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mercredi, 19 novembre 2008
La bouffe chinoise, je suis quand même pas fan
C'est étrange comme l'herbe du Trocstore n'a pas le même effet selon le lieu et les personnes avec qui elle est partagée. J'ai bu, j'ai fumé, j'ai mangé des raviolis aux crevettes sans goût et une soupe pleine d'eau épicée, tout le monde est parti, je finis mon verre de vin en écoutant Peter Lyons, et je vois un gamin élevé par des parents glauques sur mon balcon. Je vois beaucoup de choses sur mon balcon. Vous aussi, vous voyez ce gamin ? Glauque, je vous avait dit. Mais attachant.
Faut que je pense à prévenir tout le monde pour la Xmas Party. Je promets toujours des choses magnifiques et je fuis derrière le temps. Céline fera la gueule si je ne vais pas jusqu'au bout. Faut donc que j'aille à Rungis et que j'achète un sapin, ça c'est pour le plaisir. Faut j'apprenne une recette simple mais élégante pour dix personnes. Faut que je fasse en sorte que certains invités qui se font la gueule viennent malgré l'ennemi juré placé à leur droite. Faut que je rappelle R. Une heure que j'imagine des pluies de géométries variables. Faut aussi que j'arrête de provoquer les sorties, je ne travaille plus la nuit, or c'est précisément là que ma concentration est à son meilleur niveau.
Réhabiliter la nuit de Jen.
01:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : peter lyons, un enfant bizarre à ma fenêtre, raviolis anti-epicuristes, hermann bizx