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lundi, 03 avril 2006

Next !

Je suis comme les cerisiers en ce moment. En fleurs. Je ne bourgeonne pas au sens dermatologique du terme, ça non. Mais j'ai à nouveau envie de pleins de mecs, la targetisation reprend, vive le printemps ! (j'ai même changé mes critères, enfin un tout petit peu...)medium_cerisierenfleurs.jpg

Commentaires

ils ont le droits d'avoir 500 grammes de plus ? voir même 1 kilos ? ;)

Écrit par : schuey | lundi, 03 avril 2006

Et même qu'elle a 1kg en moins la belle... Bravo !
:)

Écrit par : Tatiana | lundi, 03 avril 2006

ah non, sur le poids, je reste ferme (cest le cas de le dire).
Enfin ça dépend en fait, mais c'est surtout au niveau de l'âge que je change et aussi au niveau du style... oui enfin bon voilà, je m'ouvre juste aux horizons que je refusais de voir auparavant...

Écrit par : Jen | lundi, 03 avril 2006

ouh ben je vais me cacher dans les wc moua :)

ppC, blogging for pleasure.

Écrit par : ppC | lundi, 03 avril 2006

âge et style? des vieux en pantalon de velours côtelé? c'est ça?...

Écrit par : sharky | lundi, 03 avril 2006

@ Sharky : mais c'est moi ça que tu décris lol ! !

Écrit par : dfromparis | lundi, 03 avril 2006

Moi je te conseille "le jeune", valeur très tendance en ce moment, pas chiante et facilement recyclable...

Écrit par : Valentin | lundi, 03 avril 2006

bah alors tu as trouvé?

Écrit par : Frogita | lundi, 03 avril 2006

Ah t'arrêtes les Mikado?

Écrit par : bertrand | lundi, 03 avril 2006

héhé, j'ai hâte de connaitre les nouveaux critères !

Écrit par : blonde attitude | lundi, 03 avril 2006

si tu savais...

Écrit par : Jen | lundi, 03 avril 2006

Je suis LE nouveau critère

:-P

Écrit par : Samy, rive gauche... de la Marne | lundi, 03 avril 2006

Si tas besoin de conseils n'hésite pas, j'ai une licence en "j'élargis l'horizon des possibles mai je reviens toujours basiques ; aux valeurs sûres" ...

Écrit par : La fée envieuse | lundi, 03 avril 2006

Conditions en vigueur au 1er janvier 2006

La fiscalité du compte de titres




La fiscalité des dividendes d'actions et intérêts de parts sociales

Depuis le 1er janvier 2005, les dividendes d'actions françaises, les dividendes d'actions étrangères conventionnées et les intérêts de parts sociales n'ouvrent plus droit à l'avoir fiscal.
En contrepartie, ils bénéficient :
- d'un abattement de 40% du total des revenus perçus hors PEA,
- d'un abattement général de 1525 pour une personne seule et 3050 pour un couple marié,
- d'un crédit d'impôt égal à 50% du total des revenus, y compris ceux du PEA, dans la limite de 115 pour une personne seule ou 230 pour un couple.
L'intégralité des dividendes d'actions et intérêts de parts sociales perçus hors PEA sert de base au calcul des prélèvements sociaux déduction faite des droits de garde..

Exemple
Soit un couple marié ayant perçu en 2006, des dividendes d'actions :
- sur compte de titres ordinaire, pour un montant de 10 000 .
- sur PEA, pour un montant de 2 000 .
et ayant acquitté 100 de droits de garde.
Application de l'abattement de 40% : 10 000 x 40% = 4 000 -> il reste donc 6 000
Application de l'abattement général : 6 000 - 3 050 = 2 950 soumis à l'IR.
Crédit d'impôt = (10 000 + 2 000 ) * 50% = 6 000 plafonné à 230 imputable sur l'impôt sur le revenu ou remboursable.
Ce crédit d'impôt concerne les revenus distribués en compte de titres ordinaire, comme ceux perçus dans un PEA. Les revenus du PEA doivent désormais être indiqués, dans le cadre de ce crédit d'impôt, sur la déclaration d'ensemble des revenus. Le cadre fiscal PEA est toutefois conservé.
Montant soumis aux prélèvements sociaux = (10 000 - 100 ) = 9 900


La fiscalité des plus et moins values

La règle du seuil de cession
Si le montant total des cessions d'actions, d'obligations ou d'OPCVM, quel que soit le support, ne dépasse pas 15 000 , le déclarant est exonéré de la fiscalité sur les plus-values. Il est à noter que la prorogation fait tourner le compteur des cessions.
Passé ce seuil, les plus-values sont imposées au 1er euro. Le taux d'imposition est égal à 16 % + les 11 % des prélèvements sociaux (CSG, CRDS et PS).
Les moins-values compensent les plus-values de même nature. On peut les reporter durant 10 années.

Exemple de report des moins-values
L'année N, vous réalisez 2 200 de moins-values. L'année N+1, vous dépassez le seuil de cessions de 15 000 . Vous êtes imposé sur vos plus-values qui sont de 1 500 par exemple. Vous pouvez donc, l'année N+1, reporter 1 500 de vos moins-values de l'année N. Il n'y a alors pas d'imposition sur l'année N+1. Puis les années N+2 et N+3, vous ne dépassez pas le seuil de cessions. En revanche, l'année N+4, vos cessions atteignent 15 000 pour 1 000 de plus-values. Il vous est encore possible de déduire les 700 restant de l'année N des 1 000 . L'imposition se fera sur 300 .

L'abattement progressif selon la durée de détention
A compter du 1er janvier 2006, il sera appliqué aux plus-values des actions, parts ou droits de sociétés européennes, un abattement d'un tiers par année de détention à partir de la sixième année. Cet abattement conduit à une exonération complète si les titres sont détenus pendant 8 ans.
Pour les titres acquis avant le 1er janvier 2006, la durée ne sera décomptée qu'à partir de cette date. En pratique l'abattement ne commencera donc à s'appliquer qu'aux cessions réalisées après le 1er janvier 2012.

Lors d'une cession les dates d'acquisition seront prises en compte selon la règle du "premier entré premier sorti".

Exemple
Achat de 100 Michelin en 2006, puis 200 en 2010 et cession de 150 en 2016.
Sur les 150, les 100 premiers seront considérés comme acquis en 2006 et bénéficieront d'une exonération totale et les 50 derniers seront considérés comme acquis en 2010 et bénéficieront d'un abattement d'un tiers.
A noter qu'à partir de la sixième année le même abattement sera appliqué sur les moins-values. Ainsi les moins-values à imputer sur les plus-values seront retenues pour leur montant, diminué du même abattement pour durée de détention que celui s'appliquant aux plus-values.

Cet abattement n'impacte que l'impôt sur le revenu. Les prélèvements sociaux resteront acquittés sur la totalité des plus-values réalisées.

Le contribuable doit être en mesure de justifier de la durée de détention des titres et du caractère continue de cette détention :
- Avis d'opération ;
- Relevés de fin d'année, notamment celui de fin 2005 pour la prise en compte des titres acquis avant le 1er janvier 2006 ;
- Éventuellement autre document précisé par décret.


La fiscalité du PEA



Elle est variable en fonction de la durée de blocage des fonds.
Retrait Taux d'imposition Contributions sociales Clôture (*)
Avant 2 ans 22,5% 11% oui
Entre 2 et 5 ans 16% 11% oui
Entre 5 et 8 ans 0% 11% oui
Après 8 ans 0% 11% non

(*) "oui" signifie que la clôture est effective lors d'un retrait


Imputation des Pertes sur PEA ouverts depuis plus de 5 ans



Depuis le 01.01.2005, les moins-values constatées lors de la clôture d'un PEA de plus de 5 ans seront sont imputables sur les plus-values réalisées au titre des cessions de valeurs mobilières effectuées hors PEA sous réserve de la cession totale des titres.

La fiscalité sur les intérêts d'obligations



Le contribuable a le choix entre deux types d'imposition quant aux coupons relatifs aux obligations. Il peut opter pour le Prélèvement Forfaitaire Libératoire, ce qui lui donnera un taux d'imposition de 16 % (PFL) + 11 % (contributions sociales) soit 27 %. Il peut également choisir d'inclure ces intérêts à ses revenus de capitaux mobiliers dans sa déclaration.
Ce choix dépend de sa tranche d'imposition.

La fiscalité appliquée aux OPCVM



OPCVM de distribution : c'est le principe de tranparence fiscale qui s'applique : les revenus versés par la SICAV ou le FCP est imposé selon sa composition (actions, obligations, françaises ou étrangères,. ..).

OPCVM de capitalisation : pour les SICAV et FCP gérés selon le principe de la capitalisation, les dividendes et intérêts issus des valeurs mobilières détenues ne sont pas distribuées aux porteurs de part, mais viennent augmenter la valeur de chaque part. Ainsi ces OPCVM ont le même régime fiscal que des actions et les obligations concernant des plus-values.

L'impôt de bourse



L'impôt de bourse est égal à 0,30% du montant de la transaction, avec un maximum de 610 et un abattement de 23 . La fraction du montant de l'ordre, supérieur à 153 000 est de 0,15%. Une opération prorogée d'une liquidation à une autre fait l'objet d'un impôt de Bourse de 0,15% pour les transactions d'un montant supérieur à 15660 . Les ordres passés sur les valeurs cotées à Paris dont la capitalisation boursière n'excède pas 150 millions d'euros ne sont pas assujettis à l’impôt de bourse.

Le droit de garde



Le montant des droits de garde est déductible des revenus pour la partie les concernant (actions,. ..).

L'IFU : (Imprimé Fiscal Unique)



Pour aider le client à remplir sa déclaration fiscale, l'établissement teneur de compte lui délivre un imprimé fiscal qui recense l'ensemble des informations nécessaires à cette déclaration (total des cessions, montant des plus ou moins values, montant des revenus,. ..).











Le Stochastique est utilisé dans le domaine scientifique où elle représente la répartition du hasard, lequel est bien peu prisé des traders! Le Stochastique boursier rendue populaire par Georges Lane n'a rien à voir. Il compare le niveau de cours de la clôture par rapport à l'écart de cours sur une période donnée.
Le Stochastique montre ainsi la position relative du cours situé dans un écart historique. Etudions-le, toujours avec le titre IBM pour vous permettre une comparaison avec les indicateurs des cours précédents.
Outre les cours en vert, on voit essentiellement une courbe bleue très dansante. C'est le Stochastique chiffré ainsi car il utilise une période de comparaison de 14 jours. De plus, il est lissé sur 3 jours pour éviter un grand nombre de pointes instantanées qui gêneraient la lisibilité. On appelle cette courbe de le Stochastique le %K.


Deux traits horizontaux rouges ont aussi été tracés. L'un repère le niveau 80 du stochastique, l'autre représente le niveau 20. Leur utilité constitue la première règle d'utilisation: Lorsque le Stochastique passe en dessous de la ligne 20, on dit qu'il est survendu. Cela signifie simplement que le cours est trop bas par rapport à son historique pris en compte sur 14 jours. La conséquence immédiate serait l'achat car le stochastique montre alors qu'il s'agit là d'un titre à bon marché.
En fait, ce n'est pas tout à fait vrai, car si le titre est bas par rapport à son historique récent, rien ne prouve qu'il ne puisse pas baisser encore. On pourrait même dire qu'on achète alors une valeur en état de baisse. Il faut donc attendre patiemment que la valeur se stabilise un peu et envisage de changer de sens. Il est donc bien meilleur d'acheter au moment où le Stochastique vient couper dans l'autre sens sa ligne 20.






Ainsi, les flèches noires numérotées 5 et 6 montrent ces points d'intervention.
La situation inverse est également valable. Regardez cette insistance du stochastique au point B à droite: Le stochastique ne cesse de sortir de l'historique de 14 jours en se maintenant largement au dessus des 80: il convient donc de conserver la position achetée. Ensuite, le stochastique s'écroule et coupe la ligne 80 prévenant ainsi qu'il est temps de prendre son bénéfice, conséquent dans ce cas.
Pour pouvoir édicter la deuxième règle d'utilisation du Stochastique, nous ajoutons une ligne de signal en pointillés rouges appelée %D. Elle est calculée ici par une moyenne sur 14 jours du Stochastique %K. Il existe d'autres calculs pour ce %D, n'hésitez pas à en faire part sur la liste AT-France.
De même que pour la MACD, %D constitue une ligne de signal: il s'agit ni plus ni moins d'une moyenne mobile arithmétique du Stochastique, calculé ici sur 14 jours. Nous achèterons lorsque le Stochastique %K coupe à la hausse sa ligne de signal %D. C'est le cas aux points 1, 2 et aussi au point 3. Ce dernier signal nous permet d'attraper notre fameuse hausse finale déjà explorée dans les leçons précédentes. Par contre, cette nouvelle sensibilité demandera souvent confirmation par un autre indicateur (macd, bollingers) ou une analyse sur un plan différent (tendance, etc.). Si l'on ne se fie qu'au stochastique, il est alors bon de cumuler au minimum les règles 1 et 2, c'est à dire l'état de sortie du suracheté et la coupure de la ligne de signal.
Notez au passage une remarque de Martin Pring dans son ouvrage "Le momentum" (Valor éditions): Si le croisement se fait dans le même sens, c'est à dire que %D coupe %K en le rattrapant, le signal possède plus de fiabilité. C'est précisément le cas du point 1.




Configuration des chandeliers japonais

Définition : La désignation pour le chandelier blanc (marché haussier) est le Yang (yo-sen ), pour le chandelier noir (marché baissier) le Ying (in-sen).


Introduction


Les chandeliers doivent être une aide à la décision et ne sont nullement rattachés à des règles rigides. Ils forment ainsi des indications précieuses lorsqu'ils sont couplés à des indicateurs de changement de tendance. Par exemple, retournement d'une stochastique à la baisse suite à l'apparition d'un pendu dans des volumes importants.

Les règles de base
a) Analyser l'apparition d'un chandelier dans une tendance de prix qui le précède. Par exemple, un chandelier de renversement n'aura pas le même impact dans une tendance haussière ou baissière, que dans un marché en phase de congestion.
b) Toujours attendre une confirmation lors de la séance suivante. Par exemple, l'apparition d'un chandelier de renversement dans un mouvement haussier annonce qu'un changement de tendance va apparaître. La séance suivante pourra donc être haussière ou baissière.

Cet aide mémoire est décomposé en trois parties.

Partie I
Il s'agit d'un récapitulatif, classant les chandeliers japonais en deux grandes structures. Celles de renversement et celles de continuation. Elles sont décomposées en catégorie I et II. Elles correspondent à leur degré d'importance. Ainsi vous devez connaître parfaitement les chandeliers de catégorie I, ceux de catégorie II étant de moindres intérêts.

Observation : Sous chaque configuration se situe un numéro de page auquel vous pouvez vous rattacher si vous désirez de plus amples explications. Toutefois si le schéma suffit à la compréhension et qu'aucun élément supplémentaire ne vous soit d'une aide quelconque, vous n'aurez aucun numéro, mais simplement une petite observation.

Légende

Un trait horizontal en pointillé correspond à un support ou une résistance, deux traits correspondent à un gap.
Une couleur verte (désignation) correspond à la mise en place d'un support, lorsque les structures apparaissent sur un creux.
Une couleur bleue (désignation) correspond à la mise en place d'une résistance, lorsque les structures apparaissent sur un sommet.

Partie II
Tableaux comprenant, la configuration du chandelier, sa mise en situation, ainsi que les critères de choix qui lui sont rattachés.

Encore une fois, les critères de choix sont une aide sur la définition des chandeliers, mais ceux-ci ne sont pas rigides et peuvent être interprétés différemment suivant les aspirations de chacun.

Rappel sur le "Gap" : il s'agit d'un espacement entre le cours le plus haut (chandelier 1) et le cours le plus bas (chandelier 2).

Écrit par : Sissi | lundi, 03 avril 2006

mais que c'est drôle tout ça.

Écrit par : sharky | lundi, 03 avril 2006

Je suis navrée, pouvez vous reprendre le grand B du petit 2 ainsi que le petit a...mais de manière plus, enfin moins, enfin bref, enfin pour être plus consise : jen pourra t-elle déduire ce com' de ses impots? car bon, quitte à faire des stats...
la fille dans le fond de la classe.

Écrit par : misschatterbox | mardi, 04 avril 2006

Y en a qui sont verts parce qu'ils ont gagné trop d'argent en bourse et qu'il faut payer des impôts dessus maintenant... mort de rire !

Sissi, tu es face à ton destin. Inutile de nous le faire partager ainsi. merci.

Écrit par : dfromparis | mardi, 04 avril 2006

Et dans les nouveaux critères tu as inclus "hétéro" et "pas marié"?...
Cela dit je confirme, il faut aller au delà de ses aprioris...:)

Écrit par : Princessebv | mardi, 04 avril 2006

Bah en fait, "marié" sont les mieux déjà à mon âge... that's life. Et mon marié sera volage, sûrement comme moi. Ou alors pas de marié, un bi avec un pacte sympathique, ce serait très tristepr beaucoup de gens prtt je trouve ça plutôt pas mal. Mais moi il me faut de la passion, de la vraie. Qui vivra jouira.

Écrit par : Jen | mardi, 04 avril 2006

Pourquoi n'enlèves-tu pas le troll?

En plus, qui se préoccupe de la fiscalité française des comptes titres? Seuls les petits joueurs qui n'ont pas de comptes en Suisse et pas de bons conseillers.

Écrit par : Patrick Bateman | mardi, 04 avril 2006