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mercredi, 09 mai 2007
Let me sing you a waltz
Je me fous d'avoir été la seule à aimer deux trois chansons sur l'album de Julie Delpy, je me moque de savoir que vous détestez Before Sunrise/Sunset mais je veux voir la suite, que ça emmerde ou non alors demandez à Julie et Ethan de continuer à me faire rêver, qu'ils me laissent entendre déraison et croire au coup de foudre, encore.
Je veux entendre l'été résonner sur mes tomettes. Avec ses mots, ses sourires, ses timidités, ses mains dans mes cheveux, ses dents imparfaites, ses rires épanouis, ses yeux qui parlent, me parlent et font oublier la seconde qui me nous sépare de la mort.
01:00 | Lien permanent | Commentaires (6)
lundi, 07 mai 2007
RESTE AVEC MOI
Bordel quelle galère... et moi qui suis à des milliers de kilomètres de toi... attends-moi, où que tu ailles. Putain de bordel de merde, fait chier !!!
16h47 : le mystère de la fenêtre... ;))
Je me marre parce que je te vois, je vois très bien le portrait, te connais... je t'embrasse, à très vite.
22:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
La prunelle de mes yeux
15h09 ici et un ciel gris depuis ce matin. Normal.
J'aime bien ce mec, avec qui j'échange des mails. On se ressemble un peu, je crois bien. Dingue, il y aurait encore des blogueurs chez qui je prends plaisir à lire les archives !
Je rentre finalement le 19 mai, c'est mieux.
Mes cheveux et ma peau sont d'une douceur, ici... je m'aime.
Si un mec est dans les pages jaunes, c'est juste l'une des conséquences de son manque d'organisation ? Ou bien cela peut-il être une manière de dire "au cas où tu voudrais me revoir..." ?
Pas envie de travailler. Pas envie mais faudra bien.
Appeler cet ami de mon père qui demande sans cesse de mes nouvelles. Appeler et profiter de son poste de directeur dans un canard à gros tirage pour gagner quelques piges chez ...
Je me suis tartinée de boue d'algues, transformée en robot puis en figurant d'un clip de Daft Punk et j'aime bien. J'aime bien le bruit que font les mètres de papier film qui enrobent les parties les plus grasses de mon corps ; à chacun de mes pas, je sonne un peu comme "pffsssioufff pffssiouffsss", ça m'amuse.
PS : Toujours pareil, titre sans aucun rapport avec la note. Juste qu'aujourd'hui, maintenant, je trouve joli les sons qui sortent de ma bouche en prononçant "la prunelle de mes yeux". Langoureux, chaud et juvénile à la fois.
21:20 | Lien permanent | Commentaires (8)
D.A.N.C.E.
Bon allez, on laisse les merdes d'hier... à hier et on prend le soleil, on fait semblant de taffer pour duper le D.A. et les collègues, on se met des crânes comme des ados avec ses potes après le boulot, on drague tout ce qui bouge, on mate tout ce qui bouge ou grandit, on baise on fume on crâne on t'emmerde on nique tous les cons nous les premiers et vas-y que l'été approche et que j'ai envie d'un grand bordel : ex, futurs, flirts, amour (sait-on jamais), taff un peu, came un peu beaucoup on verra en fonction, copines, vanité à sa "mastergaule", ça sent la liberté utile !
En boucle ces derniers temps :
05:05 | Lien permanent | Commentaires (9)
dimanche, 06 mai 2007
M'étonneront toujours...
... tous ces militants, en joie ou en pleurs. A croire qu'ils ne vivent rien de fort dans leur vie privée.
En même temps, à part mes aventures sentimentales et les ruptures qui les succèdent, je ne vis rien de fort non plus. Et encore, ce n'est fort que pour moi !
Hmmm, drôlement envie de parler aujourd'hui, moi.
21:20 | Lien permanent | Commentaires (23)
Qui voudra verra
Son discours est bon. Le bout de gras lambda a envie d'y croire.
Mais le bout de gras n'attend plus le Messie, si ?
En revanche, à un moment du discours, j'ai comme été terrifiée (lorsqu'il dit qu'il veut changer tout, la morale, l'identité nationale etc).
Bon, nous verrons bien.
Je rigole quand même en pensant au bout de gras qui pense que le Messie s'appelle Nicolas.
Ils me font peur tous ces gens qui chantent la Marseillaise.
J'ai jamais trop aimé les mouvements de foule.
On verra bien, il n'y a rien d'autre à dire.
Mais j'ai aimé sur iTELE la remarque sur le fait que dans les années à venir, ils garderont cette impartialité journalistique, qu'ils y tiennent plus que tout...
20:46 | Lien permanent | Commentaires (7)
Ben merde...
C'est con, je connaissais déjà le nom du gagnant mais voir la gueule de l'autre s'afficher en grand sur mon écran, ça m'a filé la chair de poule sur tout le côté gauche du corps. Là encore, mes poils sont hérissés.
C'est con, très con et pas mon genre mais j'ai presque la larme à l'oeil, alors que sincèrement, j'y crois pas. Mais j'aimerais y croire, "aux victoires futures" de la Gauche.
Et pendant ce temps-là, une gamine de 14 ans demande à sa mère qui est Didier Barbelivien...
J'applaudis le score de Ségolène, borsalino bas. Snif. (putain ce que je peux être lunatique)
20:05 | Lien permanent | Commentaires (6)
Quand je rentre, il me faut un boy d'urgence : hormones en folie (peut-être à cause de l'arrêt de la pilule)
En tombant sur la note du très séduisant Charles Nouÿrit (mais si, voyons, suis pas la seule, ok sur la photo il est bof mais en vrai, il a de la gueule, surtout son sourire... ok je me calme, je mets la clim on), j'ai constaté que je ne vous en avais pas parlé... Franchement, pendant le débat Sarko/Ségo, vous aussi, vous avez bien grillé des gênes du côté de Royal. Elle portait une oreillette, j'en suis persuadée. On a beau me dire non...
Sinon, pour votre info et vos doutes, non je ne suis pas pro-Sarko, et effectivement, je n'aime pas Ségolène. Elle ne m'inspire rien de bon. Rien de bon pour la santé de mon porte-monnaie. (vous en pensez quoi du doc ci contre ? ) Sarkozy, lui, surtout, il ne m'inspire rien de bon pour tout le reste. Enfin bon, au final, suis une merde, je vote pas. Moi, j'aurais aimé Dominique le roi du slip comme président, lui et personne d'autre.
La nulle vous laisse, la nulle préfère la guimauve attitude, la tropicalisation bref je vais à la plage griller le peu de neurones encore en activité.
PS : Je confirme, il n'y a aucun rapport entre le titre et le billet. Quoique... La politique, c'est toujours assez excitant si on la regarde à travers les yeux d'une astrologue. Ok, je file ! Bonne soirée, mes amours !
16:45 | Lien permanent | Commentaires (3)
Bordel...
Je rentre le jour où on célèbrera (je hais ce terme et pourtant je l'emploie, c'est comme le gynéco) la mort de Ian Curtis.
27 ans sans Ian Curtis + les 2 ans de mon blog, ça fait un peu beaucoup de merdes, je trouve.
Mon futur beau-père n'est-il pas mort foudroyé sur le toit de sa maison de vacances à Bordeaux un 18 mai ?
Sinon... j'ai du taff et je préfère passer du temps sur Youtube à élaborer un plan souvenirs & construction de mail : la nuit sera longue.
Rien à voir : j'adorais Superloustic, je passais des heures au bain avec mes barbie à écouter les génériques de mes dessins animés préférés.
Je vous avais dit, rien à voir. Mais comme plein de souvenirs reviennent, j'en profite pour les noter avant de les oublier. Ca peut toujours servir de savoir que j'aimais Superloustic et que je crânais en colle en soupirant pour attirer l'attention de Victor. Si, si.
03:20 | Lien permanent | Commentaires (8)
You get what you give
En ce moment, il y a des trucs (que je pensais) effacés de ma mémoire qui me reviennent. La mémoire et tous ces petits tiroirs dans notre cerveau, vraiment étonnant...
J'avais 19 ans je crois, on l'écoutait en boucle, on adorait. Et ne me demandez pas pourquoi (enfin si, j'ai ma petite idée du pourquoi, l'inconscient rencontre le conscient et hop, tu retrouves la mémoire), en cherchant - vainement - un clip de Mud sur youtube (et là, je pensais à FFF avant), j'ai repensé à un titre, ce titre, qui me rappelle les beaux jours, ces journées chaudes et ensoleillées deux mois avant le bac où on se posait sur ce petit pont du canal st Martin l'après-midi, les journées de colle le samedi où tout le monde faisait semblant de réviser et où chacun d'entre nous s'appliquait à démontrer par de multiples signes extérieurs de connerie qu'il était saoulé d'être là, le cul sur cette chaise, ça faisait cool de montrer qu'on était saoulé. Je me demande si j'ai beaucoup changé d'ailleurs. Il faisait chaud, le bac nous paraissait comme une île déserte infestée de mygales savantes, nous étions tous des sous-doués sans ambition de changer le monde, encore moins HEC. Parmi ces sous-doués, il y avait Lui, Valérie, Aurélie, Séraphin, Marine, autre Lui et moi. Et Victor, Ah Victor !... Et Antoine aussi, un ancien Lui, mais il était convenu qu'il ne m'adresse plus la parole ni la moindre caresse. Quand je n'aime plus (l'ai-je aimé ? Oui, je crois. Notre premier baiser au coin de la rue Dieu est gravé dans mon coeur et ma putain de mémoire, le rythme de mon coeur à ce moment précis résonne encore dans mes tempes. Je crois que je l'ai méprisé quinze jours plus tard de la même force qu'il m'a fallu de courage et d'alcool pour oser m'enfermer avec lui dans cette salle de bains... finalement même pas fermée à clef. Enfin bref, revenons un an plus tard...) Il faisait donc chaud, je rentrais de Guadeloupe où j'avais révisé un peu pendant les vacances de Pâques, je retrouvais le seul mec qui m'ait appelé chaton sans que je fasse la gueule. C'était le paradis, on prétendait se foutre du bac, tous, et ça semblait nous convenir. Ca nous convenait mais on avait quand même tous des éruptions d'acnée violentes et des teints gris qui sous-tendaient des nuits angoissées, seuls, à se demander comment l'on vivrait un échec au bac si tous les potes le réussissaient. Pourquoi je vous raconte tout ça ? A cette époque, lui et moi, on adorait ce titre :
PS perso bis : j'aimerais bien savoir ce qu'est devenue miss Bat..., que j'aie également ignoré du jour au lendemain. Ca sent l'été, comme dirait Mademoiselle K !
00:55 | Lien permanent | Commentaires (5)