Made in Rive droite

Il y a des chansons qu'on préférerait garder pour soi et puis, deux secondes plus tard, on se dit "merde, faut faire tourner une aussi jolie pépite !"...

J'ai tellement mal au ventre là maintenant tout de suite que je me demande si c'est bien raisonnable de continuer à travailler. Si, c'est vrai. 

Alors Duke Special, j'aime parce que ça part dans tous les bons sens, ça sent l'humain, le sincère, la beauté des choses, je ne sais pas vraiment pourquoi mais ce mec, j'aime ce que dégage sa musique. Je ne suis pas fan de tout l'album mais je vous conseille fortement "You don't slow me down", très beau titre à écouter seul.

Portrait, le titre au dessus, sonne music-hall pour grands gamins, j'aime.

Il y a aussi "Last night I nearly died", cliquez pour tomber sur le clip qui fait presque chialer mes yeux de gamine tourmentée par des cauchemars à gogo ('tain sérieux, c'est dingue le nombre de cauchemars et de réveils en pleurs que je peux faire par mois...). Mais si vous préférez (et vous auriez raison) écouter et voir ce mec jouer ce morceau en live, c'est ici...

Katerine ne serait peut-être pas ravi de l'apprendre mais je lui trouve des faux-airs avec cet excentrique tendance Greenpeace. 

Bon maintenant, au boulot, pour de bon ! 

  (Cé, n'écoute pas ! Forcément, tu vas donc écouter...)

J'offre mon coeur à la science, prenez-le, je ne peux plus le supporter, trop lourd ce tas de merde !

Devenir aussi dure et froide en amour qu'un homme trompé, voilà la solution. Se blinder, en plus, ça permet de garder toute son énergie pour sa carrière, on devient une sale conne mais une sale conne qui ne pleure plus à cause des mecs. 

(J'attends malgré tout, secrètement, celui qui saura m'aimer. M'aimer, me comprendre et plus d'un mois, d'un an, d'une vie.) 

A écouter absolument de Diabologum : Un instant précis, La maman et la putain, A découvrir absolument, Le discours de la méthode, Une histoire de Flesh, Les garçons ont toujours raison et d'autres encore que je mettrai ici, un jour, accompagnés d'une note bien plombante ! ;) 

Alors là encore... PUTAIN, SI J'AVAIS 15 ANS...!!!! J'avoue, j'a-do-re ce groupe de jeunes minets, frais, chantant, dansant, ça file la pêche. Le chanteur a des faux-airs de Dylan, je trouve, le genre de mecs qui dans 10 ans sera tout à fait mon genre (putain et moi dans 10 ans, je serai bonne pour la casse).

PS : cela dit, le fils de Dylan est nettement plus beau. Souvenez-vous... Jakob Dylan, The Wallflowers... Bringing down the Horse et son fameux hit One headlight...Putain j'avais 17 ans...

Un peu de douceur. Une reprise que j'aime beaucoup beaucoup. La version de Blixa Bargeld est excellente également, dans un autre registre (dispo sur iTunes).

Vous aussi ? Vous l'avez cette boule au ventre en écoutant cette chanson ? Parce que moi, elle aurait tendance à me rendre trop humaine et, par goût du paradoxe non prémédité, me déshumaniser. En gros, en l'écoutant, j'ai tendance à me dire que pour vivre (mal)heureux, vivons sans amour. Suis pas claire ? Ouais bon je vous donne du happy face à la prochaine...

"I write it all down but nobody reads ; you never will and it's so obscene"

Frais, nul à chier mais j'aime bien, ça me détend les fesses. 

Parce que Mike Skinner. Enlevez-lui le talent et je retrouve d'anciens potes avec lesquels j'accumulais les nuits blanches et bleues. Une époque formidable. Arrêtée au bon moment. On ne garde que le meilleur et c'était bon, bordel !

Ecoutez également Turn the page, l'une de mes préférées.

Pensées pour le petit chauve qui m'a gravé ce cd indispensable. 

Souvent en boucle dans le métro et à la maison.

Et je vous mets cette vidéo au même moment où on me harcèle à l'interphone. Certainement la canadienne qui veut se venger...