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jeudi, 14 décembre 2006
Paris la nuit, ça redevient chouette
Burger au Cab. Mon ventre ne gargouillait plus, ah ça non, il était même (trop) excessivement contenté.
Puis soirée sur place, ouais bof, pas ce soir. En revanche, toi, Thibault, pull rouge, copain de Thomas, oui toi... intéressant.
Alors je quitte le lieu avec un pote pour une balade parisienne des plus peinardes. Un pet' galerie Montpensier, un tee-shirt remarqué chez Marc Jacobs, une rangée de sapin et un tapis rouge pour accueillir nos bêtises et notre sagesse d'ivrognes amusés par la vie et ses emmerdes.
Et Mojito&Sauvignon au café Etienne Marcel. Si quelqu'un connaît le mec au bonnet rouge et noir qui chanta deux morceaux pendant l'émission pour France Cullture ou sais-plus-qui, je veux.
Oui, le mélange, ça étourdit mais c'est toujours aussi bon.
Charmante journée. Les choses évoluent. C'est chouette.
(Avant cette note, il y en avait 666 sur ce blog. Remarque gothicokid sans intérêt.)
PS : Pierric : j'ignore pourquoi mais de rien ! Le plaisir est partagé.
PS bis : Julien, Londres, ce n'est pas pour tout de suite mais je te ferai signe dans le cas contraire. J'y penserai.
Finalement, je suis heureuse de retrouver les miens sur cette plage, mes yeux perdus dans le vent (si, si, le vent), mon chien de 40 kg sur mes jambes et perdre quelques années le temps des vacances, envie d'être l'Enfant à qui il faut dire Je t'aime avec des regards, des phrases absurdes et des rires. Beauté de la vie, des gens que j'aime, des êtres irremplaçables de mon monde, jolie vie finalement. Ville grandiose, des personnes qui me touchent par leur chaleur et leurs regards tellement justes de sincérité, du boulot et l'envie, bien là, de ne plus garder le mauvais, juste le bon. De tout.
Seul caca : une tonne de taff pour partir en vacances et m'isoler sans net, sans téléphone (et oui, je le ferme, désolée, des journées rien que pour moi et mes proches), mon chien, les balades, le vent qui fait mal aux oreilles, le thé devant la mer agitée, les feux de cheminée, mes parents, la vie, l'amour, quoi. Donc, dès demain, c'est boulot jour et nuit, attention ça ne rigole plus ! (Enfin la nuit... je m'autosuggère un apéro de temps en temps voire plus, mais si, si, super sérieuse sinon. Sans rire.)
04:19 | Lien permanent | Commentaires (12)
Commentaires
Le monde nous appartient tellement que c'en est étourdissant!
Écrit par : Joli Kiwi | jeudi, 14 décembre 2006
Ben alors, tu nous as sucre la moitie de ton texte ?
Moi j'aimais bien la partie ou (je cite) "tu les enculais tous..." hihi...
Écrit par : Mademoiselle | jeudi, 14 décembre 2006
OK j'hallucine, c'est dans le texte dessous... ouuuu suis vraiment malade moi.
Écrit par : Mademoiselle | jeudi, 14 décembre 2006
J'aime te lire comme ça... simple et heureuse
Écrit par : Bao | jeudi, 14 décembre 2006
C'est Super Sérieux Sans : rires.
Oups-pardon.
Mais il faudra faire l'histoire d'un abrutissement par le travail et la famille. Tu le réinventes, certes, en un sens, mais tu parles de ça : ta patrie (c'est une Rive), ta famille, ton travail.
Pétain a beau être loin, l'avenir dure longtemps.
Mais ne va pas croire que j'aime peu ce que tu fais, hein.
Écrit par : Punkys Bandit | jeudi, 14 décembre 2006
Au fait tu pars en vacances quand , parce que sans tel ça ne m'arrange pas ,si je ne peux pas te joindre , dis moi on va alors moins entendre les " ça me saoule" " non mais ça me saoule " , ;)
Écrit par : Ik | jeudi, 14 décembre 2006
Beau texte d'une ballade sur la vie simple !!!avec cette mots basé sur la sensibilité avec cette chanson en harmonie avec celui !!!
J'ai aimé !!!
Écrit par : Cédric | jeudi, 14 décembre 2006
bne oui paris la nuit et même le jour, c'est une ville chouette!
Écrit par : yoyostereo™ | jeudi, 14 décembre 2006
Les tourments sont donc les mêmes quelle que soit la rive, quel que soit le fleuve... Ils sont attendrisaants quand ils sont ainsi contés avec la vraie sincérité qui te caractérise. tombé par pur hasard dans ton univers qui n'est (ou ne fut) le mien que par les sentiments qu'on y rencontre et non par les lieux (ben oui, pauvre provincial qui s'horrifie du tarif Coca light+chocolat chaud ratiqué au Flore. Mais bon, à cet endroit était peut être posé le cul flasque de Sartre ...a lors!). Je prends un vrai plaisir à naviguer entre tes mots, tes sentiments et tes histoires. Et puis désormais, je ne regarderai plus les branchouilles parisiennes de la même façon quand je les croiserai lors de mes WE Dijon Paris Dijon. Bordel!!!! Pleins de bisous et continie à être aussi attachante!
Écrit par : balthazar | jeudi, 14 décembre 2006
ravie de t'avoir croisée hier. la prochaien fois dites moi aurevoir. Vous vous êtes tous enfuis comme des voleurs. je sais que je fais peur mais quand même ;)
Écrit par : Kylia | vendredi, 15 décembre 2006
Je me suis coupé le petit doigt jusqu'à l'os avec une coupe de champagne. Et après, on me dit que la vie n'est pas ironique...
Écrit par : Joli Kiwi | vendredi, 15 décembre 2006
Reviens sur Paris la nuit, c'est très chouette... Sergio
Écrit par : Jen, si tu reviens | samedi, 28 avril 2007