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dimanche, 31 juillet 2005
Comme d'habitude...
"En retard, en retard, je suis en retard !" hurle le lapin dans Alice aux Pays des Merveilles, moi, je suis comme cet abruti de lapin, toujours à la bourre. C'est maladif. Et ça se confirme tout de suite. Je viens juste de me réveiller et qui ai-je au bout du fil ? Maman, pour me prévenir qu'une voiture m'attend dans une heure trente. Au secoooooooours !!! Ca veut dire que je dois me doucher, me laver les cheveux, finir ma valise (j'ai pris quelques aises hier soir...), passer chez Starbucks et surtout vous écrire un petit mot aussi vite qu'une fusée (j'allais faire un jeu de mots mais c'est peut-être de trop mauvais goût). Evidemment, en bonne petite blogueuse consciencieuse, c'est d'abord à vous que mon temps sera consacré.
Je tenais juste à vous souhaiter de bonnes vacances, vous donner rendez-vous dans la semaine pour un prochain post. Je pense rédiger environ trois notes par semaine, après tout dépend du temps et de mes dispositions (j'avoue, entre une coupe et vous, le choix est rapide... ). En tout cas, souhaitez-moi bonne chance ! Sans rire, les Suisses sont vraiment lourds et pathétiques et (re)vivre avec mes parents un mois durant n'est pas de tout repos.
Donc si vous n'avez pas de mes nouvelles avant deux semaines, c'est que je suis morte dans un accident de la route, écrabouillée sous un camion (la place du mort, ça pardonne pas) ou alors, plus simplement, que je me suis pendue à l'aide d'une branche de sapin sur les hauteurs de Villars. Mourir avec une putain de vue sur la vallée, ça en jette ! Bref, inquiétez-vous si je n'écris pas sur ce blog prochainement.
Encore bonnes vacances et n'oubliez pas, si vous avez des copains feujs non pratiquants assez rock'n'roll, la trentaine, avec une barbe de trois jours et une guitare, faites-moi signe !
Et voilà, le temps que je vous dise ces quelques mots et mon père appelle pour me dire qu'il ne me reste qu'1/2 heure : NO WAY, dad ! Ouf, papoune chéri daigne m'offrir 1/2 heure en rab', ça, c'est parce qu'il part en Suisse, il est content alors il est cool. Bon, je me disperse, Bisous bisous, mes chéris !!!
11:51 | Lien permanent | Commentaires (8)
samedi, 30 juillet 2005
Doriand... avec un d
Au bout d'un an, je me suis enfin décidée à regarder le dvd qui accompagne le cd de Doriand. Je ne l'avais pas fait avant car bien que l'album contienne quelques bons titres, il ne me semblait pas assez profond pour m'intéresser de plus près à l'auteur. Puis, j'ai commencé à écouter l'album de temps en temps et finalement il tourne en boucle sur ma platine depuis quelques mois. Je maintiens nénamoins que certains titres ne sont pas assez bons mais au final, j'en adore les 3/4.
Je viens donc de visionner le dvd, un doc sur l'enregistrement assez bien fait. On y comprend nettement mieux Doriand. Et je ne me l'imaginais pas aussi féminin. Il me fait penser à un garçon que j'ai aimé dans le passé. Aussi égocentrique que lui. Doriand n'a rien du charisme de la star rock'n'roll mais il a ce petit quelque chose de frais et de sensible qu'ont les mini-héros de la pop. C'est déjà pas si mal. Je pense qu'il est loin d'avoir atteint ses possibilités. Un bonhomme à suivre.
Physiquement, il ne m'émeut pas mais j'aime sa nostalgie de l'adolescence. J'aime les hommes fragiles qui pendant les coups durs, surprennent tout le monde par leur attitude. J'aimerais beaucoup boire quelques verres avec ce garçon, un jour.
Je l'ai vu en slip de bain et ça vaut le détour, les filles !
23:33 | Lien permanent | Commentaires (3)
Pause gourmande
Départ demain chez les parents. Grand départ lundi matin pour la Suisse. Comme on aime bien se faire plaisir et que ça fatigue moins le chien (oui, on est un peu con-con avec nos amis les bêtes), le voyage se fera en deux fois. Je dînerai et dormirai dans un endroit assez sympa. Mes cuisses risquent d'en prendre un coup... Tant pis. Après tout, je vais marcher pendant un mois. Miam miam. Les vacances débutent sur une note très séduisante, pourvu que ça dure !
19:21 | Lien permanent | Commentaires (6)
Voilà, c'est fini...
Appartement presque rangé. Il ne me reste plus qu'à passer l'aspirateur. J'ai bouclé la valise. Enfin, j'ai mis toutes les fringues et les chaussures que j'aime dedans, il faut donc maintenant que j'enlève la moitié des éléments pour pouvoir la fermer. C'est une méthode plus ou moins bonne mais c'est la mienne. Le problème, c'est qu'il y a encore cinq livres, un gros cahier de notes et une tonne de produits de beauté à fourrer sur les côtés. Délicat. C'est toujours la même histoire, j'emmène trente-six mille trucs et au bout du compte, je mets toujours le même jean ! Mais comme en Suisse, le temps est imprévisible (like me), il faut jongler entre les vêtements d'été et les gros pulls. Il arrive souvent qu'il neige fin août alors...
C'est curieux, j'ai l'impression de vous abandonner. En réalité, vous allez me manquer. Même si le cybercafé va devenir mon QG pendant un mois, le sentiment de "rater" des évènements est bien là. Ne pas lire vos commentaires au jour le jour, ne pas lire mes "chouchous" (assez) régulièrement, tout ça me donne envie de ruminer. C'est fou comme je suis vite devenue accro à vous, à vos petits mots, à notre complicité de pacotille.
Là est tout le mystère pour moi : quel est la nature profonde de ce lien qui nous unit ? Sans doute aurais-je la réponse dans quelques mois. Nous verrons bien.
Quitter mon clavier, ne pas pouvoir mettre par écrit mes impressions quand JE le décide, ahhhhh, ça va être atroce !
Bon, si le temps est au beau fixe, là-bas, dans mes montagnes, j'oublierai vite cette frustration. Mais si le brouillard fait sa star, que les promenades sont à l'eau et qu'il me faille rester enfermée dans ma belle cage dorée, le temps sera long.
Quoi qu'il advienne, je vous raconterai mes ballades à Bretaye, mes virées shopping à Lausanne et Genève, mes séances luxe et volupté au Grand Chalet de Gstaad, mes weekends à Zermatt, les crises engendrées par la proximité avec la famille, les anecdotes sur le peuple hellémanique (et elles sont nombreuses) (oups, je voulais dire helvétique, merci Adeline ; décidément les Grecs me poursuivent !) et qui saît, l'amour rencontré au détour d'un col...
Je pars demain après-midi.
16:47 | Lien permanent | Commentaires (10)
Comment réussir à séduire une bobo ?
En lui envoyant une flèche comme celle-ci...
"Bon, puisqu'on est dans la série fleurs, j'en profite.
En effet, voilà deux semaines que j'ai découvert votre site et j'en suis devenu accro.
Voilà deux semaines que je lis votre site, et deux semaines que je tente d'exprimer ce qui m'accroche tant. Mais à peine crois-je avoir compris quelque chose que c'est sous un nouveau jour que je vous découvre.
Et je remets mon analyse au lendemain.
Vous avez un côté insaisissable.
Vos chroniques sont des jeux de piste.
Un joli menton par ici, de vieilles Bensimon roses, un sac mauve et autres emplettes couleurs bonbons.
Depuis deux semaines, je ne me reconnais plus. Mon regard habituellement si prompt à se porter sur les jolies rondeurs, est devenu un obsédé du menton. Cette jolie fille qui passe rue de l'Odéon, ne serait-ce pas Elle ?
Vos chroniques sont un vrai jeu de piste. Mon plan de Paris étalé sur la table, je suis vos mouvements. Métro Odéon, rue des Canettes, Murat (perso j'ai plutôt l'habitude de Kayser - pour le pain y a pas photo, pour les pâtisseries, on va voir), Champion-Seine.
Rue Guynemer, j'aurais pu vous croiser. L'IMA, alors là, c'est tous les jours que j'y passe. Quant à la rue de Médicis, n'était-ce pas vous attablée au café psycho il y a deux jours vers midi ?
Le premier jour où je vous ai lue (par hasard, via le lien de paname-ensemble), mon sentiment fut "fichtre, celle-là est aussi atteinte que moi". Chronique « Une soirée parisienne ». C'est bien plus beau lorsque ça reste un rêve.
J'élaborais alors une formule exprimant ce que vos phrases me faisaient : « des mots riches de vanité, d'idéalisme et de déceptions ».
Et je continuais à lire. Une écriture vive, fraîche et actuelle, une spontanéité crue mais pudique.
Les archives consommées, je n'avais plus alors qu'à patiemment attendre le bon vouloir de la bobo. On peut dire qu'elle nous a gentiment gâtés avec au moins un post quotidien depuis le 17/7.
En lisant au jour le jour, je me rendais compte à quel point la bobo cherchait à surprendre, à se surprendre, et à emmener son lecteur toujours plus loin dans la quête de l'absolu (euh...).
J'ai pris peur à un moment en vous voyant plusieurs jours de suite mal dans votre peau, grossière et parfois ingrate. Cela m'a fait de la peine. La bobo torturée ne devrait pas rester torturée plus d'un jour de suite. Elle a tant de lecteurs qui sont là pour la soutenir... Où alors, c'est peut-être que je n'ai rien compris à « l'âme slave ».
IRL, je ne pense pas que nous ayons grands goûts en commun. Il n'en reste pas moins que votre écriture est un régal."
Etait-ce la bobo assise à cette terrasse ? Passera-t-elle par là ? ou bien par là ?
Un boulevard, une rue, une place, un passage...
Deux mentons sont désormais identifiables à Odéon : l'un est à Frédéric Beigbeder et l'autre à une parfaite inconnue.
Quelle prétention ! C'est vrai, je suis une petite égocentrique au doux nom de Narcisse.
Le jeu de piste, un régal même quand on est "grand". En septembre, nous jouerons à cache-cache dans le plus beau jardin d'acclimatation : le VIème arrondissement de Paris.
Ce magnifique commentaire déposé par un illustre lecteur, me transporte dans un livre adoré dans ma jeunesse, "Le Journal du séducteur" de Kierkegaard...
Affaire à suivre.
Je m'étonne de le dire (pas tant que ça en vérité) mais vive le retour des vacances ! Pour me (vous) consoler, je pense aux notes que je vais pondre en Suisse : il y a de la matière !
Baiser pour vous, cher junkie.
12:42 | Lien permanent | Commentaires (2)
vendredi, 29 juillet 2005
Comment séduire une bobo ?
En lui offrant ces roses, des mails anonymes ou non, qui me touchent, me font sourire, m'émoustillent, flattent mon ego ou tout simplement me réchauffent le coeur. Merci aux auteurs.
Si l'un d'entre-eux est charmant comme Edouard Baer ou Julien Boisselier, qu'il me donne un rendez-vous secret à la rentrée... Voici donc un bouquet de quelques roses reçues :
"Peut-être de la bouteille, mais très joli ensemble menton-bouche. vraiment."
"Bonjour,
Je passe en privé juste pour te dire que tes pages m'ont faites bien rire et sourire.
Le récit de bobo la parisienne, j'ai trouvé cela excellent.
Je ne sais pas si j'aurais l'occasion de te lire d'ici peu, mais continues comme ça.
Je te souhaites de trouver ton âme soeur live et de vivre tes passions à fond.
Je quitte le monde du blog, le tien était un "rayon de soleil" quand je le lisais.
Bonne continuation phenojen."
"Nice lines. if you have the time for some tumbleweed sounds, i think
you may enjoy a couple of these tracks:
http://www.jamesapollo.com
manythanks,
james apollo"
"Bonjour,
Ce message pour vous dire que je vous trouve
particulièrement agaçante, s'il existait un baromètre
des humeurs humaines, nous devons être à l'exact
opposé l'un de l'autre. Pourtant je vous trouve
terriblement attirante et charmante.
Bonne continuation." (j'avoue, c'est mon préféré)
"Lèvres ourlées à la sauce parisienne, je me retrouve un peu dans certains passages de tes notes, marrant
a plus sous l'abribus."
"hormis le poids des tout nouveaux 25 ans depuis 1 jour 3 heures et 40
minutes
woh... toi, je t'ai pas souhaité un bon anniversaire alors
Donc "Bon Anniversaire" des chiffres 2 & 5 avec presque 28h de retard"
"salut, alors toujours a la recherche d'un homme circoncis ?"
23:42 | Lien permanent | Commentaires (6)
Sexua quoi ?!!
Le téléphone sonne :
_"Bonjour, c'est pour un sondage, ça ne prendra que 4 minutes !"
-"Heu, bonjour, mais non."
_"C'est pour Cosmopolitan : les femmes et leur sexualité" (il pouvait pas me proposer du taf chez Cosmo à la place d'une connerie de questionnaire qui remplira les colonnes du magazine, pfff !)
-"Heu, vraiment non, désolée : suis pas la bonne personne !"
_"D'accord, merci, au revoir."
Conclusion : Même ces enculés de sondeurs me rappellent que je suis une sorte d'ovni asexuel. Merci beaucoup !
18:24 | Lien permanent | Commentaires (7)
Jen Bond est démasquée...
Moi qui disait il y a encore deux jours, sur ce blog, que mes amis ignoraient l'existence de "Made in Rive Gauche".... Je rigole doucement. Non, rire jaune serait plus adéquat. J'ai été trahie, mes chéris ! Jen rejoue l'arroseur arrosé. Je viens d'apprendre que les amis (pfff, tu parles, des menteurs, oui !) avec qui je dînais ce soir connaissent ET lisent mon blog depuis plus d'un mois. Quelle bande de salopes ! Que ce soient ces pétasses de Z. et V. ou cette folle de S. et sa coloc C., tous me dupent depuis le non-évènement ELLE ! Ah, j'te jure, et après on dit que je suis une menteuse née !
Le pire, dans l'histoire, ce n'est pas vraiment le fait qu'ils jouent les doux agneaux depuis tout ce temps, non, ce qui me titille, c'est qu'ils aient eu accès à certains aspects de ma vie. Il y a des faits que j'assume plus ou moins en société. Mes peines, mes excès. Le reste, ils savent tout : mes coups de coeur, mes coups de reins, mes coups de gueule. En ce qui concerne le goût du spleen, je n'aime pas trop dévoiler ce côté-là aux proches et aux amis. Pourquoi ? Parce qu'ils prendraient la fuite aussitôt ! Et à propos de mes exutoires malheureux, mieux vaut garder sa part sombre ou la partager qu'avec les potes encore plus à la dérive. Les amis "clean", j'aime les savoir bienveillants à mon égard. En même temps, je me doute, vu le nombre de fois où ils m'ont vu torchée à La Villa ou je-ne-sais-où, qu'ils s'imaginent que je ne suis pas la sainte Nitouche que je prétendais être lorsque je les ai connus sur Star Ac'. Car tous ses "bons comédiens" sont des amis récents : on travaillait ensemble sur l'émission la plus puante du paf (en réalité, Star Ac', j'adoooore mais chut). Bref.
Après tout, ce n'est pas si grave. Mais ça m'énerve un peu quand même d'avoir été trompée aussi longtemps. Décidément, je dois avoir le profil de la victime ! Trompée en amour comme en amitié, chié.
Heureusement, ces salauds ont bien fait les choses : pour noyer le poisson, ils m'ont offerts un cadeau pour mon anniversaire. Une guirlande trop kitsch que je me suis empressée d'accrocher à la cheminée en arrivant ! Rouge avec des coeurs et des plumes, j'adore. Oui, je sais, je dis tout le temps ça. Les râleurs, VOUS SORTEZ !
La Jen, elle était contente ! Qu'on pense à elle, ça la flingue à chaque fois.
Pour résumer cette soirée : grrr + ouahou + ahaha (ça, c'est à cause du rosé) + owaou (et ça, c'est l'effet vue sur Seine à Paris Plage) + arff (soupir qui dit "après tout, y a pas mort d'homme") = coucou, les amis, pas de chance, maintenant que je sais que vous savez, vous allez vous en prendre plein la gueule dans les posts de la rentrée !!!
Bon, bah, maintenant, j'espère seulement que TOUS mes potes, amis, copains, ex et futurs-ex ne connaissent pas tous l'adresse de mon blog ni même son existence sinon ça va devenir de plus en plus dûr question authenticité. Je dis ça mais connaissant ma grande gueule, je ne vais pas m'auto-censurer pour autant, voire même le contraire...
NB : Fanny sur France 3. Je m'y crois, à Uzès : tapenade, pastaga, accent chantant, bref, le cliché du Sud vu par la bobo !
00:37 | Lien permanent | Commentaires (23)
jeudi, 28 juillet 2005
Chantons sous la pluie
Hier après-midi, lorsque j'ai vu la pluie tomber, je me suis dis merde, la soirée sur la péniche ne sera pas tip top. Raté. J'ai passé une soirée géniale ! Il a finit par faire beau, chaud... Soirée "Summer breaks in Paris". Mecs super mimi, filles très cool. Manzana&co. Un sosie de Sinclair mais un peu trop high sur les coups de 3h. Deux dandy rive gauche trop cute. Un jeune cool aux faux-airs de Damien Rice mais aucune tentative de ma part : ai fait genre "j'te vois pas", je regrette un peu. Un complice pendant la soirée qui voulait m'aider dans la quête du feuj idéal : son frère, selon lui, correspondait à mes critères, mais non. Sans doute suis-je trop exigente. Mais F., son frère, n'était pas assez vieux pour moi. Je veux un presque trentenaire avec une barbe de trois jours et un look dandy british à la Paul Smith.
Rentrée à pied de l'Institut du monde arabe à Odéon. Pas un chat à 4h du mat' dans les rues en été : un scandale ! Avec mon amie, sur le chemin du retour, on se refaisait le film de la soirée et le bilan était sur-positif. Il faisait si bon dehors. J'aime l'été. Surtout quand je réalise au petit matin que j'ai perdu 3,5kg. Happy Jen.
Rendez-vous dans 3/4h à Hotel de Ville. Ca gronde fort. Mais envie malgré tout d'être dehors, sous la pluie. Avec mon MP3. Qu'est-ce que je suis heureuse, putain ! Pourtant, je n'ai même pas goûté aux plaisirs de la chair la veille. Ni ce soir, en tout cas, ce n'est pas dans le planning.
Mon pc bug à répétition mais j'm'en fous, j'ai maigri ! En plus, Rich continue à penser à Jen de temps en temps. La bobo marque quelques spécimens dans sa foutue vie.
Ah, le soleil réapparaît. Paul Weller n'aura que plus d'echo dans mes oreilles. Souhaitez-moi une bonne soirée. Pour la rencontre avec M. Big, ça peut attendre, ne suis plus si pressée. Tout vient à point pour qui saît attendre, paraît-il...
18:25 | Lien permanent | Commentaires (8)
mercredi, 27 juillet 2005
Comme c'est joliment dit...
14:05 | Lien permanent | Commentaires (5)