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vendredi, 04 juillet 2008
How we managed to not really date each other
Je suis toujours aussi fan des animations modestes et hilarantes de Lev Yilmaz et de sa collection Tales of Mere Existence.
Je me retrouve toujours dans ses manières d'expérimenter la vie. Cet humour est définitivement le mien.
5'37 de rires. Et pour la première fois, une voix de femme en plus de la sienne. Avec une histoire de blog... Regardez, vous allez adorer.
13:51 | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : tales of mere existence, lev yilmaz
Commentaires
Sympatoche.
(oui je sais c'est naze comme commentaire)
Écrit par : Simon | vendredi, 04 juillet 2008
J'aime beaucoup, merci pour la découverte.
Écrit par : Géraldine | vendredi, 04 juillet 2008
Ah oui! ça faisait longtemps que je n'avais pas vu ces Tales - toujours aussi bon.
(sorry you can't make it for this sunday picnic, I've got a brand new basket ;-)
Écrit par : secondflore | vendredi, 04 juillet 2008
too bad
repeat after me : my taylor is rich (mais il est où, ce putain de tailleur pété de thunes dont tout le monde me parle depuis mes 6 ans ?!! encore une légende urbaine, pfff)
Écrit par : Jen | vendredi, 04 juillet 2008
Jen, excellente idée cette petite cassette musicale...
Écrit par : La môme | samedi, 05 juillet 2008
(putain je regrette de ne pas être venue insulter les cyclistes avec toi) (mais j'étais vraiment trop mal hier poulette) on se ratrappe grave au bal des pompiers !
Écrit par : Charl' | dimanche, 06 juillet 2008
la môme : yep, je commence à bien aimer la gueule de mon blog
charl' : t'inquiète j'avais pigé, du coup me suis enfilé un cône banana split à ta santé ;)
(j'en profite pour bosser, putain vivement les vacances bis archi bis je radote je sais)
et on fait le vieux colombier cette année hein
Écrit par : Jen | dimanche, 06 juillet 2008
J'ai envie de dire que Jen, je la prends, je la retourne Jen....
J'ai toujours aimé fendre en deux les petits bobos bon-teint qui se la pètent un max.
Écrit par : Michel Fournirait | lundi, 07 juillet 2008
je suis déjà fendue en deux
pète-moi plutôt le poignet, j'aurai un congé maladie
Écrit par : Jen | lundi, 07 juillet 2008