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jeudi, 03 mai 2007
C'est quand tout est foireux qu'il faut penser à Garcimore
Quand il me dit qu'il nous suffit d'être bonne quand eux il leur faut être successful, je me demande pourquoi il refuse d'admettre qu'il n'est attiré que par les connasses vénales.
Quand elle me dit que sa rédac' chef choisit d'embaucher une noire parce qu'"on n'a pas de noire au bureau" et que ça fait cool et que c'est bon pour l'image du magazine, je rigole lorsque Zahia en profite pour moyenner un entretien.
Quand j'apprends que Direct 8 fait plus d'audience que BFM et iTELE, je préfère rebondir sur les seins de Ninie, devenus énoooormes.
Quand j'entends cette chanson, je repense à cet extrait noté il y a longtemps : 1er paragraphe page 148 en Folio L'amour dure trois ans.
Quand je rentre après un dîner entre copines, je me dis que l'horoscope c'est trop de la merde.
Quand je ne sais plus quoi savoir, je pense à Garcimore et alors je me dis que les lapins sont heureux.
J'aimerais bien être un lapin et affiner mes dents sur des carottes volés aux ânes.
Je dis n'importe quoi, la vérité c'est que j'ai peur de devenir insensible.
Ce qui me fait encore plus peur c'est que j'écris cette note en écoutant si je reste d'élodie frégé.
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Mon ego va craqué
La came, la paranoïa, l'aigreur, la mégalomanie ? Arrêtez d'utiliser le mot targeter à tout va, bande de nulles !!! Faites comme miss Pink ou Café Mode, elles ont leurs mots, leur ton, leur style, faites-en de même ou virez-moi de vos blogroll, bordel. Vous me dégoûtez, mecs nanas, j'en peux plus de vous croiser, de vous lire, et quand j'ai l'impression de me relire, là ça m'insupporte à un point ! Alors oui, traitez-moi de mégalo, de sale conne péteuse, je m'en fous à un point, jamais on ne sera du même monde , tout simplement parce que je vous méprise, tous autant que vous êtes, vous n'êtes bons qu'à donner aux... aux je ne sais pas quoi tellement vous êtes petits et ridicules, imprégnez-vous d'autres plumes que la mienne.
Rage nerfs montée angoisse limite souffle asphyxie coups echo lourd poids trou fond abysse bleu noir air secondes anesthésie serré trop help extrêmes devant
deux dernières lignes rédigées au souffle d'Arthur H, Lily Dane.
Texte profondément sincère. A moitié seulement. Les larmes restent esclaves, j'étouffe.
(edit 3 mai 2007 : putain matez la faute du titre, v'là la honte bordel)
21:35 | Lien permanent | Commentaires (3)
fgdgdf
Allez, on tourne la page, on arrête de se lamenter comme une idiote et on reprend son blog en main.
Plus solide, tu meurs !
Je rentre de courses entre rue de Rennes et St Sulpice et ben je ne sais pas chez vous mais ici, c'est le Nebraska ! Nez qui coule, toux de cancéreuse, yeux cernés, mains gerçées et on ne parle pas des orteils congelés dans les Converse... Toujours la crève, toujours au miel, Strepsils et au Fervex, toujours une montagne de mouchoirs usagés sur le bureau et toujours ces indécrottables ouvriers qui me forcent à mettre "A chaque seconde" de Sinclair (je me répète mais les filles, avec ce temps maussade, ça rayonne un peu l'espace, je vous jure) à volume maximum (en même temps, j'ai les oreilles bouchées depuis mon retour de Madrid). En revanche, je crois que je vais bientôt vous sortir une playlist déprime, hiver oblige (genre). Non parce que là, je crois que je la maîtrise plutôt bien. Mais on positive et on reste sur Sinclair.
Je ne sais plus ce que je voulais dire... Rien, je crois. Juste tenter de faire illusion mais je peux vous prendre pour des cons tout le temps, parfois je n'ai même pas envie de duper. Allez. Voici quelques photos qui résument mon séjour à Madrid, je resterai sur ces jolis moments.
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Jess
Après la note éclair, je vosu remets juste la musique qui l'accompagnait. Elle tourne en boucle depuis 45 minutes, moi j'aime, sous le charme de cette voix, des paroles niaises et du son, j'aime j'aime j'aime. Pour la note, c'était nul, je parlais juste de La Poste, de l'odeur du pressing, du docteur sur le boulevard, de tuer le père et des files sans attente (ou des filles qui ne doivent rien attendre des hommes au guichet, sais plus).
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J'attends la fin du mois avec impatience, c'est trop long
C'est consternant mais certaines personnes ne sont finalement heureuses que dans le malheur qu'elles se fabriquent. Oui, c'est bien moi qui dis cela.
Si c'est une cystite interstitielle comme tu le dis, je n'aurais jamais dû regarder les conséquences cancéreuses sur Wikipédia. La malade imaginaire. Ou pas.
Je comprends pourquoi Angelina Jolie veut plein d'enfants. Ce serait long et tout sauf crédible de vous expliquer pourquoi.
Evidemment, Kaiser Sozé saura ce qui m'inspire de telles idées... (Etonnant ce clip, tellement ça, glurp !) on veut finalement s'entourer d'enfants quand on est encore qu'une enfant soi-même qui attend des camarades à sa hauteur. Oui, c'est absurde et mal dit. Mais je me comprends, c'est le principal.
C'est idiot, bobo, contre mon désir mais j'envisage de prendre rendez-vous avec un psy, comme ça. Par curiosité. Juste pour savoir si ma peur de me réaliser est bien celle que je crois. Deux secondes et je viens de changer d'avis. La trouille que ce con de psy me brise au lieu de raccomoder ce que je pense sans doute à tort être ma force. On verra tout ça demain, comme d'habitude.
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Jen à rebondissements
Stage de remise en forme pendant deux jours. Mission accomplie. Ce connard aime encore son ex, qu'il lui fasse un troisième nain et qu'il arrête de me prendre pour la gentille conne à qui on peut éternellement pomper de l'énergie. Ce mec est une ordure finie, je viens enfin d'ouvrir les yeux. Il doit m'appeler Lassie dans son esprit. La bonne petite Jen, amoureuse pour la vie, la bonne petite Jen qui sera toujours là pour "porter" monsieur, la bonne petite Jen qui sera toujours le second choix... VA TE FAIRE FOUTRE, ESPECE D'ENCULÉ DE MANIPULATEUR DE MERDE !!! Trahie, déçue, trompée. Un mec qui n'est pas disponible dans sa tête ne devrait jamais endormir une idiote dans mon genre. C'est bon, fini, je le raye de la carte, mon ego s'est pris une claque monstrueuse mais la rage de s'être fait avoir est plus forte. Alors je vous préviens, si je constate que mon prochain mec me fait marcher, celui-là, je le crève.
Sur ce, je m'en vais remplir des devoirs administratifs... Sous la pluie, gé-nial.
Je me sens de nouveau forte, ce menteur n'aura pas eu ma peau. Dommage pour lui, son esprit sadique mytho aurait sans doute adoré.
PS : Gillou, j'ai eu ton message trop tard, une prochaine fois avec plaisir... Quant aux autres, je réponds bientôt à vos mails, désolée.
Ah et puisqu'on y est, vous savez quoi , Son ex m'avait mailée pendant mon séjour à Madrid pour, en gros, me dire qu'elle approuvait ma relation avec son ex. Ok, moi bonne poire forever, je lui réponds un truc sympa. Sur ce, elle me dit qu'elle n'a plus aucun sentiment pour lui et qu'elle ne lira plus mon blog, qu'elle nous laissera construire notre histoire. Ok. Sauf que quand l'andalou et moi avons rompu, je lui ai avoué que son ex et moi avions échangé quelques mails. Sur ce, il l'appelle et que dit-elle, je vous le donne en mille : madame n'a pas "exactement dit qu'elle n'avait plus sentiments pour lui". J'adore. J'adore aussi quand, une fois la rupture déclarée, l'andalou me demande de ne pas m'acharner sur son ex, le tout avec de la cruauté dans le regard.De l'art de manipuler les gens... Merci à eux deux. Jen bouffon du roi et de sa reine. FI-NI.
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I love nerds !
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Ma gueule en pensant à toi à 18h14
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Je veux être la reine de ma promo !
Dernièrement, j'ai remarqué une nouvelle tendance : l'anniversaire de blog. C'est nul. Bidon. Ca pue le bourgeois du VIIème. Mais comme je suis "un peu bobo", j'avoue, j'assume (un peu), MRG aura 1 an le 18 mai prochain. Vieille ou pas, je veux être la blogueuse chouchou !!!
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"LA PASSION ENTRE 2 PERSONNES EST TOUJOURS CHRONOPHAGE."
Je viens de recevoir un mail. D'un inconnu. Un texte traitant de vous deux, nous deux, eux deux.
Etrange de recevoir ces citations, ces perceptions si juste de l'amour aujourd'hui même.
Merci à l'inconnu, le mot respect est bien ce que je voulais lire pour finir de croire que j'avais peut-être tort.
Quant au reste, j'aimerais connaître la cécité sans souffrir, à explorer.
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