Made in Rive droite

Toi, la connasse québécoise (cherchez l'erreur) qui me harcèle pour ton putain de recensement de merde : LÂCHE-MOI !!!

 

C'est dingue, trois fois qu'elle me poursuit jusque chez moi (en plus de ses putains de rappels dans la boîte aux lettres) et ce matin, je sors de chez moi, même pas le temps de fermer la porte, avec mon bazar mes sacs poubelles et tout, elle commence à repleurer son peech et je dis "Ecoutez, je suis désolée, je n'ai pas le temps (avec un air et un ton vraiment fatigués), mon père est à l'hôpital" et pas le temps de finir mes mensonges crédibles, elle me coupe la parole pour dire "oui mais la date limite est jeudi". Je rêve. ALORS VA TE FAIRE FOUTRE SALE CONNE !!!

 

Si encore la mairie du Vieme n'était pas un nid de grosses feignasses, j'aurais peut-être fait un effort pour lui ramener sa fiche de merde mais là, no way.

 

Bon ok, j'ai menti mais si cela avait été vrai, je crois que je l'aurais encastrée dans le mur en face de ma porte.

 

SALE CONNE !!! 

 

PS : Ennemis voisins, vous ne l'avez pas eu cette grosse relou canadienne ?  

Jérôme Attal est-il l'un de ces garçons tristes à avoir une table de chevet dans sa chambre, si toutefois il dort dans une chambre ?

Agréable de retourner le lire, j'avais oublié les sourires en coin et les vagues à l'âme par là-bas. Beaucoup aimé le texte du 14.

 

Demain sans autre fil conducteur que l'inconnu, il ne faut pas reprendre certaines mauvaises habitudes (l'instint de sursis).

 

 

 

J'aime. 

Sinon, j'aime beaucoup les gros chiens plissés qui traînent leurs pattes et leurs oreilles comme des malheureux.

 

 

Décidément, c'est la journée des souvenirs.

Oui, je devrais dormir. J'avais dit ça. Mais c'est toujours une fois dans le lit que vous n'avez plus autant sommeil.

J'avais froid et faim. Alors je me suis enfilée une petite purée de brocolis au lit comme une vieille et j'ai ressorti le portable pour surfer from the couette, à l'ancienne ! Et là, c'est juste énorme de relire les blogs que j'avais rangés dans une catégorie "chouchous" sur cet ordi : je retrouve David avec qui on s'était bien marrés tard le soir il y a déjà plus d'un an. Puis je suis surprise, de voir certains blogs dans la liste qui se déroule sous mes yeux : aujourd'hui, il y en a certains que je ne peux pas blairer et je les retrouve pourtant dans les favoris, mémoire courte la vieille (enfin vieille jeune, je préfère).

Bref, ça m'amuse de réutiliser la nuit ce portable sur lequel j'ai tapé quelques commentaires bienheureux ici et là. Et je repense à certaines nuits où je commentais sur boboparisienne avec quelques personnes qui me troublaient, par leur humour, leurs goûts parfois très proches des miens, leur vision des jours qui se ressemblent, et toutes ces filles qui furent d'un grand secours les soirs de déprime. Non pas que les mecs ne m'aient pas fait sourire mais parfois, un mec, ne trouvera jamais les mots justes comme une nana sait le faire. Mouais, sans doute sexiste ma pensée mais sincère. Entre nous, demain, je peux penser le contraire. Mais là on est maintenant tout de suite et bref on s'en fout.

Tout ça pour dire quoi ? Bah juste que je suis super bien au fond de mon lit, le pc me réchauffant les cuisses, Taddéï devant, la sono de la fête d'en bas qui vibre sous mon lit, il est minuit pile, je suis bien.

Amusant. En à peine trente minutes, j'ai survolé dix ans de ma vie. Il a suffi d'entendre un titre de Weezer pour que mon esprit fasse quelques bonds en arrière, en 1995 je crois, et réécouter l'un de mes groupes chouchous de cette époque, The Rentals. Où est ma vieille cassette ? J'ai alors allumé la lumière de l'entrée pour fouiner dans l'une des fameuses boîtes en carton... Tellement drôle de relire les lettres des anciens flirts, les tonnes de péripéties des copines amoureuses d'un mec qui ne les calculait ni en cours ni en colle, les petits mots échangés avec la meilleure copine du moment pendant les DST bref tout ça, je garde tout et j'ai bien raison : que de bons moments pas si intacts mais bien là, quelque part entre l'entrée et une des cases de mon cerveau. 

Et ce petit carnet rose... Les premiers émois d'une gamine de 11 ans déjà indécrottablement abonnée aux je t'aime hypothétiques. Vraiment drôle. Je souris en vous laissant découvrir les conneries dessinées pendant la colonie d'été de 1991... Laurent, le garçon dont toutes les filles rêvaient de voir assis à côté d'elles à la rentrée en sixième et que j'ai réussi à charmer, trop la classe ! (spéciale dédicace au corbeau)

 

Avant de partir (et avant d'oublier qu'il faudrait chercher cette K7), je vous laisse un petit souvenir. Les fans de Weezer époque premier album, éponyme (le bleu, le fameux) s'en amuseront...

 

Sur ce, je me remets au boulot. Je jure !... même si le soleil me nargue et que le ciel bleu me fait de l'oeil.

Joli jour pour - ne pas - parler d'amour. 

 

Un jour pour écrire, dessiner, imaginer, composer, laisser scintiller en cachette les mélodies que l'on aimerait sentir virevolter au dessus (et encore plus au dedans) de nos petits coeurs usés... vus de l'extérieur.

 

Un jour pour rester caché dans sa grotte, où se dissimule  parfois, quand les cons ont de la chance, un trésor jalousement conservé.

Un jour pour... DIRE MERDE AUX AMOUREUX !

 
Et toi, tu veux être mon valentin ou bien dois-je faire comme Lisa la bigleux de TF1 et continuer à oublier les caresses et les mots doux ? (Toi étant aussi large que mon Q.E. ; enfin je ne prends ni les lepénistes ni les monocouilles et encore moins les agents du FISC, le pire étant d'accumuler les trois particularités.)

 

Pas besoin de répondre. Avec mes yeux qui glacent sur place le moindre signe d'attirance par instint de survie, je sais déjà où aller sourire. Bon bah bonne fête à ceux qui y croient encore... moi je...

Bonne journée et laissez tourner iTunes, je pense à vous et à vos listes de lecture "Mais pourquoi - pas - moi ?!!"

 

Le jour où je divorce de l'Amour pour de bon, je sacre Valentin roi des cons. Et si je meurs avant le divorce, alors dites à mon gosse que je ne racontais que des conneries sur l'amour : dites-lui que l'amour avec ou sans lettre capitale (elles le sont toutes) est aussi vaste que les personnalités d'un seul homme, infini.  

 

17h56 : ma saint Valentin 2007 résumée en images (tout pareil, la moue encore plus boudeuse)... (SALE CON, oui, toi, saleté d'invisible de merde : putain là je fais la gueule pour de bon, je crois que certains n'ont pas tout compris à l'histoire : quand je vois les abrutis de mecs de certaines potes, je me dis que je suis mieux toute seule finalement, n'ont rien compris, certaines feraient mieux de quitter leur larve sans imagination aucune sous peine de se retrouver dans peu de temps au bras d'un mec chiant et cocu...)

 

 

19h53 : j'aime bien ce petit court, très chouette. Enfin ça n'empêche pas que l'amour me fait royalement chier aujourd'hui et pour quelques temps encore... jusqu'à ce que je trouve celui qui me méritera ! (Ouais, on me mérite et ceux que ça emmerde, je leur conseille de se casser loin et d'oublier la bobo et de rester avec des gens satisfaits d'un simple sourire trop facile.)

 

Sur ce, je file bosser avant de vous pondre 900 lignes sur les 1000 et 1 manières de dire "va voir ailleurs si j'y suis !"

Virez-moi cette garce de votre discothèque et laissez-vous bercer par la mélancolie, la vraie, la belle, sincère et profonde, celle contre qui on ne peut lutter...

(Montand avait refusé ce bijou de spleen inspiré, quel gros con!)

PS : Bon ok, j'ai réécouté il n'y a pas si longtemps le premier album de la garce.

PS bis : Garce parce que cette conne de voleuse de mecs (un vampire, cette fille, mieux vaut lui piquer son mec avant qu'elle ne découvre le vôtre...) me rappelle que demain est un jour de deuil sentimental et qu'une fille mieux que moi, quelque part, aura les grâces d'anciens élus... MouchoirSSSS !!! Vite, je n'y vois plus rien avec mes lunettes ! (Peut-être mieux ainsi.) Je déconne, je pleure plus depuis l'autre nul, si, si, c'est vrai (enfin la nuit, tard, ça compte pas). Bon et pour la saint Va t'en, même pas mal, c'est pour les cons de toutes façons... (Pas un mot !)

(Et je mélange singulier et pluriel si je veux... rester dans le flou, merde !)

Pas si facile d'oublier un amour perdu. Pas si facile de le savoir mieux loin de moi. Pas facile mais on fait comme si. 

 

Ouais, chez moi c'est cracra.

Ouais, chez moi on mange n'importe où et surtout n'importe comment.

Ouais chez moi il y a des noeuds de poussière dans trop de coins.

Mais on grignote des cochonneries dans de jolies assiettes !

 

Contente de mon achat, seule petite futilité du moment... dur dur quand on sait que je rêve des bottes Isabel Marant en tissu marron ainsi que de sa collection de pulls vintage et de l'une de ses robes blanches, et tout autant des slim et des dizaines de robes et tops 60's chez Sandro : bientôt, ils seront miens, bientôt, quand j'aurai perdu 5 kg et que le salaire de mars sera tombé : pile poil avant mon échappée vers les tropiques ! Ah pis y a aussi la collection A.P.C., basiques sauce cruise, un pur régal pour les Charlotte en puissance... VIVE L'ÉTÉ !

PS : Je vous conseille aussi Erotokritos et Et Vous pour les shorts-salopettes blancs et pistache. Et aussi un simplissime mais parfait pantalon en coton léger chez Isabel Marant, encore. Bref, cet été, j'aime tout tout tout trop ! 

J'aime pas Ségo mais là, si.

La meilleure pilule du lendemain trouvée : une rediff' de Super Nanny sur Téva un dimanche après-midi stérile.