
lundi, 03 mars 2008
La nuit rive droite porte conseil
Hier, 15h, rendez-vous avec l'andalou pour un ciné et surtout me changer les idées. Incapable de me concentrer sur mon travail, je choisis l'irresponsabilité. Evidemment, nous aurions dû le prévoir, le cinéma tomba à l'eau, ou plutôt à l'alcool. Une nuit à boire, à laisser échapper quelques trémolos au début puis enfin à rire et à faire n'importe quoi - nous sommes très forts dans ce domaine. Dans le n'importe quoi, j'ai eu la connerie de laisser l'andalou bidouiller mon portable, impossible de le rallumer depuis (c'est quoi ce putain de code puk machin ?!! je trouve plus ma notice, c'est la merde).
Au réveil, je l'entends discuter avec sa fille au téléphone : son hamster est mort hier soir dans ses mains. Je l'écoutais la consoler : "Oui,c 'est dur. Dis-toi que c'est fragile ces petites bêtes, ça va aller, avec un peu de temps..." Et à son autre fille, qui a également beaucoup pleuré la veille, il termina par lui conseiller d'aller jouer à la Nintendo. J'ai ri, c'est toujours difficile, j'imagine, de dire les bonnes choses à ses nains dans de telles situations. Il termina par leur dire je t'aime. Au réveil, j'ai pris ces dialogues pour moi, le prof de français était un hamster et je vais jouer à la Nintendo pour oublier. Oui, ok... sourire. Mais je ne sais pas, je me suis réveillée avec les idées plus claires, moins douloureuses, seul un léger brouillard qui rend les choses plus simples dans le métro.
Oups ! Entre la dernière phrase et maintenant, j'ai laissé quelques verres dans les toilettes. Je viens de vomir le hamster !
Tout ça pour dire qu'aujourd'hui je ne me sens pas triste, je n'ai pas envie de le pleurer. Je trouve toujours aussi con le fait de m'avoir quittée un mois avant son départ, je trouve toujours aussi con de ne pas passer du bon temps ensemble pour le temps qu'il nous/lui restait avant son départ en Argentine mais si ça ne lui disait plus rien, alors tant pis. C'est bien con quand même, ça plaisait à mon ventre de l'avoir dans mon lit. ;)
Je me remets au boulot, je me remets en mode "sans toi, sans un Lui" et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes de Jen.
PS : Oui, un coeur d'artichaut.
PPS : Le commentaire de Jean-Baptiste... super ! Alors comme ça je suis le genre de fille dont il ne faut surtout pas tomber amoureux ?!! Bah merci, ça fait plaisir et ça rassure énormément ! ;)
PPS : Un rayon de soleil tout de suite maintenant, cool !
PPPS : C'est quand même drôle de guérir surmonter une rupture grâce à l'homme qui m'a fait pleurer comme vache qui pisse il y a un an.
Rien à voir mais c'est vrai que leur son est bon (oui enfin bon, moi je trouve ça pas mal, je suis peut-être la seule remarquez.. ;p) :
12:22 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : april march hamster rupture iband
samedi, 01 mars 2008
La "petite pute" souffrira en silence cette fois
J'ai aimé quelques nuits d'hiver.
Puis le rideau, encore lui.
C'est douloureux à l'intérieur, la boule au ventre, gorge serrée, les yeux noyés d'espoir déçu, la peau en rehab forcée, je n'aime plus être la fille géniale des uns et des autres. Les hommes que j'aime se lassent vite de moi, je ne suffis pas, douloureux d'être abandonnée quand même. Toujours le même refrain pour tout le monde, toujours aussi déchirant à chaque fois. A chaque fois, Barbara... Pourquoi j'aime toujours des hommes qui ne veulent pas de moi longtemps ? Pourquoi je suis tombée amoureuse ? Sensuelle et sans suite, Gainsbourg... Pourquoi ai-je voulu croire que l'amour était possible ? J'y ai tellement cru, j'ai eu tort. Demain, tout recommencera. Demain brillera. Demain mentira aussi. Fatiguée de cette rengaine.
Ca ira mieux demain. Ou après-demain.
(Il aura fallu attendre la rupture pour devenir la bienvenue en Argentine. Coeur à l'envers, monde à l'endroit.)
Ouais bon allez, pas de mélo, désolée j'arrête. Je pars pleurer sous la couette en cachette du monde, c'est mieux.
Edit : j'arrête pas de pleurer, c'est comique : les mouchoirs, les crises soudaines de larmes avec les petits bruits, le menton tremblotant, dans le lit avec ma boîte de Kleenex et un seul désir, être dans ses bras. Et ma mère qu'il faut que je rappelle pour dîner ce soir avec la famille au resto, je vais jamais y arriver...
Je crois que je vais peut-être rejoindre la miss à sa soirée de coloc', picoler un peu, crever un peu pour sourire et sortir ma voix de crécelle, galocher un barbu charmant comme hier soir, oublier mon chagrin dans les bras d'un autre, mouais. Mais merde, c'est lui que je veux moi ! j'étais si bien dans ses bras, ses baisers, sa chaleur... il me manque. Je m'en veux d'être dans un état pareil quand de son côté lui semble vivre plutôt bien la chose, je m'en veux de me rêver encore dans ses bras, je m'en veux d'être aussi conne. Je lui en veux un peu de ne pas nous donner ces quelques semaines à deux, c'était chouette merde, pourquoi arrêter quelque chose qui n'a jamais commencé ? encore envie de lui, encore envie de sentir sa main caresser la mienne, son regard doux un peu dubitatif à certaines heures, bref fini Jen, c'était bien, maintenant oublie-le.
Edit bis : un coup ça va je vois la vie à la cool, distante de tout, un coup je m'effondre en larmes. Elle est belle cette expression, s'effondrer en larmes.
Le pire, c'est quand la rupture est bien "faite", les deux protagonistes se font un clin d'oeil, se serrent la main, bref quelque chose de très sympathique, genre je te quitte mais t'as vu ce soleil magnifique aujourd'hui ?!!... enfin dans l'esprit, c'est ça, c'est bien et naze à la fois. on ne peut pas forcer les sentiments mais si j'en avais le pouvoir, je ne me gênerais pas. quoique.
Quand on y pense, c'est quand même d'une violence extrême ces fins de contrat, hop je t'aime plus tu sors. Et toi tu te ne dis rien, t'as pas le choix, il n'y a pas d'amour en face, tu te soumets à la dure loi de la vie et tu fais comme les oiseaux. Katoucha j'arrive ! ah ben non, elle au moins on la repêche.
20h : allez, motivation, cornes en mains, happy face, dîner famille. oh puis merde, m'en fous c'est un con s'il ne m'aime pas, c'est tout ! hmpfff :(
(on garde le post-it, ça fera un souvenir (sic) :
On reste amis ?!!
ah putain...
adieu les baisers de Dracula, adieu les orgasmes, rebonjour les autres !
j'aurais aimé...
Je voudrais bien le prendre par les cornes mais le taureau s'est fait la malle. Je l'attends, s'il ne vient pas assez vite, je vais trouver bonheur à la hague.)
16:31 | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : rupture, ex, larmes, séparation, austine petite pute
7h11
je rentre
je viens de faire opposition, ça m'apprendra à danser sur Lio au lieu de surveiller mon sac
plein de choses en fouillis dans ma tête en vrac (mais ordonnée mine de rien)
je ne sais pas, c'est étrange
autocensure de courte durée
mais oui, cette nuit fut étonnante et riche en rencontres
tea time dimanche, ok j'ai perdu ma carte donc ok les courses demain matin enfin dans quelques heures à la grande épicerie du bon marché sont un peu mises de côté mais il me reste le chéquier, l'après-midi et l'espoir d'un dimanche aussi souriant que cette nuit.
je ne sais plus où je devais aller, je crois que je n'avais pas de destination précise, voguons, voguons... les vagues me donnent le mal de mer plaisant (surtout lorsque mes converse glissent sur ce sol pour échangistes de droite - oui, un concept que seul K. comprendrait, bien aimé cette soirée).
edit KD2A SPAGHETTIS : JE FAIS LE TRI DANS CEUX QUE JE CONSIDÉRAIS COMME DES AMIS, CERTAINES ONT LA MÉMOIRE COURTE ET LA CONNERIE VIVE, CERTAINS ONT LE RAPPEL LENT ET LA CONNERIE VIVE, MOI J'AI TOUT çA MAIS JE T'EMMERDE, J'AI EU BESOIN DE TOI (ET DE TOI), TU N'ÉTAIS PAS LÀ, ALORS J'AI LAISSÉ LE PAYSAGE PRENDRE DE NOUVELLES COULEURS ET TU SAIS QUOI ? C'ÉTAIT CHOUETTE. MERCI À CES TROIS HOMMES.
07:12 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : la palette saint germain des prés nuit