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mercredi, 10 juin 2009
Vous aussi ?
Lorsque le téléphone sonne, je finis toujours par dialoguer les yeux dans le vague (salon vintage du voisin) derrière ma fenêtre, poussée là par je ne sais quel mystère.
Je pourrais tout autant rester assise mais non, la fenêtre, toujours.
Remarque sans intérêt, bonne soirée.
Window on the cat ou Un jour en sortant d'un ascenseur ce chat m'avait plu.
(We are the birds and the bees and the cats we are the telephone trees...)
18:03 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : mes fenêtres savent tout sur tout de moi
Commentaires
Du snurfing analogique quoi.
http://www.youtube.com/watch?v=8l1J7Vp0TI0
Écrit par : Vermine | mercredi, 10 juin 2009
Je suis tjs sur le net quand ma mère me parle (et Dieu sait qu'elle parle beaucoup - j'ai de qui tenir tu me diras), c'est mal.
Écrit par : Jen | mercredi, 10 juin 2009
Je peux tout expliquer. A part moi.
- Troubles de l'attention: faibles niveaux de dopamine. Déficit calorique en cause potentielle. Solution: réhaussage de la sensitivité via agonistes des α2 recepteurs ou β-adrenocepteurs.
- Besoin d'une activité purement physique à caractère automatique et répétitive (ponçage, peinture -> Karaté Kid) apte à vider la cervelle pour contre-balancer l'activité purement cérébrale que constitue l'écriture.
Homéostase rules.
Voir aussi: le travail rend libre. Mais apparemment trop de liberté tue. Par contre peut-être un bon point pour toi, apparemment aussi, le travail fait maigrir. A m'éditer.
Écrit par : Vermine | jeudi, 11 juin 2009
Ah oui et snurfuck, ultimate combo.
See also: Tyson is not amused.
http://s3.amazonaws.com/data.tumblr.com/NaDkAd5l8o9975evnzqlb6Zso1_1280.jpg?AWSAccessKeyId=0RYTHV9YYQ4W5Q3HQMG2&Expires=1244809456&Signature=Du/QeIcahrrw4Pse8QFIrHiEKB0%3D
Écrit par : Vermine | jeudi, 11 juin 2009