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jeudi, 04 juin 2009
Pas une ville ne vaut mon profil bas
un tas de secondes à la con, du travail d'orfèvre les heures perdues près d'un feu de souvenirs, on n'y croit pas, personne n'y croit sauf moi
et puis il a fallu un nombre sur une courbe, un truc que la mémoire intègre, ni la volonté ni toi n'ont leur mot à dire
de toute manière, quels seraient leurs maux ?
du souvenir qui se désintègre dans la fumée after midnight
j'en ai marre de suivre mon instinct, il me perd ce connard
je me frotte les mains et we try la la lalalala
R m'appelle, je rappelle R
P me lit je pense à P
S me donne un coup de main, je me donne une claque
Alpha me racontait la souffrance du peuple français moi je cherche l'antonyme de ce terme qui veut dire tout et toi
n'importe quoi, j'arrête les frais
l'amour ne signifie rien, l'amitié pas grand chose
sur mon répertoire, deux noms
deux génériques
C et A
où est la vraie générosité
je sais pas
où est ma culpabilité je sais plus
je répondrai plus
qu'à A et C
le don j'abandonne
vous cherchiez peut-être la définition de blog ?...
oubli et dégenerescance et renaissance, mais tout dépend du degré de connassité qui souffle ou non sur une écriture bandante ou anesthésiante
mon numéro, mon odeur, mon sourire, mes courbes, ma fragilité
Je déménage.
<< Si ce livre ne m'était pas tombé entre les mains au moment précis qu'il fallait, je serais peut-être devenu fou. Il se présenta en un temps où un autre univers, énorme, croulait en miettes entre mes doigts. Quand bien même je n'aurais rien compris du tout à ce qui est écrit dans ce livre, quand bien même je n'aurais souvenir que d'un seul mot : créatrice - ce serait assez. Ce mot fut talisman. Il me permit de défier le monde entier, notamment mes amis.
Il est des moments où l'on doit rompre avec ses amis afin de comprendre le sens exact de l'amitié. (...) >>
J'ai trop pensé à vous. Penser à moi, où cela me mènerait-il ? D'aucun lieu je me souvienne d'un nom sans griffe, fatiguée de devenir dingue pour des chemins bercés de bulles délicates et séduisantes. Il est temps de mourir et de refaire surface ailleurs, différemment, parmi un éclat de parcelles sans nom ni adresse. Morte, décédée, vieille, carcasse, à bientôt.
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