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mardi, 26 septembre 2006
Deux jours chez ma mère...
... et aussi crevée qu'un marathonien en ligne d'arrivée. Ma mère ayant eu le bonheur d'être tirée au sort pour être jury pour un procès, je me suis vue dans l'obilgation de retourner chez elle pour jouer la dog sitter. Crevant. J'ai l'impression de passer ma vie à promener cette boule de poils. Franchement, travailler est nettement moins épuisant.
Mais surtout, j'ai encore gagné une cystite. RAS LE BOL. Donc réveil à 6h30 pliée en deux, Advils en attendant l'ordonnance... Et là, surprise, le médecin me donne une solution ô combien à chier : si je somatise et qu'une fois de plus on constate qu'aucun germe n'est à déclarer après résultat des analyses d'urines, alors je devrais envisager de prendre du Zanax ! Non mais je rêve...
Cela dit, ma petite boîte de Lexo cachée au fond du tiroir de la cuisine va peut-être me resservir... mais ça m'emmerde. Pas envie de m'habituer à cette merde. Mais quand je compte le nombre de cystites déclarées en six mois, j'hésite... A voir.
En attendant, je suis crevée, vannée, j'ai mal au crâne (et les connards d'ouvriers qui continuent leurs coups de marteaux et de je-ne-sais-pas-quoi à 19h52, grrr) et je réponds à personne au téléphone. Donc si les copines me lisent, désolée de faire la morte, la pouffe mais pas du tout envie de parler, vraiment fatiguée. Et encore désolée d'annuler tous nos rendez-vous. Je me rattrape bientôt, promis.
Et dire que je dois prendre le train demain et que tout le monde me demande de partout, tant au niveau pro qu'amical... ça craint si je prends que le pro ? Les potes peuvent patienter, merde. Trop de trucs à penser, trop de choix à faire, pas facile. Mais je ne me plains pas, je suis contente, il se passe plein de bonnes choses pour moi, c'est cool. Faut juste que j'arrive à tout gérer tout en gardant une bulle d'air quelque part.
19:57 | Lien permanent | Commentaires (39)
lundi, 25 septembre 2006
Note éphémère finalement intitulée M6 mon partenaire minceur
Je reviens de la salle de bains. J'ai rincé. Rincé les trois putes qui se léchaient les seins et miaulaient comme moi. Copieuses ! J'ai rincé le connard qui ressemble à un acteur Un Dos Tres, j'ai rincé sa bite pénétrant le cul de cette rouquine de province. J'ai rincé ce que gode a fait. Première fois : j'ai jouis en même temps que des acteurs de série B Z X. Putain ce silicone solitaire qui vous baise, ce silicone guidé par la meilleure main qui soit, en temps de pauvreté sexuelle, God que c'est bon. Et voir son visage de sainte rougi par le péché, trouver son teint rajeuni par le plaisir à une, j'ai honte mais j'aime.
Violent retour à la réalité. Se rincer de ses péchés et voir un vrai visage angélique et profond vous regarder et vous demander : "Dis, toi la dame enceinte, pourquoi tu fais ça toute seule ?"
Penser à rentrer chez les parents le dimanche soir. Eviter ainsi les mauvais réveils post-rinçage de minou sexacerbé.
01:30 | Lien permanent | Commentaires (19)
dimanche, 24 septembre 2006
Le charme français
12:40 | Lien permanent | Commentaires (18)
samedi, 23 septembre 2006
On prend les mêmes et on recommence...
Si je dis que j'arrête de boire, je reste crédible ?
PS : Les filles, je vous jure que je ne faisais pas semblant à la fin !!! Je sais pas pourquoi j'ai dit feindre... Je trouvais le terme joli surement... ;)) Merde, je peux pas feindre une gueule de fantôme quand même !12:46 | Lien permanent | Commentaires (6)
vernis rouge soirée putasse je vous emmerde je l'aime
Oreilles qui bourdonnent.
Champagne qui coule à flot dans mes veines, j'me demande comment j'arrive à maintenir le cap. Je ne le maintiens pas.
La lutte pour me déshabiller. tombée deux fois.
Tous ces mecs, toute cette drague, non.
Sous coke, je tenais tellement mieux.
Maintenant, je feins de tomber dans les pommes. Je deviens une petite nature.
Juste envie d'être sur un matelas posé à terre.Juste envie d'un homme alors que 36 000 extrémistes nous tombaient dans les bras.
Je vais me remettre à la merde. Ou je retrace 500 bornes.
J'avais 14 ans ce soir. Et pourtant...
Ce soir, mon andlou dormait avec l'un de ses bébés et moi je batifolais comme une pétasse; ok c'est bête, , chacun à sa place mais ma placce, là tout de suite, je la veux dans ses bras et pas au milieu d'une foule de crevards qui bandent dès qu'on dit 2/3 trucs qui, comme je sais et aime jouer avec, vont les faire bander. Je relis pas, grammaire orthigraphe et tout bidon, juste je ne me sens plus à ma plce dans la horde de gabriels baiseurs, je veux juste un gabriel et il s'appelle reste.
je me couche avant de dire des choses que je pourrais regretter, je peux pas relire mais je vous emmerde mais toi je t'aime, je le sais, aujourd'hui c'est bon, moi je sais ce qui me convient et je sais ce qui me fatigue. J'étais blanche, livide, besoin d 'air, je suis sortie, partie. Fatigue aidant, j'ai peiné à retrouver teint rosé. Je dis n'importe quoi, vous comprenez rien, je fais surement plein de fautes mais je peux pas relire mais juste je voulais dire eà mon andalou que je ne peux pas : fianlement si, ça me fait plus mal au cul, j'ai besoin de toi et tant pis si ça te fait peur. Je veux plus de tout ça... je veux juste toi.
désolée je corrige demain
Dimanche 24 : tout corrigé ;) En relisant, je me dis que non, j'ai besoin de personne enfin si mais pas devenir dépendante. Car le jour où ça s'arrête, on se retrouve manchotte.
03:40 | Lien permanent | Commentaires (9)
vendredi, 22 septembre 2006
Les Allemands on débarqué et je les déteste, ces enculés !...
Aujourd'hui, j'ai mes règles que je n'attendais plus, il pleut comme vache qui pisse et j'ai des yeux encore plus globuleux qu'un poisson hors de l'eau. Donc, avant que mes mauvaises habitudes me reviennent en pleine gueule, quelqu'un pourrait-il me dire pourquoi... plus je vieillis plus mes règles sont douloureuses et me foutent le cafard ?
Merde, c'est dingue, à chaque fois, ça me rend maussade au possible ; à ce train-là, à l'heure de la ménopause, je me foutrais sous un train !
Donc cette note s'adresse aux filles : vous n'avez pas des remèdes pour l'anti-coup de blues mensuel parce que là, j'en ai ras le bol... En plus, elles deviennent complètement désordonnées. Mais heuuuu, j'aime pas être une fille !!!
Et le mec qui me dit que c'est gore, je lui envoie mon tampax regular en pleine bouche, gros con !!!
11:57 | Lien permanent | Commentaires (51)
mercredi, 20 septembre 2006
Spéciale dédicace
Parce qu'autour de moi, tout le monde ou presque se lamente : célibat ou vie de couple, c'est trop dur,
parce qu'il y a encore trois mois, je pouvais trinquer avec mon miroir,
parce qu'il vaut mieux en rire,
parce qu'il existe la main en attendant,
parce que quelque part, j'ai encore une vie de célibataire en habitant à 500 bornes de l'andalou,
parce qu'on est tous dans cette galère un jour, un mois, une année ou simplement trop longtemps dans sa vie...
Allez, suicide collectif ce soir !... Trentenaire_Et_Celibataire.
Non, je déconne : masturbation collective ce soir et demain, et après-demain et... et... en attendant "l'autre".
Message perso à l'andalou : promis, cette note ne contient aucun message subliminal, je ne suis pas prête à faire caca pendant que tu dors dans la pièce d'à côté. Donne-moi deux ans et trop de mois pour réussir à assumer une gastro chez nous !
photo de Nicolas Wilmouth_ série Insomniak
20:40 | Lien permanent | Commentaires (37)
mardi, 19 septembre 2006
Preum's !
20:39 | Lien permanent | Commentaires (21)
lundi, 18 septembre 2006
Nouveau chapitre
Je suis comme les sales gamins : j'apprends de mes grosses conneries.
Après avoir joué de diverses ruses pour tenter le diable, après avoir laissé ma peur et ma paresse me dévorer, après avoir dit oui puis non trop facilement, j'ai reçu la claque que je méritais. Que je désirais, au fond. J'ai compris.
Je me suis brûlée les doigts mais pas les ailes. Maintenant, je suis prête. J'accepte de grandir. J'accepte la puissance de mes émotions que je gèrerai désormais au mieux pour ne plus avoir à souffrir et à gâcher les moments de bonheur qui s'offrent à moi. Je décide de prendre ma vie en main, enfin. Je relève la tête, je sors de la facilité tant adorée des faibles. Je souris et je cesse de ne voir que les parties sombres de mes expériences passées.
Je ferai de ma vie un beau recueil de souvenirs...
Ne plus jamais avoir de regrets. Aussi doux peuvent-ils être, les regrets ne sont que rires jaunes et cynisme de pacotille lorsque je regarde les miens en face. Fini l'angoisse de tout, ma vie ne sera qu'un enchantement perpétuel sous conditions : patience, désir, acceptation de soi. Je ne veux plus fuir.
Attention, je ne suis pas dingue, je me connais assez pour savoir qu'il y aura toujours des périodes de doute intense dans ma vie, mais je saurai en sortir le meilleur. J'essaierai pour de bon.
La vie n'est faite que de rencontres qui déterminent ce que nous devenons. Toujours en évolution, jamais aigrie. Je ne veux pas devenir comme certaines personnes que je croise : malgré elles, ces "asphyxiés" m'indiquent les chemins à ne surtout pas prendre.
J'ai envie d'aimer, j'ai envie de croire en moi et je continuerai à emmerder quiconque ça déplaira.
Ne rien attendre de la vie, la piller de tous ses biens (faits) avant qu'elle ne vous consume.
"Tous les dragons de notre vie ne sont peut-être que des princesses qui attendent de nous voir heureux ou courageux." Rilke
A celui qui m'a dit un jour "La vie est un spectacle" et à qui je dédie cette note, je réponds :
_ "Et ce sera terrible !".
La pluie fine que j'imaginais restera fine et vivifiante...
Sur ce, j'arrête l'ambiance épitaphe et je vous laisse vivre !
18:47 | Lien permanent | Commentaires (22)
dimanche, 17 septembre 2006
Pause
08:23 | Lien permanent | Commentaires (15)