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mardi, 11 juillet 2006
Allô Kitschland, j'écoute !
20:01 | Lien permanent | Commentaires (22)
Envie d'être anorexique, juvénile et plate
J'aime pas ma peau aujourd'hui.
Vais-je chez le coiffeur ? Frange ou mèche qui repousse sur le côté ?
Dois-je garder mes ongles nus ou bien du rouge pour jouer à la dame glam rock ? Ou bien du rose clair ?
Dois-je manger ou bien continuer à boire ma menthe à l'eau ? Ou dois-je reprendre le coca light quitte à tuer mon estomac ?
En gros, dois-je bouger mes fesses pour changer d'allure aujourd'hui ou demain serai-je parfaite ?
Ouais, je crois que voilà, mon vrai anniversaire, il est aujourd'hui : j'ai 26 ans, bordel de merde !!! Et pourquoi la copine de ma mère m'appelle hier soir pour me dire que ça y est, ma vie va changer : plus de réduc', la vie deviendra plus chère; pourquoi mon père est-il persuadée que je déprime sec; pourquoi je déteste les anniversaires ? Pourquoi pourquoi pourquoi... et pourquoi pas ?
Il fait beau, mince, il fait chaud je peux transpirer donc j'élimine; je bosse de chez moi aujourd'hui donc je suis peinarde; j'écoute la musique forte, sans casque donc je n'aurai pas mal aux oreilles en fin de journée; j'ai un horoscope plutôt bon donc tout va bien (j'ai le droit de faire semblant d'y croire) et puis je n'ai finalement aucun problème, ça doit être ça qui cloche ! J'aime bien les problèmes, c'est plus logique : un bout de vie sans heurt ni pensées grises, c'est bizarre. Non ?
13h27 : Oui, toujours en vie ! Je pourrais retourner la question... ;)
Message perso à deux potes : La folle a finalement capturé la b*** et me demande de la lui envoyer sans te le dire, je le fais pas, hein ? Ou tu t'en fous finalement ? Non parce que ça pourrait être rigolo de la mettre sur olé olé Paris sais-pas-quoi... ;))
13h37 : J'aime pas être dépendante, je lutte mais je peine. Reprendre la coke à haute dose ? Me faire hypnotiser ? Pfff, juste envie d'une chose, mais pourquoi suis-je monomaniaque ?!!!
Bon je retourne bosser, au moins là je ne pense pas à l'objet de mon... Oui, toujours en vie, plus que jamais, darling (c'était pour faire genre : "tu vois, je peux très bien rester normale"; pas claire, pas grave)!
13:40 | Lien permanent | Commentaires (12)
lundi, 10 juillet 2006
Jules et Jim ne font plus qu'un
Depuis 13h45, j'ai 26 ans. Depuis minuit, les amis appellent, envoient des sms et me mailent. Mais l'attention qui m'a le plus touchée, c'est celle-ci...
Votre Jen est sur un petit nuage cucul tout rose (voire rouge mais chut). J'aimerais bien vous dire qu'il y a des clones de ma perle nichés ci et là pour les célibataires mais franchement, j'en doute. J'étais preum's, désolée.
Enfin un garçon à la hauteur de mon coeur fleur bleue !
Pour le "va-t-en", on attendra encore un peu. Restons sur les adieux impossiblois...
Une jolie pensée pour Mathilde, grâce à qui j'ai reçu ces mots fleuris. Pour avoir la chance de se voir livrée un de ces cadeaux au taff (top crâneuse attitude), c'est chez Bagatelles.
J'embrasse celles et ceux qui ont pensé à moi aujourd'hui, et je laisse les crottes de nez au miraculé ;)
15:40 | Lien permanent | Commentaires (22)
A quelques heures de ses 26 ans, voilà ce qu'elle écoutait...
Mégalo, moi ? N'importe quoi !
Ma dernière playlist avant le 2 et le 6…
Quelque chose en moi, Holden
Femme lascive, Bless
L’amoureux, Athur H
Message personnel, Françoise Hardy
Pense à moi, France Gall
Me voilà bien, Benjamin Biolay
Dans mon dos, B. Biolay
Ground zero bar, B. Biolay
Mon amour m’a baisé, B. Biolay (ouais, je reviens à mes premières amours, ça va consterner Thomas Clément…)
This is hardcore, Pulp
Chanson sur toi sur nous, Françoise Hardy
Magic in the air, Badly Drawn BoyQuand je suis ivre, Pauline Croze
Our mutual friend, The Divine Comedy
Cheree, Suicide
L’irréel, Bashung
How sweet it is, Marvin Gaye
My girl, The Temptations
Now is the time, Solomon Burke
Nous reviendrons, Dominique A
J’suis snob, Boris Vian
La ballade du mois de juin, B. Biolay & Chiara Mastroianni
The only one, Readymade FC
Silent sigh, Badly Drawn Boy
The songs that we sing, Charlotte Gainsbourg
Tommib, Squarepusher
Je ne sais plus, Solas
Chromakey dreamcoat, Boards of Canada
Exsangue, B. Biolay
Until tomorrow then, Ed Harcourt
Shadowboxing, Ed Harcourt
Revolution in the heart, Ed Harcourt
Un morceau de piano rien que pour moi
Et plein d’autres choses déjà dans le nano depuis trop longtemps mais je n’arrive pas à m’en séparer, persuadée que la chanson qui me lasse se fera soudainement désirée le jour où je l’aurais virée de la playlist !
Je vous conseille de télécharger/acheter/emprunter les titres méconnus, il n’y a que du bon et ceux qui pensent le contraire sont des gros cons ! ;)
Et j’en profite pour remercier les trois fous (2 mecs 1 fille…) qui m’ont envoyée des sms à minuit pour mon anniversaire, vous êtes fous… de moi, j’adore ! Merci. (Mais entre nous, je n’aurais 26 ans que demain vers 16h, hein, alors grapillons les dernières heures.)
00h53 : merci darling ;)
Ouais ben sereine ou malheureuse, j'aime les sons tristes. C'est désormais un fait.
00:35 | Lien permanent | Commentaires (33)
dimanche, 09 juillet 2006
La dernière fois que j'ai 25 ans
7H03. Debout. Enfin, en tailleur devant vous. Lunettes sur le nez, aveuglée par toute lumière quelle qu'elle soit. De toutes façons, le ciel est gris. Réveillée depuis trop longtemps. Je me disais, en ayant dormi plus de dix heures la nuit précédente, ça ne pouvait pas m'arriver deux fois de suite ! Sans rire, je deviens insomniaque. C'est bien la nuit, seule au calme, la ville dort et le temps vous est libre mais alors quand le jour se lève, c'est d'une tristesse parfois... Mais bon, les oiseaux chantent, enfin commencent, et moi, je vais prendre mon nano, marcher jusqu'à Montparnasse acheter cette putain de carte 12-25 ans avant de mourir de vieillesse demain et prendre mon thé et mes tartines au Luxembourg si le temps le permet. Et si le soleil boude, j'irai voir s'ils ne vendent pas de lecteur dvd au Monop'. Puis je crois que je vais flâner... dans mon lit tout le reste du dimanche. Avec mon carnet, mon stylo, mes films, ma musique et mon bilan. Bah oui, à la veille de mon énième enterrement, faut bien déguster en solo cette nouvelle page qui se tourne. 25 ans, c'était sympa, c'était entre-deux extrêmes : l'insouciance de l'étudiante et l'âge de la maturité (enfin c'est comme cela que qualifient les magazines féminins la trentaine).
C'est plus fort que moi, quand je réfléchis, le sommeil s'éloigne.
Je ne peux pas arrêter le temps. Je ne peux pas non plus faire semblant de voir qu'il passe. Je garde en mémoire tous les rires, les pleurs, l'expérience, les rencontres, la jeunesse du visage. Je sais bien, 26 ans c'est jeune mais pas tant que ça. Heureusement, cette année, la pilule sera facile à avaler. Enfin si j'arrête d'écouter Dans Mon dos, de Benjamin Biolay. Je la trouve émouvante cette chanson. Oui bon, j'arrête de déprimer, c'est juste une nouvelle année, après tout, ce n'est pas comme si je me retournais sur 40 années de hauts et de bas !
Merde, 26 ans, c'est super jeune comparé à la majorité de mes amis (en me relisant, je demande pardon à tous ces ex amis !) je suis encore fraîche, j'ai trouvé mon Georges Delerue - qui me fait croire que je suis jolie, j'ai des dents en bonne santé (normal, j'évite les bonbons qui vous font des chicots depuis un certain temps), les rides sont en retard, je vis dans l'un des plus beaux coins du monde, mes proches sont en pleine forme (je touche du bois à l'instant), j'ai pas un rond mais ça viendra (oui je sais, je dépense beaucoup d'argent mais ça n'empêche pas, je suis pauvre en fait, je vis juste aux crochets de l'univers familial), mon chien a un coeur de jeune homme et ma concierge pense que je suis une sainte alors oui, mes 26 ans débuteront dans la joie et la bienséance sociale !
Mais en vrai, encore grandir sur le papier, prendre une nouvelle fois un tampon pour le monde des grands cons, accélérer un peu plus le processus de "vis ta vie, le temps aura le dernier mot alors profite", dire une dernière fois adieu au quart de siècle, ça m'em-mer-de !!!
Allez, ce n'est rien, un thé, un spliff (ah bah ouais, merde, le dernier jour de mes 25 ans, ça se fête et puis merde, ça fait depuis trop longtemps dès l'aube que je cogite alors un beau petit cierge, un sweetie My Girl des Temptations, toujours mes lunettes puis le grand départ pour une traversée de la rive gauche tout en fantaisie et rêveries...
Bon dimanche à vous, et là, je vous le dis en écoutant Pense à Moi de France Gall, super cette chanson : le son Gainsbourg, la voix fausse presqu'irritante mais finalement ensorcelante et des paroles cucul donc adorables. Merde, j'ai juste grandi d'un an, et alors ? Je vis à Paris, je suis amoureuse et j'ai l'intime conviction que ma vie sera belle au hasard des bêtises et des paroles spontanées et insensées, j'ai toujours fonctionné ainsi, c'est pas à 26 ans que ça changera, nom d'une petite conne ! Amen ;)
(Pour la photo, ne me demandez pas pourquoi Françoise Hardy, c'est moi ce matin...)
Mais preuve que je ne déprime pas réellement, voici une photo faite à Saint Ambroise, je l'aime bien.
Copyright : moi
07:40 | Lien permanent | Commentaires (29)
vendredi, 07 juillet 2006
On peut aussi baiser la main qui nourrit votre coeur d'oxygène
J'ai passé ma nuit avec quelqu'un de merveilleux...
A part ça, je vais peut-être partir m'installer dans une bergerie en Corse, donner à manger à des chèvres révoltées comme leurs ancêtres, caresser des "lapins à la con", faire des fromages et regarder mon bébé grandir. Tentant. Oui enfin non. Juste pour les vacances, vous me louez le tout : la bicoque, le berger, le nain et les bêtes. Pour les fromages, j'aime bien les Kiri au chèvre. Je plaisante.
Non, je me verrais plutôt à Hydra, comme d'habitude.
Je vous ai dit que j'ai passé une nuit fabuleuse ? Endormie à 5h, oui je sais... Et ce soir, je ne risque pas de dormir, dimanche je prévois une journée au lit dès 16h. Sinon je vais vieillir trop vite. Encore un mot pour le champ lexical...
"The only one, yeah, you're the only one..." J'a-do-re. Au train où je l'écoute, elle va vite me lasser, cette chanson, mais là, non, ce n'est pas encore le cas : écoutez The Only One de Readymade FC. Un goût d'amour suranné, la gourmandise est un péché charmant parfois.
Je suis amoureuse. Je crois.
12:40 | Lien permanent | Commentaires (24)
mercredi, 05 juillet 2006
Penser à prendre rdv chez l'esthéticienne
Libé d'aujourd'hui : "L'épilation intégrale prend du poil de la bête". Emmanuèle Peyret vous fait entrer dans le monde meeeeerveilleux des cires qui vous arrachent le poil aussi vite qu'un éjaculateur précoce. Alors juste pour dire à Emmanuèle qu'elle a quand même un peu de retard sur le phénomène tout lisse, son mari devrait lui acheter Biba ou Glamour de temps en temps... Non parce qu'en la lisant, on a l'impression d'être dans la peau de mamie Nova chez Bimboland. Attention, je ne vous parle pas de moi là, juste que j'ai l'impression d'avoir acheté Modes&Travaux plutôt qu'un journal bobo censé être au coeur de la vraie vie bien parisienne faussement popu tellement snobarde...
Tu parles d'une enquête... poubelle. Emmanuèle, je te vire !... et te remplace demain.
14:10 | Lien permanent | Commentaires (24)
mardi, 04 juillet 2006
Mes sourcils ne sont plus froncés
Lexo est devenu champagne, moue boudeuse est devenue mollassonne, coeur soucieux est devenu assagi. Et mon lecteur dvd ne marche pas. J'adore les moutons sauvages et l'attente les rendra plus attendrissants, même pour ceux qui n'aiment les bêtes. Je vis dans un film de Lelouch. Les contradictions du coeur et de la raison. Mais la folie est plus forte. Et le temps qui passe ne permet pas toujours d'oublier, au contraire, il aggrave mon cas. Alors je vais certainement regarder une vidéo, Jules et Jim.
"Tu m'as dit Je t'aime
Je t'ai dit Attends
J'allais dire Prends-moi
Tu m'as dit Va-t-en"
Et la fanfare démarre, tout le toutim, les tintamarres, les graves les aigus, les voix douces les cris du coeur.
"Vous pouvez m'aider ?"
Et il fut dès lors emporté dans un tourbillon qui l'emmènera aussi loin que possible. Enlevez la chute. Elle n'aura pas lieu ainsi.
Les amitiés amoureuses n'étaient pas, en vérité, elles n'étaient qu'amour dès leur premier regard échangé. Mais ils ne s'en rendraient compte que trop tard. Et encore, ils le savaient tous trois qu'il était trop tard avant même de se demander leur nom, se perdre, il n'y a rien de plus enivrant.
Mais Katerine n'était qu'une apparition pour tous. Selon Jules et Jim. Ils préféraient s'accomoder de cette conclusion masculine, facile et rassurante.
Tu me diras Je t'aime
Je te dirai Envolons-nous
J'allais te dire Je t'aime
Tu me diras La folie est vérité
Vivre sa vie comme sur un fil cousu de fil rouge, aimer l'impossible et le rencontrer, lui dire tout le bien que vous pensez de sa philosophie puis lui dire adieu. En langage impossiblois, adieu signifie A tout à l'heure.
Chez moi, à tout à l'heure signifie je suis marron. Et c'est beau d'être marron, se faire enculer par l'impossible, c'est chouette. Il est bon de croire en l'impossible, vous devriez arrêtez de lire les journaux, ils vous mentent. Moi, j'ai découvert un "espace" où tous les possibles sont permis, il s'appelle "Défense d'entrer". J'ai mis un panneau, pas envie d'être dérangée. Pas besoin de vitriol dans cet espace...
Les poussins sont jaunes et doux, les coqs chantent en attendant mon retour, les moutons regardent le verger se rebeller et moi je pense à tous les croquis, les mots et les chansons qui ressortiront de tout ce petit espace privé.
Un note légère ?
22:30 | Lien permanent | Commentaires (12)
Allo maman bobo
Sourcils froncés, moue boudeuse, songeuse, râleuse, ailleurs. J'aimerais bien être une fille légère jusqu'au coeur mais je n'y arrive pas. Et finalement, Ed Harcourt me fait déprimer. Et je continue à écouter, maso, toujours. Je vous donne de mes nouvelles quand j'aurais réussi à me raisonner, et là, je vois pas de sourire qui irradie apparaître dans deux minutes...
14:05 | Lien permanent | Commentaires (8)
lundi, 03 juillet 2006
L'album que je vais aimer comme Grace
Bah voilà, je suis incapable de sortir sans dépenser. C'est grave. Pour une fois, j'étais en avance à un rendez-vous. Devant le Virgin. Grosse erreur. 155 € dépensés. Pas grave, presque que du bon. Là, j'arrive à peine et je tenais absolument à vous donner mes premières impressions, certes hâtives puisque j'ai écouté seulement le début de 3/4 chansons mais...
ACHETEZ LE DERNIER ALBUM DE ED HARCOURT : THE BEAUTIFUL LIE !!!
Ok, c'est Ed Harcourt, un peu déprimant mais cet album semble encore plus beau que le précédent, de la folie tellement c'est beau. Pour l'instant, mes coups de coeur se posent sur Shadowboxing (le tout début pourrait se confondre avec une chanson de Pink Moon, de Nick Drake), Revolution in the heart (trop trop bon, ce mec joue les notes que joue mon coeur, de la puissance à l'état brut !), Until tomorrow then (celle-là, Jamie Cullum mais avec la voix de Ed Harcourt, bordel, c'est... pas de mot, c'est bon, je suis un automne à New York avec un homme et c'est beau comme c'est cliché) et le reste, pas encore écouté.
La voix exceptionnelle de Ed Harcourt, un petite dose des années 30 sur certaines pistes, du piano toujours, des paroles que vous vivez, une montée qui vous accompagne au fil des notes et de la voix variante du mec bref, que du bonheur, vraiment faites-moi confiance, je vais l'écouter entièrement ce soir, ce disque va devenir un de mes chouchous, je le sais.
Ensuite, j'ai acheté un double album de Lali Puna que je n'avais pas. Bah oui, je voulais connaître It's not the worst i've looked. On remercie Sharky.
Puis Ultravisitor de Squarepusher.
Je voulais aussi Board of Canada mais ils n'avaient pas l'album que je veux, The Campfire Headphase. Si quelqu'un l'a, je le veux bien en fichiers...
Bon et quelques dvd de routine : Un Homme et une femme (parce qu'il y a une scène que je veux revoir, enfin surtout les dialogues), Lost in Translation, Polly et moi (oui, je sais mais bon) et Harold et Maud.
Et deux cordons Apple.
Voilou, 155 €. Même pas mal. Mais putain, là je vous écris et à l'instant, Revolution in the Heart qui démarre, é-nor-me, mon coeur bondit, je veux le voir en concert !
Maintenant, un petit coup de Miossec mais je repars direct sur Ed Harcourt après, peux pas résister, génialement ennivrant. Bonne nuit.
Ah, et seulement un verre d'alcool et un coca, très raisonnable. Et retour accompagné, j'adore les hommes élégants ;)
Comme tous les connards d'humoristes qui se pensent indispensables et qui n'ont rien à dire, je les imiterai et vous dirai : l'album d'Ed Harcourt devrait être remboursé par la Sécu aux pauvres !
23:20 | Lien permanent | Commentaires (32)