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dimanche, 14 juin 2009

feignasse

Pleuré à la fin d'un film sur deux, correct. Pleuré au moins une fois à chaque film, pardonnable.

Ranger ses affaires par couleur.

Un verre de vin allongée sur le parquet les courants d'air chaud et la liste au prince des steppes.

Strictement rien foutu de la journée, grisant.

 

J'ai des problèmes d'amour mais pas de mycose; un ami qui m'inspire un beau rôle et les lèvres un peu rouges.

 

 

 

A vélo ce refrain la nuit vite très vite brûlant les feux comme un homme fataliste devant trois hommes armés sur une route inconnue, c'est extra et la triche amène la perte et la perte de soi c'est terrible (enfin c'est ce que j'aurais dit si j'avais pris le vélo) :

Commentaires

Et plus terrible encore de ne pas avoir le luxe de se perdre faute de ne pas s'être trouvé.

Brûler les feux, noyer les larmes. I drive fast so you can't see I'm heading nowhere.

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Rien à voir, mais juste chouette:
http://www.youtube.com/watch?v=yjbpwlqp5Qw

Écrit par : Vermine | mardi, 16 juin 2009