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samedi, 31 janvier 2009
Quand tu dis je crois
Moi souvent quand j'entends des phrases ponctuées de silences et d'onomatopées qui me bousculent je joue la fille perdue dans ses pensées, qui boit et lit dans les nuages de fumée. C'est plus simple, j'ai l'impression de m'en sortir intelligemment. C'est quand je rentre, que je recompose le puzzle de la soirée que mes yeux mes sourcils et ma bouche affichent l'étonnement, l'interrogation, puis les 10 000 kilomètres, les 50 mètres et la faim d'une nuit blackout.
04:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lavoine ringer