Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« 2007-04 | Page d'accueil | 2007-06 »

samedi, 05 mai 2007

J'aime toujours

Et quand j'aime toujours, je n'écoute qu'à moitié tout et tout le monde.

Un coeur brisé en hiver, ses miettes aux pigeons en été. Qui sont les pigeons ? Bonne question.

J'aime J'aime J'aime 

Personne ne voudrait l'appeler à ma place ? Juste pour éviter l'humiliation et la déception en cas de "maman est sous la douche" !"

J'aime plus J'aime plus J'aime plus

Je sais plus, mais ce n'est pas grave.

Ce qui est grave, c'est le pigeon.

Moi boire juste petit lait. 

 

vendredi, 04 mai 2007

Dis-moi tout

Je viens de me faire tirer les cartes.

Je pourrais dire troublant mais je passerais pour une vieille naïve. Alors je ne dirai rien.
Mais troublant.
Faut que je m'y fasse, ça me poursuit jusque dans les cartes... comme quoi, je ne suis pas parano (m'en fous si vous prenez tout ça pour du baratin).

La prochaine fois, penser à me faire tirer les cartes pendant mes lunaisons.

Sale conne. Putain de destin. 

jeudi, 03 mai 2007

Je ne suis pas morte ! juste nue.

C'est con mais ça fait du bien.

Je me sens effectivement débarrassée d'un poids. Le poids des mots, pas des conneries.

Je vous laisse, il est bientôt 16h ici et le pain chaud m'appelle ! 

(Si toi rien comprendre toi aller ici

Save

Vous en faites quoi, des notes que vous décidez finalement de ne pas publier après relecture ?

Vous les supprimez ou les gardez en brouillon ?

Je devrais ouvrir un blog anonyme où l'on pourrait publier ses brouillons inavouables. C'est con, en fait, comme idée. Enfin pas tant que ça mais un peu quand même. Enfin non, pas si con. Enfin bref tout ça pour dire que j'entasse les brouillons depuis un bail, il serait temps de les supprimer ou de les publier. 

 

bande son : The Streets (putain que c'est bon) 

Evidemment

Il paraît que toi aussi, tu aimes

Il paraît que toi aussi tu écoutes cette merde

Il paraît que toi aussi tu parles de l'Autre fille

Il paraît que toi aussi tu doutes

Il paraît que toi aussi tu sais

Il paraît que toi aussi tu sais

Il paraît que toi aussi tu sais

Il paraît que la page se tourne plus vite que prévu

Il paraît qu'après la nuit vient la mort

Il paraît que la vie sans lui est plus...

Il paraît que la nuit je devrais éviter de lui répondre

Il paraît que l'oubli est catégorique

Il paraît que la neige ne me verra pas faire des rondes

Il paraît qu'on se manque

Il paraît que jamais deux sans trois

Il paraît que trois c'est trop

Il paraît que tu devrais le reprendre

Il paraît que tu devrais m'oublier

Il paraît que lui aussi devrait m'oublier

Il paraît que je suis mieux sans vous deux

Il paraît que je m'en moque, de toi, de lui

Paraît que je suis naïve

Mais non. 

 

 

 

Saturday night feignasse

J'irais bien voir Cashback.

Thierry Lhermitte est l'homme parfait.

Il faut que je lance un post "avis de recherche" pour que cet Olivier arrive jusqu'ici.

En même temps, il est blond.

C'est fou, paraît que ce mec est l'homme de ma vie et il vit à deux rues de chez moi, en face du Luxembourg ! Donc on va peut-être éviter le racisme capillaire pour le moment. A voir.

Faut que je vous fasse écouter mes dernières pépites.

Je chantonne dans la rue, même sous la pluie sans veste. J'ai une chanson dans la tête en ce moment, elle part difficilement ; dès que je l'entends une fois, hop ! je l'ai aussitôt en tête pour deux bonnes heures minimum. Enfin bref, je chantonne. Quand je m'en suis rendue compte, j'ai pensé à Valérie Lemercier, sais pas pourquoi.

J'ai fait la morte lorsque le mec du recensement est passé. 

C'était cool de vivre à deux la semaine dernière. J'ai vraiment été déraisonnable mais qu'est-ce qu'on s'est marrées... 

Je parle souvent la nuit, pas vous ? Longtemps, j'ai insulté quelqu'un en dormant, avec violence, enfin c'est ce que dit ma mère. Maintenant, je crois que je parle normalement. Tout va bien, alors ?!! Mais lorsque j'ai su que ma mère me posait des questions et que j'y répondais, le tout en dormant, comme une grosse vague de paranoïa m'a traversée. Du coup, j'ai toujours eu peur, en dormant avec un mec, de parler d'un autre 

 

 

Parenthèse "On s'en fout"

Dommage. L'autre troll (hier c'était 83.195.26.75) se fait passer pour certains blogueurs dans les commentaires donc je vais les effacer. Ce serait bien que les gens qui s'ennuient autant dans la vie ne se branlent pas autant devant leur ordi. C'est ainsi.

Oh puis non, je laisse. Ceux qui veulent que leurs commentaires soient supprimés car ils n'en sont pas l'auteur, mailez-moi et je les effacerai. 

Nouveau départ

Je suis comme les sales gamins : j'apprends de mes grosses conneries. 

Après avoir joué de diverses ruses pour tenter le diable, après avoir laissé ma peur et ma paresse me dévorer, après avoir oui puis non trop facilement, j'ai reçu la claque que je méritais. Que je désirais, au fond.

J'ai compris. Je me suis brûlée les doigts mais pas les ailes. Maintenant, je suis prête. J'accepte de grandir. J'accepte la puissance de mes émotions et je les gèrerai pour ne plus avoir à souffrir et à gâcher les moments de bonheur qui s'offrent à moi. Je décide de prendre ma vie en main, enfin. Je relève la tête, je sors de la facilité tant adorée des faibles. Je souris et je cesse de ne voir que les parties sombres de mes expériences passées. 

Je ferai de ma vie un beau recueil de souvenirs. Ne plus jamais avoir de regrets. Aussi doux peuvent-ils être, les regrets ne sont que rires jaunes et cynisme de pacotille lorsque je regarde les miens en face. Fini l'angoisse de tout, ma vie ne sera qu'un enchantement perpétuel sous conditions : patience, désir, acceptation de soi. Je ne veux plus fuir. 

Attention, je ne suis pas dingue, je me connais assez pour savoir qu'il y aura toujours des périodes de doute intense dans ma vie, mais je saurai en sortir le meilleur.

La vie n'est faite que de rencontres qui peuvent, si on comprend 

Bof bof

Me fait chier, l'andalou. J'aime pas les fantômes, servent qu'à vous faire flipper la nuit.

J'ai envie d'un homme qui ait besoin de moi.

Putain, je crois que j'arriverai jamais à satisfaire un mec.

Et tous les potes qui te diesent "Patience", ras le cul de la patience. Ras le cul de sortir avec un fantôme. Ras le cul d'attendre.

Il veut une amourette. Finalement, je veux plus.

Typiquement féminin de se projetter.

Typiquement masculin d'étouffer.

Faut que j'arrive à me mettre dans la tête que son silence, son absence ne sont que temporaires.

Pourtant, une petite voix au fond de moi me dit qu'un homme capable de faire le mort des jours durant, qu'un homme me demandant de vivre notre rencontre comme une amourette, cet homme-là, il ne m'aime pas.

Alors je vous venir avec vos gros sabots, "tu comprends rien aux mecs".

J'ai pigé nos différences mais je les vis toujours aussi mal, au fil des rencontres, à un moment, il y a un truc qui ne passe pas.

Et là, son silence, ça ne apsse pas. Comment construire quelque chose si, en cas de crise, c'est chacun sa merde.

Il m'a dit une chose qui m'a travaillée : "on partage le meilleur, pas le pire."

Franchement, c'est comme me dire "toi, poupée, t'es là quand je vais bien, que j'ai envie de prendre du bon temps sinon, tu dégages. Suis comme ça, tu ne me changeras pas : tu subis mon silence ou tu fuis."

Sais pas, sais plus. Je ne le reconnais plus.

Quand on aime quelqu'un, on lui fait subir des choses même si on sait que ça fait souffrir l'autre ?

 

fdsf

Putain de fête de la musique ! Tous les ans, cette merde de fanfare qui s'installe en bas de chez moi pour jouer Johnny, c'est l'horreur. Charmant la première heure, l'impression d'être au milieu d'un bal en province mais alors après, à l'aide... Tous ces bourrins, ça me file des boutons. Ils viennent envahier ma rue à moi, ma douce petite rue si calme et paisible d'habitude. J'aurais préféré mon joueur de saxo.

Merci Drine, bien reçu, bien écouté, que du bonheur !

Je voulais aussi savoir si quelqu'un connaissait le mec de Buzz Paradise que j'ai giflé hier soir, s'il a un blog, merci de me le dire. Il ressemblait à Stéphane Guillon, voyez... j'adore. Si tu me lis, excuse-moi. Mais elle n'était pas très forte, hein ?... ;)