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jeudi, 03 mai 2007
14 avril
Cette date revient sans cesse dans ma vie, comme le prénom Antoine.
Un 14 avril, j'ai quitté l'homme que j'ai aimé jusqu'à la folie.
14 avril est le nom d'une chanson qui me lie au deuxième homme que j'ai aimé, cette fois-ci jusqu'au point de me dire que l'amour n'en valait pas la peine.
Un 14 avril, j'ai également soufflé sur des braises pour qu'elles prennent... et me brûlent.
Vivement demain !
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Dsfdsf
Suite à ma note précédente, j'emmerde :
* les altermondialistes ATTAC, coco and co
* l'UMP
* les socialistes
* les vieux cons
*les vieilles connes
* les pauvres
*les riches
*les provinciaux anti-parisiens riches
* les boutonneux
* les gros
* les pseudo fermiers de Vesoul ou d'ailleurs qui font du fromage bio dégeulasse et qui se ne s'épilent plus depuis 83
* les plus de 25 ans
* les moins de 25 ans
* les aficionados de Jen, la bobo
* les anti-Jen
Bref, la bonne moitié des commentaires m'a gonflé mais il y en a, faudrait leur apprendre à vivre. Ohé, je ne vous ai pas attendu pour penser par moi-même, laissez-moi un peu d'insouciance. Si je devais me prendre la tête pour tous les malheurs du monde et des défavorisés, je ne vis plus. Et là, j'enfonce le clou pour rendre dingue tous ces con(nes) masochistes qui continuent de me lire malgré leur ressentiment. Allez à la manif' pour voir si j'y suis...
* * *
Ca, c'est fait.
Sinon, revenons au blog bobo con pour bobos cons comme moi. Les Einstein et autres citoyens de mes deux, je vous conseille le blog de Ginisty, lui aussi il pourrait trinquer à ma place, merde (Christophe, si tu me lis, mes amitiés !).
Alors ce matin, j'étais chez Bensimon / Autour du monde pour la présentation de leur collection Printemps-Eté (pleins de choses super sympas, je me répète mais vraiment, Bensimon reste ma marque fétiche dès que le soleil donne à Paris). Je demande à un moment le catalogue à une nana, qui est en fin de compte la fille avec qui je communiquais par mail pour des visuels, bref pour le taf. Et là, elle me reconnaît, moi pas tout de suite. Et bien cette fille que je mailais depuis un mois est L., nous étions en seconde ensemble ! C'est vraiment drôle de la retrouver quasiment 8 ans plus tard, on se la joue dadame mais à part ça, rien n'a changé. Et vous savez le truc qui m'a fait supermégatroptroptrop plaisir ? Allez, vous me connaissez un peu, vous ne vous imaginez pas le genre de phrases toutes connes qui peut me flatter à un point...? ELLE TROUVE QUE JE N'AI PAS CHANGE !!! Tata Jen était enchantée de cette matinée : j'ai appris que mes rides n'existent presque que dans ma tête - presque malheureusement (ils me disent tous que j'en n'ai pas mais ils n'affrontent pas le miroir à minuit -; j'ai acheté un petit gri-gri trop chou kawaï qui je l'espère me portera chance dans ma quête de l'éternel(lement célibataire); j'ai bu une soupe aux épinards sans vomir, ce qui dans ma tête bouscule tous les neurones pour me faire croire au final que j'ai perdu 2 kg en une journée); L. m'a confirmé ce que je pensais depuis longtemps : les péteuses du collèges sont over ringardes dépassé 20 ans et les discrètes (= celles qui ne sont pas des filles faciles) deviennent mieux que ces pétasses du collège lycée.
Bon, c'est vrai qu'elle m'a rappellé les fringues babos de mes 16 ans, mon look grungy, dixit L. En fait, je suis contente d'être passée par pleins de looks différents, je ne sais pas comment une nana peut garder le même style toute sa vie, c'est morose, non ?
En tout cas, ça m'a fait super plaisir de la revoir. Bon, je pourrais vous raconter la suite mais ça vous intéressera encore moins puisque ça concerne des gens que je fréquentais au lycée. Là, toutes les sales langues des commentaires précédents diraient : "de toute façon, tout est creux sur ton blog !". Bah ouais, alors si quelques uns d'entre eux sont encore là, je vous le dis pour la dernière fois :
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Bêtises estivales
Sens en éveil.
Cocon sous haute tension.
Grosse chaleur.
Mâchoire en demande.
Je vous le dis, ça sent l'été chez moi !...
Bande son : Window licker, Aphex Twin.
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Le silence est d'or... parfois.
Ni pomme ni langues de chat, juste quelques pensées que je noierai dans des sourires. Ras le bol du doute. Ne pas me laisser polluer. Ne pas s'enfermer, m'enfermer. Tant pis si je suis la seule à rester devant ce putain de thé. "Reste cool". Elle a raison, il a raison. Reste sage, Jen, ne reste pas centrée sur toi, donne le temps aux autres, laisse-les fuir dans leur silence, tu n'es pas la seule sauvage du coin, tu sais. Très bien. Pigé. Forme déjà un noyau solide autour de toi et après tu comprendras. Pour obtenir un noyau, faut peut-être un minimum d'échange, non ? Oui et non, arrête de penser qu'à ta gueule. Ouais mais ma gueule, comme tu dis, elle est pas si étanche, et moi, l'eau salée, ça me déshydrate.Dans ce cas-là, protège-toi ! J'essaie, j'essaie.
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Faites pas chier, détendez-vous un peu
Bordel, arrêtez de faire la gueule, merde ! La vie est géniiiiaaaaale ! Mais si, bordel, je vous jure, suffit de voir la vie comme une cour de récré, je vous jure ça marche ! Arrêtez de faire la geule (je parle au 4/5 potes à qui j'ai donné des lapins), pas le temps de faire la gueule merde ! C'est bon, on a de quoi bouffer, boire sympa, fumer sympa, sniffer/baiser/buller/travailler sympa aussi alors merde, quoi, profite putain ! Qu'est-ce que tu vas te faire chier avec maudire la terre entière, ton mec, ta mère sais pas mais putain, ce sont des conneries, faut juste se lever et vivre un peu comme un crevard façon Un Monde sans pitié : au jour le jour, putain !
Bon alors maintenant arrête de penser à demain, vis ce putain de présent et on se voit bientôt, ok ? Bon et arrêtez de faire la gueule, merde, on se verra une autre fois, c'est PAS grave.
Sur ce, tu lèves tes bras, tu fais comme si t'étais un beau black hyper cool d'un clip MTV et tu bouges tes épaules, ton cou bref t'es une girafe défoncée et c'est cool, c'est comme quand t'étais jeune !
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Le sommeil est d'or...
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Sagesse d'une nuit
Décrocher des pixels pour trouver fraîcheur dans la nuit accompagnée.
Retrouver son lit pour dormir seule.
On peut être au chaud sans bras qu'on regretterait de sentir avant même de les avoir désirer.
L'étonnement n'est pas toujours là où on l'attend.
J'entrevois la lumière, j'attends le petit jour pour ouvrir les yeux.
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Pas de titre.
Grande dispute avec quelqu'un que j'aime.
Ils ont raison, je vais finir comme une merde.
J'y arrive pas, finalement.
Trop de merdes d'un coup.
Seule solution pour sortir la tête de l'eau : je ne la connais pas.
Parfois on aimerait disparaître. Où, je l'ignore mais disparaître.
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Vox populi, vox Dei
Le blog rend megalo
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5:59 am
Morning Yearning...
Mon état du moment m'évoque les soirées d'il y a à peine 3 ans. Où j'enchaînais les nuits blanches,éveillée par des merdes. Là, suis pareille. Avec la moitié des merdes dans le sang. Sauf qu'avant, j'avancais dans la nuit en redoutant le lever du jour. Là, suis à deux doigts d'enfiler jogging et baskets pour aller courir. Mais faut pas déconner. Avant, j'aurais psychoté. Là, non. J'apprécie ces minutes qui passent lentement. Le rythme change. Ponctuellement, ça apaise. Mais j'avoue, les potes d'antan, les crevards, les losers me manquent. C'était cool de voir le soleil se lever sur le pont des Arts, frigorifiée mais heureuse d'être en compagnie d'êtres qui ont cette même angoisse de grandir. Les taz, c'est fini. J'ai eu ma dose, c'est le cas de le dire...
Mais quand on vieillit, les sensations de proximité évoluent, certaines me manquent. Mais je ne retournerais pour rien au monde dans la boue dans laquelle je m'enlisais. Mais quand même, malgré tout cette merde, on partageait des moments aériens, tranquilles, on ne pensait pas au lendemain, seule la complicité comptait. Normal, cette came a le pouvoir de vous rendre humain. Enfin je dis ça, mais ce n'était que du vent, une complicité de pacotille basée sur du vent. Mais quand même...
Je ne regrette pas d'avoir connu ces moments-là. Ils m'ont permis de voir d'autres choses, de prendre certaines personnes sous un autre angle. Pourtant, maintenant, j'ai tendance à mépriser ces loques. Logique. Quand on a connu les revers de la médaille en poudre...
Je me suis relue. Ce n'est pas malin de publier cette note. Je vais pourtant le faire. Quelle connerie ! J'en suis plus à une près.
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