Made in Rive droite

Ben voilà, la petite bobo déprimait, voulait un peu plus de chaleur (de tout ordre) et en avait ras le cul des cons qui supportent pas qu'on parle de soi à la troisième personne alors elle a fait son sac comme une grande, et elle prend l'avion d'ici trois heures. Destination Le Grand Bordel. Je reviendrai quand j'aurai fait assez de conneries. Quand j'aurai le cerveau tellement ravagé que j'en aurai oublié les raisons de mon départ. Et si aujourd'hui, je décide de fuguer comme une ado, c'est pour flinguer tous ces satanés doutes qui me pèsent. Alors pas de playlist déprime (enfin si, un peu quand même, on ne renie pas ses goûts) mais de la musique qui va me redonner cette envie de bouffer les connasses et les indécis dans mon genre.

Envie de faire n'importe quoi, d'avoir la tête qui tourne à en gerber sur les pieds des locaux. J'en peux plus, là, besoin d'air. Punaise, j'ai hâte d'y être... La bobo va revenir en pleine forme.

En mon absence, merci de tuer pour moi les regrets, effacez les boulettes commises comme par magie et dites à l'andalou que je suis une fille super ! Et s'il dit le contraire, alors trouvez-moi du renfort, on ira lui casser la gueule et après on ira se saouler comme des putes ! De toutes façons, je savais bien qu'il fallait se méfier des mecs de 35 ans, ils vous chantent un amour inconsidéré et finissent par gerber sur votre literie ! Du coup, vous finissez par perdre raison et vous demandez pourquoi le kiné de Cé est finalement le mec le plus fiable du moment alors que personnait ne misait sur lui !

Putain de bordel, je vais y arriver, vous verrez, le bonheur aura ma peau, j'y arriverai putain de bordel de merde, je vais tous les niquer à mon retour : ouais, toi, la vilaine de l'autre fois, je veux plus voir ta gueule de vieille bouffie Pimkie. Et toi, évite de me faire perdre mon temps, le mien va devenir précieux, ras le cul d'être patiente. Quant à toi, si tu ne m'aimes pas assez, t'en fais pas pour moi, mes larmes serviront à nettoyer la bassine bolognaise. Quant à l'ex que je soupçonne de me lire depuis peu, toi, je te souhaite tout le bonheur du monde dans ton deux pièces cuisine avec bobonne. Et vous, lecteurs fidèles, vous je vous ai aimés, détestés, ignorés, vomis et maintenant, je vous laisse juges, une fois de plus. 

Si j'aime un peu trop fort, bouchez-vous les oreilles !  

Musique que j'écouterai en boucle dans quelques heures, pendant le décollage, en oubliant les choses qui font trop couler trop d'encre dans mes carnets et en retrouvant ma bitch attitude, "j'me la pète et je t'emmerde" :  I_Am_Somebody, DJ Mehdi.

A bientôt ! Retour d'ici une semaine, si les locaux m'ont suffisamment divertie. 

Message perso : Faire dans la nuance, ça n'a jamais été mon fort. Encore une preuve de mon amour sarkozyste, que veux-tu! ;))

Message imperso : Même pas envie de revenir pour être honnête... 

Un peu floues, ma tête, ma vie, en ce moment. 

Plus qu'à l'accoutumée, le sentiment d'avancer sans savoir pourquoi. Ce qui me rend perplexe, c'est que cette sensation m'apaiserait presque. En temps normal, j'angoisse pour tout. Là, je ne sais pas, j'ai comme envie de sauter dans le vide. Ma vie ici commence à prendre son sens, tout doucement, et peut-être l'idée de savoir quelle direction prendre me déprime.

Hier, je déjeunais dans un resto près de chez moi. A la fin du repas, la personne qui m'accompagnait s'est éclipsée quelques minutes. Assez de temps pour constater quelque chose... Face à la rue, accoudée sur la table, j'observais la boutique d'en face et les passants. J'observais les personnes qui bossaient dans cette boutique plutôt chic. Cette boutique, sans vie, et ces passants, qui donnent le contraste. Et là, j'ai réalisé que ma vie serait une sorte d'instantané en noir et blanc, joli, propret, comme il faut, mais comme endormi. Sans doute gagnerais-je mieux ma vie, ma vision serait moins radicale. Ou peut-être pas. Toujours est-il que je trouve tout cela trop facile. 

Je crois que j'ai besoin de m'évader un peu, des vacances. Du soleil. Loin de toutes mondanités. Marre de donner des nouvelles aux gens. Marre d'entendre toujours "Quoi de neuf ? Comment vas-tu ? Et tes amours ? Et ton taf ?" Marre de répondre les mêmes choses. Marre également de croiser des têtes qui me donnent envie de rire jaune. Marre de certaines mascarades. Marre d'y participer. Parfois.

Oui, vraiment besoin de vacances. Envie de me la couler douce. Je crois bien que ma vraie nature me revient en pleine face... Faire_des_ronds_dans_l'eau.

Lundi. Journée "Je remplis les missions que j'aurais dû accomplir vendredi". 

Alors je vais enfin contenter Damdam qui bouillonne de ne pas voir ma note sur son putain de cadeau "crâneuse attitude". Bon ok, j'avoue, ça fait au moins deux semaines que j'ai reçu le petit présent à 129 € mais bon, je voulais faire des photos pour faire genre "je l'ai et pas vous" mais l'andalou a gardé mon cordon d'appareil photo donc c'est de sa faute, merde. Bon ouais, j'abuse mais merde. 

Bon alors, qu'est-ce que j'ai bien pu recevoir comme cadeau pour pseudo influenceurs... Un lecteur MP3 Samsung, et oui ! Alors je fais ma vendue mais honnête, hein, faut pas déconner non plus. En fait, le YPZ5F, c'est comme le nano sauf qu'en plus, il fait dictaphone et que vous n'avez pas besoin d'acheter un cordon supplémentaire pour écouter la radio. Donc je peux écouter FIP aux Tuileries avec et raconter mes impressions sur les couples qui me donnent envie de dégueuler en direct live. Juste pour pas oublier que j'ai eu autant de haine ce jour où il m'a dit que se projeter, bah c'est nul à chier parce que ça fait rien qu'à le faire fuir. Ok, noté. (Cela dit, se projeter un tant soit peu, c'est TYPIQUEMENT FÉMININ, c'est ma nouvelle excuse pour tout.)

Moi, ce qui manque un peu, c'est le miroir de mon nano, c'est tout de même bien pratique pour vérifier si je n'ai pas un morceau de salade coincé entre les dents. Ca la foutrait mal devant ce jeune homme si charmant des Tuileries. Non, parce qu'un jour, je lui parlerai à ce dandy hauntain. Si, si. Quand j'aurai décidé que me projeter, finalement, c'est pas si grave. Bon mais pour l'instant, je ne me projette plus, j'écoute Arthur H sur FIP, ça me détend les fesses et je suis toujours amoureuse de l'andalou. Même si j'ai perdu 3kg d'eau (les larmes, rien de mieux pour maigrir) à cause de son silence radio pendant quelques jours. Faut pas croire, j'ai besoin d'énormément d'attentions, moi, comme Merdocu.

Bon alors voilà, j'ai fait style je fais de la pub mais en essayant de faire genre je parle quand même de ma life mais surtout, j'ai essayé de parler de ce que je n'osais point jusqu'ici de peur que l'andalou le prenne très très mal. Oui parce qu'il est, comment dire, overstressed en ce moment. Normal. Alors ajoutez une connasse qui a besoin de se sentir un peu importante (bah ouais, juste un tout petit peu, juste savoir qu'on tient un peu à moi quand même, un tout petit peu) et c'est la fin des haricots !

Bon alors, vous avez compris ? Le lecteur YPZ5F de Samsung est un joli cadeau à (s')offrir. Il existe en rose, je dis ça comme ça...

 Bon et maintenant, j'aimerais beaucoup beaucoup BEAUCOUP que Vanessa Bruno se mette à offrir des jolies robes pour pétasses comme moi... Allez, merde !

Donc pour résumer : CONSOMMEZ. Ou CONSOMMEZ PAS. Faites ce que bon vous semble. Rien à foutre des kékés dans mon style qui acceptent les jolis cadeaux pour en parler sur leur blog. ON S'EN FOUT ! Mais malgré tout, le lecteur est chouette, vraiment.

 Et là, je fais pas ma connasse, MERCI chouchou d'avoir pensé à moi (même si tu m'as dit que j'avais eu la grosse tête à un moment et que c'est rien que des conneries !!! Et embrasse le charmant timide de chez Heaven pour moi... ;p)

Et pour résumer le reste du but de cette note (c'est pas clair mais si, quand même) :

 恋愛レッスン (pour faire simple, comme toujours)

Mais non. 

"Journaliste pour l'mission confessions intimes, je voudrai m'entretenir avec vous car je prépare un reportage de 20 minutes sur le fièvre acheteuse. pouvez vous me contacter. voici ma proposition de reportage valable jusqu'au 31/12/06 pour l'émission confessions intimes diffusée sur tf1 sur la thématique: de la frénésie d'achat vous acceptez, vous et votre entourage , de faire l'objet d'un reportage de 20 minutes sur tf1 dans le cadre de notre émission. vous vivez l'une des situations suivantes: -vous dépensez de l'argent même si vous êtes fauché. Vous ne pouvez pas vous empêcher d'acheter. c'est plus fort que vous! Votre conjoint vous le reproche souvent -vous faites du shopping dès que vous avez une déception amoureuse, des difficultés passagères.... Votre entourage, vos amis trouvent cela excessif et vous le disent souvent. -Vos armoires sont pleines d'habits, de chaussures... votre salle de bain regorge de produits de beauté.... vous ne pouvez pas vous contenter de regarder les vitrines, vous êtes atteint de fièvre acheteuse. Votre conjoint ne supporte plus votre comportement et vous le reproche souvent. Vous voulez essayer de comprendre ce comportement et voulez trouver une solution. Grâce à un thérapeute au cours du reportage, nous vous proposons de prendre conscience de votre problématique, de comprendre les circonstances qui l'occasionnent."

Rien à voir : il n'y a que moi qui trouve que Parisot a des faux airs de Sagan ?  

Ca ne va pas du tout du tout : voilà plusieurs jours que Yahoo astrologie refuse de me donner mon horoscope du jour, c'est atroce ! Comment je vais faire pour savoir quelle couleur porter, à quelle heure je ferai une rencontre décisive et surtout, comment je dois me comporter avec mon entourage !!!

Aujourd'hui, je conchie Yahoo, Ruquier, les ouvriers d'à côté (j'en peux plus de leurs travaux), mon facteur qui ne m'apporte pas de nouvelle tablette Lindt, la nana de la réu qui ne me répond pas (ben ouais, j'ai dit que j'avais un empêchement, normal, je ne sais pas si c'est une bonne idée d'aller Pont de Neuilly, Yahoo me l'a pas dit), la nana de Paolo Nutini, toutes les nanas qui en ce moment même sont dans les bras de leur mec, les Allemands, les Anglais, mon bordel, mon imprimante, l'encre Epson noire, mes rides, mes leggins en laine (ça bouloche, c'te merde), l'ongle de mon index droit, Curator of silence, Kousmichoff, mes parents, tout le monde !

J'ai plus que les copines névrosées pour gueuler ! Putaiiiiiiiiiiiiiiiiin, je hais je déteste ces jours qui précèdent les règles, je déteste ce ciel gris, je déteste l'idée qu'aucun mec m'attend au Flore, je déteste tout et tout le monde ! J'en ai marre, j'veux du soleil, comme dirait Au p'tit bonheur, je voudrais me dorer la pilule sur une plage déserte, avec juste des clones de Jude Law un peu partout, et juste moi. Et de la putain de bonne weed qui me fasse planer, des coca light avec plein de glaçons et une taille 34 et... Tiens, on dirait comme du soleil. Là, ça ressemble à une éclaircie. Peut-être le moment de fermer ma gueule. Godiche s'en va dépenser son pognon imaginaire.

Ouais, super, fait encore plus gris tout d'un coup. Putain... Envie de me casser au bord de la mer. Pourquoi j'ai pas mon permis?!! Le vieux Mry a raison, ma mère aussi, c'est un peu de liberté de pouvoir polluer encore un peu plus la planète. Faut que je retrouve ce cd rom du Code... acheté il y a trois ans, toujours dans son emballage.

Conclusion : Règles = colère = libido = frustration = spliff = faites pas chier. 

Je crois que je leur ressemblerai, finalement. A la trentaine, je me trouverai pas si mal, finalement.

Je me demande à quel âge je devrais m'inquiéter. Pour de vrai.

N'avoir aucune ambition, est-ce grave ?

Faut que je me refasse une frange avant vendredi.

Je devrais arrêter le saumon, j'ai un bouton de merde sur le menton.

Ca me fait chier, cette réunion demain soir.

J'aurais pas dû grignoter cette tablette de chocolat arrivée ce matin dans ma boîte aux lettres. Demain j'aurai un autre bouton, à gauche.

Merde, c'est vraiment la honte si je dis aux copines que j'ai envie de me faire une injection de quelque chose dans mes rides du cou...

Je ne sais pas quoi porter pour cette photo... J'aimerais bien avoir l'air "grande" pour une fois.

J'aime bien grater ma mouille séchée sur sainte Rita, gratter avec mon index.

Suis vraiment une souillon.

Je suis vraiment dégueulasse de ne pas répondre aux nombreux messages de Z. Suis vraiment une garce.

C'est dingue, moi, à sa place, je ferais la gueule.

Parfois, je me dis que la sale gamine que j'étais ne s'est pas tellement éteinte, finalement.

Les malheurs de Jen.

On blesse toujours son entourage, un jour ou l'autre. On déçoit. On peut même tout faire pour.

Je ne culpabilise même pas.

Pas envie d'avoir mauvaise conscience. Merde.

Faut que je fasse gaffe avec mon hygiène manichéenne de vie.

Ok, je bois quasiment plus, c'est déjà pas mal. Ca ne me manque même pas, en plus.

Mais quand même, c'est sympa d'être un peu ailleurs.

Qu'est-ce que je me ferais chier dans un environnement extra-sain.

Je deviens de moins en moins hypoCONdriaque. C'est bien. Bizarre mais bien.

Ils ont raison, on dirait que je vieillis.

Ouais enfin je vieillis un pet' à la main.

Autant garder le cierge, qui sait ce qui m'attend !

Fabius me fait penser au docteur Mengele. Sais pas pourquoi mais je l'imagine très bien faire des expériences sur des foetus.

Je devrais arrêter de regarder les titres avant de m'endormir.

En fait, je devrais essayer, un jour, de me casser loin, longtemps. Le courage de laisser son train-train quotidien pour voyager, dormir avec des cafards volants et bouffer du chien et finir dans un champ avec une chiasse monumentale.

Pfff, n'importe où, au bout de quinze jours, le connard de la librairie jaune me manque. C'est vrai, je ne sais vraiment pas ce que je veux dans la vie. Je dis toujours tout un tas de trucs puis le lendemain, je me replonge dans mon cocon.

Je vois pas pourquoi on pourrait pas ne pas avoir d'objectif dans la vie, tout ça n'a tellement pas de sens.

Putain faut que je boive de l'eau. J'ai super soif. Mais ce cul, plombé dans la gueule de mon ours. 

Suis bien, là. Objectif Ramper jusqu'au lit. 

Tiens, je voulais parler de Confessions Intimes... Tant pis, ce sera pour demain. 

Alors moi, aujourd'hui, je dis que les mecs, ils comprendront jamais rien avec leur esprit étriqué et aveuglé par leur testostérone de merde. Ils nous prennent pour des mantes religieuses, pensent qu'on veut tout (en même temps, pourquoi se contenter des miettes, ils n'ont qu'à racheter du pain complet, on veut pas des restes !), crient à l'indépendance aussitôt le second Je t'aime chuchoté et nous culpabilisent dès qu'on trouve un mec trop sympa.

Alors je propose une chose : vous, les couilles, demandez-vous deux secondes, objectivement, comment votre mère a supporté votre père pendant si longtemps. Demandez-vous pourquoi vos ex sont allées voir ailleurs, interrogez-vous sur la nécessité d'ouvrir son coeur de pierre de temps en temps.

Je ne veux pas (trop) de cynisme, encore moins d'égoïsme à outrance : envie d'être heureuse, moi, merde !

Alors l'andalou, que ce soit clair, vous ne vous défoulez pas sur lui parce qu'il n'est aucunement question de "j'ai besoin de prendre l'air" ou de conneries dans le genre. Mais un conseil à tous les mecs comme l'andalou qui veulent vivre leur amourette au jour le jour sans se soucier un seul instant que la nana à côté puisse à un moment se demander si elle n'est pas la bonne poire qui paye les pots cassés, alors vous, faites bien gaffe parce qu'à jouer au plus solide, au plus indépendant, au plus "moi je connais la vie, fais-moi confiance et ne te donne pas trop, tu souffriras", et bien vous, un jour, vous risquez de vous retrouver seul et malheureux comme la pierre.

Les mecs, ce soir, je les aime mais j'ai quand même envie de les enculer, juste pour leur donner un petit goût du 10ème qu'ils nous font vivre parfois.

My love, si tu me lis : l'indépendance, ça se paie ; la connerie aussi. Je travaille l'indépendance, travaille le sentiment et composons...

Amoureusement (juste pour qu'il ait de bonnes raisons de flipper après j'arrête),

Une fille entière.

Bande son : Les hommes c'est pas des mecs bien, Grand Popo Football Club / Le bonheur, Katerine.

Une merde bipède qui déambule dans un appartement trop petit pour elle.

Incapable de me concentrer. Incapable de bosser sur ce papier, à rendre demain.

Et toujours la gerbe, envie de vomir un tas de peines.

Solution de la fille qui se sent aussi seule que triste et malheureuse : le cinéma.

Alors on ressort pour la énième fois When Harry met Sally et on pleure.

Puis on se dit qu'on est plus forte que ça, merde. Alors on met son autre film fétiche : The Royal Tenenbaums.

Et finalement, on pleure encore plus. Parce qu'on est aussi seule que ces putains de personnages si attachants.

Alors on met de la musique, on essaie de résister à l'appel des mélodies et des voix mélancoliques mais on y arrive pas tellement longtemps. 

On finit en merde neurasthénique perméable sur These Days.

Dimanche heureux. 

Je l'écris pour essayer d'y croire... je  vais virer Nico pour Cassius, assomméee, j'arriverai peut-être à travailler. Il faudra bien. 

Pourquoi je peux jamais tomber sur quelqu'un de plus simple que moi ?... Parce que je me ferais vite chier. Le silence n'est pas toujours d'or. 

Mon dernier gros coup de coeur : Paolo Nutini. 

Forcément, quand j'entends Jenny Don't be hasty, je ne pouvais pas passer à côté... Mais alors quand je découvre Last Request ou encore Autumn, je deviens miel : ce tout jeune mec (19 ans) a une voix à faire planer un éléphant, incroyable, j'aime l'album entier, pas un titre qui ne me saoule vraiment (peut-être New Shoes à la limite). Vraiment, allez-y sans douter, Paolo Nutini (écossais) est un bonheur pour le coeur et les oreilles.

Cerise sur le pudding, il est d'une beauté à me couper le souffle (un peu à bout ces temps ci), me fait penser à Jeff Buckley (et oui, toujours lui) pour le son et la - super méga belle - gueule qui me font vibrer.

Message à Thomas Clément : au lieu de tomcaster Elodie Frégé, débrouille-toi pour l'interviewer lui et surtout, préviens-moi avant, et fais-moi passer pour ton assistante de 20 ans !

Pour ceux qui se demandent à quoi peuvent ressembler les costards polonais des libidineux d'hier soir...

Photo : Jean Pierre Attal, Modélisation du stereotype urbain.