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vendredi, 15 juin 2007
Help
Je n'ai pas eu entendu le nom du livre de Philippe Djian et pourtant j'en ai lu quelques-uns (je me souviens d'un commentaire à ce sujet il y a déjà plus d'un an, me lis-tu encore ?), aidez-moi : dans quel roman dit-il "écris sans te soucier des critiques, bonnes ou mauvaises, ne fréquente pas les lieux où on parle de livres (...), écris chaque phrase comme si c'était la dernière". Ce n'est pas le texte exact, pardon, mais c'est l'esprit. Quel est ce livre ?!!
Rien à voir. Sur Canal +, à l'instant, Julien Doré chante Cet air-là d'April March, parfait parce qu'April March est ma mignardise du moment, bientôt je vous ferai écouter mon titre chouchou.
En attendant, voici Cet air-là : aimez ou détestez, je m'en fous.
Alors, ce livre ? Je le veux, aidez-moi, gentils lettrés du trottoir !
13:50 | Lien permanent | Commentaires (14)
Mais que faisait les hommes en blanc ? Ou noir, donc.
Comment puis-je penser autant de conneries à la minute ? Effrayant.
Fraîche, enfin assez pour faire ce qui était prévu aujourd'hui.
Pas trop fatiguée, pas trop de cernes, ça va.
Envie de passer mon week-end à travailler et glander, au soleil ou chez moi.
J'avais dit oui à tout le monde, ce sera non, je revois mes priorités.
Bon week-end à tous (trop pompeux, on se croirait sur un de ces blogs féminins archi consensuels mais tant pis, on passera l'éponge pour cette fois).
(Bravo aux deux curieux qui doivent être fonctionnaires ou un truc dans le genre pour pouvoir/vouloir prendre le temps de lire une note aussi longue où dès la troisième ligne on sait qu'on va s'emmerder. Masi bravo, bravo... just kidding)
PS : le bal des hélicos, c'est reparti ! (on s'entend plus !!!)
11:25 | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 11 juin 2007
Ahahaha
Sujet philo du bac : Que gagnons-nous à travailler ?
Deux secondes, je file boire un café avec Pauline, je fais un petit détour par le Printemps, je feuillette Voici avec mon goûter au Luco (ou Louuuuuco pour certains ;p), je passe prendre rendez-vous chez le coiffeur et je vous élabore une vague synthèse (on va pas non plus se faire chier avec les pour, les contre alors qu'au final, on adore glander).
Ma réponse : L'amour. Paraît que c'est statistique. Pas de bol, je bosse chez moi.
Ou alors un amant.
Ouais en fait non, on gagne juste l'impression d'avoir une vie confortable. Mais où est l'essentiel ? Sur mes lèvres, non ? Je sors, très bien, bande de sales capitalistes anti fleur-bleue de mes deux !!!
12:42 | Lien permanent | Commentaires (43)
Ma chanson du jour
C'est lundi, c'est soleil & nuages, c'est bonheur mais boulot, c'est pépite. Voici la version de Miss you Par The Concretes, voix qui brûle sur place de désir et de langueur n'importe quel être sensuel normalement constitué, j'aime. Pas mal pour se concentrer, enfin pour moi ça marche, bizarrement (oui enfin je l'écoute en boucle, encore 22 tours et je pense avoir mon compte pour la journée).
Sinon c'est bon, je me suis sevrée cette nuit.C'est sympa d'être ridicule mais faut savoir s'arrêter... jusqu'à la prochaine. On y croit.
10:15 | Lien permanent | Commentaires (6)
dimanche, 10 juin 2007
J'ignore pourquoi (ou je fais semblant de) mais je... non, rien. Trop court, je suis une conne.
Une rencontre de ce genre, ça s'oublie au réveil le lendemain, normalement, surtout quand on est un mec, enfin je suppose, les mecs oublient toujours. J'aimerais bien croire qu'on ne m'oublie pas mais je préfère me persuader que je suis comme les autres, on m'oublie vite (même si en vérité, je ne comprendrai pas comment on peut oublier la saveur de mes lèvres, de mes mains empoignant tes cheveux fouillis, mon odeur, mon goût, mes ongles courts sur le bas de ton dos bref je m'estime inoubliable, on a tous le droit d'y croire, surtout quand c'est vrai mais là vous me taxeriez de fille démesurée dans la vision qu'elle a d'elle-même). Ce n'est même pas une rencontre, juste une attraction qui ne s'explique pas, ou alors par des théories hormonales où l'odeur de la peau est au centre d'un joyeux bordel complexe pour les blondes.
C'est bien de retrouver son coeur d'adolescente (l'avais-je perdu ?) mais on se retrouve con lorsqu'en soirée on guette les chevelus à barbe. (Evidemment, il y en a un tas, de chevelus à barbe ultra douce (quoique) et à veste cuir, mais ils n'ont pas ce truc qui à 2h du mat' tel jour m'avait attirée. Comment m'étais-je retrouvée dans ses bras ? Je ne me souviens pas l'avoir pris dans mes bras pour danser, ou alors... je ne sais plus.)
Aurais-je retrouvé mon coeur de midinette ? C'est ridicule.
Je vais me reprendre, juste le temps de scotcher sur un autre inconnu.
Mais quand même... je pense à ce petit lover, moi qui pensais avoir enfin atteint l'âge de la maturité, je me marre.
Tant mieux pour la maturité, tant pis pour le vin blanc sous le réverbère, ta gueule à ma fierté, j'ai 15 ans et demi, encore.
Mais j'aimerais bien retrouver le coeur des 22 ans, j'aurais l'air un peu moins con.
Je me demande s'il a aimé ces baisers...
Allez; un petit coup de législatives, de gueules cassées, un Kiri et c'est bon, je n'y penserai plus.
Bordel... ridicule, Jen.
Bande-son de l'état charnel de ce dimanche soir : My room, Marathonians.
Edit 1h18 : Je me marre toute seule comme une andouille, je ne peux pas m'empêcher de regarder cette vidéo avec un sourire niais et débile mais bon enfant tout en imaginant être à la place de Vic dans un sketch des Nuls, j'adore. (J'attends toujours le coup du walkman, m'en fous, avant mes trente ans j'aurai trouvé un minet qui me l'aura fait, ce n'est pas possible autrement !!!)
21:45 | Lien permanent | Commentaires (17)
vendredi, 08 juin 2007
Ambiance générale
14:35 | Lien permanent | Commentaires (10)
jeudi, 07 juin 2007
Touche finale, le titre : le rayon est parti
"Vous avez des dents magnifiques !" BIS
Je sais.
_ "Et le fait qu'elles soient transparentes devant, c'est grave ?"
_ "Non, au contraire, c'est joli. Aucune carence, rien, vos dents sont parfaites !"
(C'était bien la peine qu'il me répète que mes dents étaient bizarres, oui je parle de toi.)
Ce que j'aime bien après un détartrage, c'est jouer avec ma langue et la sentir glisser entre mes deux dents de devant, en bas, grisant. Jusqu'à blesser ma langue.
En passant rue Royale, j'ai vu les jeunes femmes qui travaillent chez L'Oréal discuter entre elles. Je me suis dit qu'elles n'avaient absolument pas l'allure que semble vouloir imposer la marque. Elles ressemblaient à des filles de province qui bossent au Crédit Municipal de Paris.
Les "belles" ne sortent pas de leur bureau, ce doit être ça.
Un mec m'a amusée : pour déposer ses tracts sur les voitures rue Cardinet sans être dérangé par la police, il avait crû bon de porter une veste vintage de contractuelle. Je crois bien qu'il croit bien de croire que ça marche. Il sifflotait.
Il fait trop lourd dans le métro. A se trouver mal. Le ciel est gris, la brume squatte. Ca fatigue, comme si mes yeux n'étaient pas encore réveillés, comme si les petites boules de caca jaune périmé de 9h étaient toujours dans chaque recoin. Mais non. Il est 15h36. Tiens, joli hasard, pile poil où j'écris cela, un rayon de soleil. Pourvu qu'il dure un peu.
Il faut que je travaille. Il faut.
15:35 | Lien permanent | Commentaires (15)
Lalalalala... et c'était bon, de les bai... lalalala
12:20 | Lien permanent | Commentaires (1)
mercredi, 06 juin 2007
Souhaits avant de mourir vierge et farouche
J'aimerais bien que le fils de l'un de mes épiciers (pas rue des Quatre Vents, l'autre) cesse de me bouffer les pupilles avec ses yeux de violeur. Ca devient lassant à la fin.
Et j'aimerais bien ne jamais le croiser seule dans une rue voisine la nuit.
Sinon j'aime toujours raconter ma vie devant des touristes moches au théâtre.
23:39 | Lien permanent | Commentaires (15)
Vous faites quoi, vous ?
Parce que nous, on en a marre de travailler avec ce temps.
Alors on a décidé de se mettre à l'heure antillaise...
Xav, on boit nos trucs coco pour toi ! (Mais il n'est pas impossible qu'on t'en garde pour un goûter bienheureux, je m'égare, pardon.)
17:35 | Lien permanent | Commentaires (32)