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mardi, 22 juin 2010
Et si Frank Fenner avait raison ?
Retourne à la machine à café ou à la cuisine, et reviens avec une grande tasse, assez grande pour accompagner ta lecture, le niveau de stress et le chagrin qui en découleront (ou tu souriras, éternel optimiste et alors tu es peut-être fait pour moi, mais je sais pas trop j'hésite encore sur le genre d'homme capable de me rendre heureuse à long terme - enfin long, cent ans maximum pfff la galère moi qui pensais vivre aussi longtemps qu'un Bogdanov).
T'es bien assis(e) maintenant ?
Clique sur ça et lis-le (sans froncer les sourcils et me taxer de flippée) :
http://www.slate.fr/story/23355/espece-humaine-extinction...
Voilà.
"L'espèce humaine va s'éteindre. Peu importe ce que nous faisons maintenant, c'est trop tard."
"L'Homo sapiens va disparaître, peut-être en l'espace d'un siècle. Et beaucoup d'animaux aussi. C'est une situation irréversible. Je pense qu'il est trop tard. J'essaie de ne pas trop le dire car il y a des gens qui essaient de faire changer les choses."
Pour résumer, si ce connard cet éminent scientifique a raison, je vais faire des enfants à un homme que j'aime sachant qu'on va tous mourir en même temps ou presque (devenir folle, donc), je vais voir disparaître des espèces animales par centaines au cours de mon existence ce qui va changer mon destin genre je vais finir militante WWF sur le rainbow warrior new generation elle n'eut pas d'enfant et périt sur un radeau de fortune pris en embuscade par les forces de police, ou même pas je vais finir babos dans le Lubéron. J'opterai plus pour la version fromage frais avec mes chèvres adorées, et tous les hommes que j'aime. Aussi je pense qu'il est important de prendre en compte l'hyptohèse de Franck Fenner et de profiter au mieux du petit siècle qu'il nous reste à vivre tous ensemble. Donc, je pense, et j'espère que tout le monde sera d'accord avec moi, qu'il faut s'organiser dès maintenant. Je vous invite à réfléchir à l'emploi du temps "Un siècle pour s'aimer". Je lance quelques idées...
Emploi du temps de Jen :
Lundi : Julien
Mardi : Le garçon que j'ai mis en Mardi sur mon statut Facebook (celui dont le nom de famille commence avec un R)
Mercredi : Edouard
Jeudi : Vincent, Paul et Louise
Vendredi : les hommes mariés, on a le droit par temps apocalyptique ?
Samedi : Matthieu
Dimanche : on refait non pas le match mais le clip de Kylie (Minogue, tu sais la montagne de corps qui baisent qu'au début tu trouves jolie et qu'après tu assimiles un peu à un maxi beef cheeseburger). Ou non, le dimanche, on doit tous sauver les animaux. Et la paix dans le monde. Votez pour moi.
PS : oh puis comme c'est la fin du monde dans cent ans, je pense que c'est bien qu'on se réunisse avec tous nos ex et qu'on se mette tout nu au bord d'une rivière pour discuter, chanter des refrains anciens et se caresser les fesses.
PPS : Je suis très cheval blanc d'Henri IV en cette fin d'année scolaire. Ne cherchons pas les origines de cette envie de pureté. 30 ans en juillet, c'est tout.
PPPS : Merde, je sais plus si je dois plus croire en la cosmologie ou en mon cul maintenant, c'est malin Frank !
Je vous conseille aussi de regarder cette vidéo (merci Charl). J'ai peur. Terrifiée. Mais je vais oublier ma peur en allant à La Poste chercher mon colis Kooples (qui sait qui a reçu un chouette blazer tout beau offert par le grand Capital ? bibiiii la mortelle), et puis après je regarderai mes plantes pousser en défiant la mort. Bon mais j'avoue que faire l'amour me consolerait un peu mieux. Je t'envoie un sms dans la journée, amour.
11:08 | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : frank fenner, 100 ans de solitude, un homme qui dort perec, 100 ans d'amour
Il était une fois, Youtube...
L'un de mes plus grands malheurs en tant que mélomane techno-branchée dépendante serait de me réveiller un jour et de constater avec effroi (en plus d'avoir trente ans moins un jour, puis cinquante plus un petit-enfant, puis mort+10 etc.) que Youtube a bugué dans la nuit, que mon compte a disparu et avec lui mes Playlists "Kit de survie" et "Playlist2" (chacune d'elle comptant 200 clips et autres scopitones essentiels) ainsi que mes 1 192 trésors appelés Favoris dont la matérialité virtuelle contribue à mon équilibre et bien-être quotidien.
A cet instant germe dans ma tête bizarrement faite une version orwellienne d'un pan de la société du Care... (Où quand le démon despotique qui est en moi s'exprime et devient le pire exemple de ce que la société du divertissement et précisément la musique-Kleenex peuvent engendrer comme monstre.)
J'eus donc l'idée de publier une annonce sur Profilculture.com...
Recherche stagiaire pour classer par ordre alphabétique, sentimental et nombre d'écoute la discographie sur vinyle, K7, CD et MP3 de la porte-parole du Ministère de la Mélodie et du Ut pour Tous.
Il sera également demandé au candidat de graver sur micro-puce (à destination sous-cutanée, dans la zone de l'oreille interne humaine plus précisément) (puce appelée "La Voix du Mossad" par nos agents formés au Centre de Formation situé à Portland, plus connus sous le nom des MusicLovers) une série de vidéos, clips, extraits de concerts, interviews, remix, passages de films, montages ou encore génériques de séries et en cela, garantir une vie éternelle au contenu expansif du Ministère de la Mélodie et du Ut pour Tous.
Profil recherché : tout passionné (vie, musicologie, poésie, cinéma - spécialités nouvelle vague, cinéma italien et nanars soviéts appréciées -, philosophie du People Have The Power, littérature, langues étrangères, histoire de la mandoline, scientifique, fleuriste de nature joyeuse sachant apprécier les premiers albums de Sparklehorse, etc.)
Rémunération : 1 111 euros le mois, forfait mensuel Vélib et Pass Naviguo, tickets bagels, Macdo et SushiExpress, ainsi qu'un accès libre aux concerts parisiens pendant toute la durée du stage.
Envoyer CV et lettre de motivation à mmut@gouv.fr
01:45 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : rois et reine, youtube addiction, délire mélomaniaque lacanien, i love youtube
mardi, 15 juin 2010
Le sexe bof
En le guettant, vous pouvez vous assoir à mes côtés sur ce banc et lire une note que je vous réservais mais comme monsieur Temps s'est fait désirer ce matin, j'ai changé de blog, pouf, regarde page 2 je t'explique pourquoi je suis devenue hystérique hier devant M6.
Le post besnob est à lire ici.
Et pour toi public, voici le statut que j'ai écrit hier en entendant la télé et donc cette daube sur M6. Comme tu le vois le statut court je sais pas trop faire quand je suis en colère, donc voilà ma dernière caresse à l'égard de la chaîne qui est définitivement passée du côté obscur de la Force...
"ben c'est parfait consommons, achetons des sacs poubelle Vuitton, bavons devant les vitrines en ignorant le mec de 17 ans qui fait la poubelle du *** chaque soir, regardons M6 en prenant tout au 3ème degré, continuons de jouer au meilleur tweet egokikoolol je suis trop fort je vous nique tous avec mes phrases cinglantes où l'humour noir frise parfois avec le morbide, laissons-nous lentement mais sûrement ravager le cerveau. la conscience, la liberté de choisir, putain c'est quoi cette crise d'ado que je fais ce soir ?!! Pfff, demain sur besnob, ce sera un petit post à la gloire de M6. Ou grève. Journée jefaislagueule je pars vivre dans un kibboutz sans télé sans putes sans partouzeurs de province exhib et pouah des beaufs des béotiens... NON mais rassurez-moi, si vous avez zappé deux minutes (de trop) sur le truc des français (me reconnais dans personne à travers ce casting qui pue le confession intime le bolloré la pouffiasse à string en cuir et le ribéry qui filme sa gonzessse se faire sauter dans la forêt par deux paysans à moitié golmons, le benêt le niais le crétinisme et le mot est trop faible pour exprimer ce que je ressens à l'égard des quelques minutes de vulgarité qui m'ont écoeuré, bref"
12:14 | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : m6 sucks, nan goldin kate moss, je suis le petit chevalier
samedi, 12 juin 2010
Iran: A Nation of Bloggers
15:24 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : iran: a nation of bloggers, futureshorts
vendredi, 11 juin 2010
Pétasse toi-même !
Un CD 2 titres, une chanson enregistrée sur l'une de mes Sony 90 min à la va-vite sur la FM de la fin 90's, écouté en boucle.
Vendredi soir, m'en vais faire ma midinette dans le public du concert de Jul Erades, mon pote Ray Manzarek aka Seb Hoff' au clavier, Belleville, au Zebre, si ça vous dit, j'y serai avec mon T-shirt New Kids On The Block.
Viens avec une cerise accrochée à la poche de ton veston. Ou à ton sac girlymadeinchina. Viens. C'est Ray, et sa caisse elle est taupe tu verras c'est la classe de rentrer avec lui after midnight, mieux que de la moto filmée Lelouch in Paname; viens.
03:25 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : kelly joyce vivre la vie, kelly joyce
jeudi, 10 juin 2010
Aujourd'hui, je suis Radar detector (Darwin Deez)
Je ne râlerai pas, ne ruminerai pas mes nuits si courtes que mes journées paraissent des siècles, ne donnerai pas mon opinion sur les blogueurs dont l'univers mode et mytho me désole au plus haut point à l'heure actuelle (oups), à la place je vous dirai que je mange des petits pois des vrais qu'on va chercher au marché des pommes de terre des pêches des melons des fraises des tomates (bio, mmm) de la feta des pousses d'épinard des navets des ananas des kiwis des cerises des endives blanches, je vous dirai que ce soir je reviens et que c'est toujours un vrai plaisir que de retrouver une vie sociale normale, je vous avouerai que mon pied est revenu au point mort, enfin fracturé, trop d'efforts à porter le chien dans le bois dans les escaliers à la maison, bref, piedgaucheunpeubeaucoupblesséfatigué. Le travail oui ça va par contre je me suis foutue dans un petit merdier avec une histoire de piges ayant attrait au monde merveilleux de la science fiction que je ne connais franchement pas du tout. Mais je suis caméléon, amusons-nous. Enfin on verra, pour l'heure je pense à Byron et au vin que je boirai (un peu) ce soir, en bonne compagnie, sous la pluie vache qui rit. Il y a aussi les garçons. Un qui s'en fout de moi depuis qu'on a rangé les capotes à la poubelle, un qui s'impatiente de me revoir alors qu'on ne s'est jamais embrassés et qu'il divorce, et un autre qui tente de me rencarder depuis, quoi, trois ans, et je n'ai toujours pas répondu à son invitation à dîner somme toute flatteuse dont la date de péremtion affiche le 14 juillet prochain.
J'ai aussi réalisé que la coupe du monde de football allait niquer mon anniversaire. J'aurai trente ans la veille de la finale, autant ne plus espérer une boum party. Ils disent tous s'en foutre de la balle mais moi je sais que cette balledemerde va bel et bien me pourrir mon bide-day. Donc si des lecteurs et lectrices n'aiment pas le football et sont prêts à me servir de faux amis, je vous propose de faire tous l'amour dans un parc le jour J.
Ce clip, cet artiste, Darwin Deez.
Je l’aime beaucoup lui, il est lunaire solaire il est tout il me plaît. Le ciel bleu chasse les nuages gris quand j'écris cette phrase, c'est bien la musique du jour : le garçon a visiblement un petit faible pour la science des rêves tout les gens heureux tout ça quoi. Ce que je veux autour de moi, des gens heureux.
Pour la fin, une vidéo fraîche comme mes petits pois des Coral, 1000 years. Pour vous aider (s'il en est besoin) à vous rappeler votre premier trip cosmique…
Pour le droit à l'image et mon petit doigt en l'air (éphémère) : Le garçon joli mais désagréable au volant de sa Smart.
PS : Si toi lecteur tu te sens concerné par une ligne ou deux de ce texte, surtout ne le prends pas mal. Si ce n'est pas le cas, hum, ben... dis "cheeeeese" !
PPS : photographie du haut : faire l'amour avec une paire de jambes de mec rien qu'à moi, mon fauteuil péripathéticienne, mmm... (concept copyright, je prends illico un vol AR pour Tokyo, ils sauront m'inventer ça eux qui vivent en concubinage avec des robots femmes dont la bouche à bite dit oui encore oui - tarés de jap' - tarée de Jen)
PPPS : vous verrez je l'aurai mon amoureux qui n'aime pas les fauteuils péripathéticiennes et qui aime mon accent anglais, contradiction été trenteans chienquimourraunjour laviequoi jaimetout jegueule mais j a i m e t o u T.
15:30 | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : radar detector darwin deez, the coral 1000 years
lundi, 07 juin 2010
Hé, toi, la faucheuse, sache-le : j'aurai ta peau !
(En retard sur tout et je m'en fous, je pense qu'à ma gueule et à ceux qui l'aiment. Aujourd'hui et jusqu'à ce que. La nuance, je ferai plus tard, tout bien pensé.)
03:50 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : lilicub
dimanche, 06 juin 2010
A qui je dirai je t'aime après ?
Week-end de merde. Pleine de chagrin. Et puis quelques grands éclats de rire.
13:51 | Lien permanent | Commentaires (6)
jeudi, 03 juin 2010
L'amour la nuit, le matin, les joues roses quoi.
08:40 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : express yourself charles wright, celeste boursier-mougenot
mardi, 01 juin 2010
Un texte très chiant avec des photographies tout ce qu'il y a de plus bobo
AR Paris/Vienne, sans toi.
Les trémolos de la chanson, je ne leur appartiens plus.
Je sais que je peux désormais ouvrir les yeux au petit matin gris et les refermer à la nuit tombée sans avoir pensé à toi, exsangue, avec cette plaie qui me suicide et n'appelle qu'à ma perte ("Enfin !" diras-tu, toi qui me lis silencieusement dans tes charentaises).
Depuis deux journées entières je chantonne des refrains qui me faisaient la gueule depuis longtemps, voilà deux journées entières où la cendre a recouvert tes roses fânées tristes et abandonnées, elles-mêmes enterrées avec mon amour pour toi, voilà deux journées à travers lesquelles un homme un peu fou, un peu idéaliste, a rempli mes absences d'un rose vif et insouciant, d'un temps entier et vierge prêt à se faire conquérir par le rire, le sourire complice (ou non, et peu importe je précise avec joie), je peux enfin saluer l'autre qui saura prendre ta place.
Des semaines que je pense à toi avec obsession, un court échange de mots et de bécots m'aura suffi à rompre cette fidélité misérable dans laquelle je me suicidais silencieusement, douloureusement. Des semaines que je t'idéalise encore et toujours (et mal-gré) pendant que tu en aimes une autre; un simple post-scritum aura suffi à y mettre un terme : "Je pense souvent à toi".
Tu penses à moi également, me réponds-tu. Tu me dis également que ta nouvelle vie rangée t'étouffe, il est amusant de réaliser qu'il m'aura fallu lire cette phrase pour entendre ton ennui et ton oubli de moi, comme le chante cette vieille et redondante Barbara qui me poursuit à travers les âges.
Cinq cent mètres nous séparaient depuis presque neuf mois, le temps d'une gestation ou presque, le temps de me faire petite, le temps de mourir et de renaître. Et voilà qu'un garçon qui me ressemble autant que je suis douée pour la mécanique quantique bouscule cet amour, ce souvenir sardoniquement parfait que je te portais, voilà qu'il me vient aujourd'hui ce besoin de te dire Adieu. Lettre à une passante de Baudelaire n'a jamais été aussi foudroyant, remercie-nous, remercie ce petit italien qui eut l'adresse de nous donner vie et mort sur cette corde à linge de Web sauvage, jamais jusqu'à présent je n'avais autant eu cette vivifiante et terrible impression de faire face à l'homme de ma vie fait Darth Vador, celui avec qui on a envie de subir la turista aux quatre coins du monde, celui à cause de qui on s'autorise à devenir une femme au ventre rond, celui pour qui on aurait dit oui à tout et surtout n'importe quoi, Lui je ne l'aime plus. Je me suis trompée, tant de temps pour le comprendre.
Ce petit texte pour te dire adieu, à l'image de notre courte passion (il y a bien trop longtemps à tes yeux, je n'en doute point).
Et donc, initialement, je partais sur l'idée d'un court paragraphe en hommage à celui qui refusa de dire mercimaman à cause de Pétain dimanche dernier, je voulais parler de ce garçon qui ces deux derniers jours m'a tout redonné, sans peut-être en avoir conscience. Alors toi, quand bien même ici nos routes se séparent, j'ai cette envie, celle de te dire Merci, pour tout.
Pour ton côté jour qui affronte mon côté nuit, pour ton hyperactivité qui éclaire mon oisiveté, pour ta mère qui détesterait la mienne, toi qui veux donner mes six tonnes de vêtements à Emmaüs et moi qui se refuse à ne jeter ne serait-ce qu'un bob Ricard car tout est souvenir, toi qui cette nuit-là a souri quand j'ai par timidité excessive renversé cette bouteille d'eau pétillante sur ton corps dans cette chambre qui ce soir-là m'apparut sous un nouveau jour, toi qui m'as dit des choses qui m'ont fait du bien, toi que j'ai aimé accueillir, toi qui as su me réceptionner tel un gentleman cambrioleur, toi qui m'as donné le déclic, toi qui sans le savoir m'offre cette force, de devenir à nouveau une fille, une fille aimable, une fille libre, une femme.
Putain de bordel de merde ! ça fait du bien de mettre noir sur blanc ce qu'on a sur le coeur ! On veut pas de moi ? On ne m'aime pas ? Je m'en fous, j'ai regagné cette confiance qui s'était raisonnablement fait la malle, maintenant je suis bien là, et l'homme qui m'aime saura, aura le bon sens de me brûler les yeux et comme Didier Morville, à quarante ans passés je vous le dirai : L'Amour crétinise certes, mais l'Amour vous rend beau con et vivant, et cette bitch d'Amour vous fait oublier l'antimatière, l'homme de Flores et les pigeons. Maintenant, je n'attends plus. C'est maintenant que cela se passe !
PS : CAP FERRET !!! Vivement août, l'eau chaude les amis le bon vin le rire bref le trip à la Sautet ;-) (Oui, je viens tout juste d'apprendre où et avec qui je passerai mes vacances, c'est de la bombe bébé, tout simplement)
L.O.V.E. (version française), NAT KING COLE
(pour le péteux) Audrey Anderson, JEROME ATTAL
Ohe ! Paris, CHARLES TRENET (la plus importante parce que Trénet, l'artiste qui reste dans mes oreilles depuis ma tendre enfance)
Et puis :
Juste le temps de vivre (poème), BORIS VIAN
Vivre à même l'amour, BEN RICOUR
At Last, ETTA JAMES
J'en avais envie aussi, WILLIAM SHELLER
Je prendrai sur moi, ART MENGO
Heureux avec des riens, CHARLES AZNAVOUR
33, DOMINIQUE DALCAN
Beginner's luck, EELS
(et tellement d'autres/je n'aurai pas le toupet de mettre ici des chansons que j'ai auparavant envoyées à des hommes d'une nuit nuit ou d'une vie)
PPS : Et puis mon vernis pupute corail tourné vers le cerise, à en croire la tête d'un ami hier soir, il me rend "femme fatale". Y a plus qu'à faire l'effort de retrouver mon poids forme (entendez par là mon poids "je déprime pas", et dites bonjour à Jen, la vraie, celle que je suis)