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jeudi, 04 juin 2009
Rien à faire, je n'y peux rien...
... je change d'avis sans cesse
ça ira mieux quand j'aurai quitté la maison familiale
quand j'aurai mes moments mes silences mes violences en toute intimité
mais je maintiens que tout le monde me gonfle, inutile d'aller plus loin inutile de blesser
tout le monde sauf lui, c'est agaçant d'aimer des traits si austères
c'est un comme lui que je voudrais, si ce n'est lui
je ne connais même pas son prénom
absurde comme la perruque blonde et les lunettes noires que je portais lorsque j'ai cru vous apercevoir tous les deux
je me fais penser à Aline l'idiote qui se bloquait le bras en cours d'anglais en 4eme, je tombe amoureuse d'un inconnu
et pourtant ça me plaît
la carotte tes lèvres sélectives; ta queue mon diable; je ne veux plus être entourée que d'hommes jusqu'à que l'un d'entre eux tombe amoureux de ma peau de chagrin et après, je fais construire un monastère en verre avenue de Wagram
(un remède à l'ennui ? nouveaux amis, nouveau job, nouveau pays, nouvelle marque d'eau minérale ? cure de sommeil, peut-être)
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